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Critiques de Serge Brussolo (1683)
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3, place de Byzance

Encore une fois, c'est trop bon !!!!! BRUSSOLO mon auteur préféré !!!! Etrange que ce roman et super !!!!
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3, place de Byzance

Un curieux livre d'un auteur que j'adore: presque "trop sage", on est assez éloigné de certains délires d'inventivité que Brussolo peut mettre en œuvre pour nombre de ses romans. Néanmoins, un bon livre, où tout est dans l'atmosphère d'un immeuble angoissant et d'une famille un peu particulière, où chaque personnage a une aura bien à part. L'histoire est très ancrée dans la grande Histoire, entre les deux guerres mondiales, et ceci est très bien rendu par l'auteur, que ce soit le souvenir de 14-18, les années folles, les journées de révoltes violentes un peu oubliées aujourd'hui, la montée du nazisme qui a attiré quelques compatriotes comme ici. Pour les amateurs de l'auteur, à ne pas manquer. Et pour ne rien gâcher, à mon goût c'est toujours particulièrement écrit avec soin, dans un superbe français.
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À l'image du dragon

Assez moyen comme livre et comme histoire. Ca manque un peu de scénario en rebondissement comme Brussolo c'est parfaitement en faire. De plus je suis sûr maintenant que le genre héroic-fanctasy n'est pas ma tasse de thé.
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À l'image du dragon

Le futur est bien sombre: l'homme a muté en 2 espèces qui s'affrontent, l'une se nourrissant de chaleur et de lumière, l'autre, de pluie.



Le début: ces deux humanités sont séparés par un désert. Et chaque année des chevaliers en armure ont plusieurs jours de marche pour porter la mort chez l'autre qui est si différent.



Brussolo décrit une société cruelle et repliée sur elle-même qui a peur de l'autre.



Du suspense, une construction sans temps morts et des aventures m'ont donnés envie de lire la suite. Mon premier Brussolo est très satisfaisant.
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À l'image du dragon

Déçue par ce roman, j'aime pourtant l'auteur...



Serge Brussolo fait comme toujours preuve d'imagination pour le monde qu'il a créé, mais il y a beaucoup de longueurs qui font que je n'ai pas réussi à rentrer dans l'histoire. Je n'ai ressenti aucun attachement aux personnages.
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À l'image du dragon

Remarque liminaire :C'est plus de la SF que de la fantasy (malgré la couverture) car il est question de manipulation génétiques . Thème classique de la quête . Thème brussolien :les mutations , les races antithétiques (peuple de l'eau vs peuple du feu) . Quelques trouvailles (l'oxymorique armure molle, les femmes-outres ) mais le jeyser d'invention semble se tarir ...
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À l'image du dragon

Ce livre est court, et malgré un début qui peut paraître lent, il n'y a pas de longueurs. Brussolo nous présente les deux peuples, surtout celui des hydrophobes. Je suis toujours fascinée lorsqu'un auteur invente un peuple et sait le décrire de telle manière qu'il semble réel. Ici, c'est le cas.

L'auteur entremêle l'histoire des peuples à celles des deux personnages, Nath et Boa.



Utilisant un décor et deux peuples imaginaires, Brussolo décline l'un des thèmes qu'il abordera souvent: l'embrigadement. Comme d'habitude, il fait cela très bien. Le lecteur aura vite compris que les chefs excitent les jeunes garçons inexpérimentés, instillant la peur et la haine en eux. Quoi de plus facile à faire lorsqu'on s'exprime avec sérieux et conviction, et qu'on s'adresse à des personnes qui n'y connaissent pas grand-chose?

[...]

Lire la suite sur:
Lien : http://www.lalivrophile.net/..
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À l'image du dragon

Ce roman d’heroic fantasy se situe largement au-dessus de la moyenne du genre. Et pour cause, il est signé Serge Brussolo, auteur singulier s’il en est. Connaissant le bonhomme, il n’est pas étonnant de trouver dans cette histoire de quête une multitude d’idées plus folles les unes que les autres.



L’auteur nous décrit un monde désertique dominé par la chaleur six mois durant puis par la pluie l’autre moitié de l’année. Durant la saison des pluies, le désert se couvre d’une végétation luxuriante en très peu de temps. La pluie sonne le réveil des Dragons (espèce de crocodiles mutants) et des Caméléons (le peuple de la pluie) transformés en pierre pendant leur hibernation afin d’échapper à la chaleur. C’est alors une triste période qui débute pour le peuple du feu (les Hydrophobes). En effet, leurs corps se nourrissent des rayons du soleil. Au contact des gouttes de pluie, les Hydrophobes subissent d’horribles transformations et meurent. Réfugiés dans leurs grottes, ils s‘exposent au moindre éclat de lumière pour éviter de s’alimenter par la bouche comme les êtres immondes qui se nourrissent par le haut et se vident par le bas… Ils sont alors menacés par les dragons qui s’aventurent près des grottes.



Nous suivons l’un des dix jeunes chevaliers Hydrophobes dans son périple à travers le désert avant l’arrivée de la pluie comme le veut la coutume. Notre chevalier est accompagné d’une esclave Hydrovore, un être aux particularités physiques étonnantes (les seins hypertrophiés remplis d’eau comme des outres…). Le but du voyage est d’atteindre les cités des Dragons et des Caméléons, pour l’heure endormis et d’en détruire un maximum. Le problème est qu’il s'avère quasiment impossible de différencier les vraies statues de pierre qui fleurissent dans ces villes des monstres figés en état d'hibernation. Là, l’auteur a imaginé toute une stratégie. L’ouïe de l’esclave Hydrovore et d’anciens explosifs d'origine extraterrestre entrent en action. Ces derniers doivent être utilisés avec parcimonie car ils restent, pour les Hydrophobes, l’unique moyen de détruire l’ennemi. Serge Brussolo s’attarde sur le fonctionnement presque poétique de ces armes... Mais où va-t-il chercher tout cela ?



Le récit est ponctué de flash-back sur la jeunesse de la « femme-éponge » (surnom des Hydrovores à cause de leur rôle auprès des Hydrophobes) et celle de son maître. L’auteur fournit tout au long du roman des informations sur les étonnantes coutumes des deux peuples mais aussi sur leurs ennemis. Au bout de l’aventure, il est question de la perte de la foi, du doute et de la peur de mourir au moment du sacrifice. Au risque de perdre toutes ses certitudes (les méchants ne sont peut-être pas ceux que l’on croit), la curiosité prend le dessus. Le lecteur va de surprise en surprise jusqu’à la fin (le rôle dévolu à chacun au moment crucial, la vérité sur la nature du peuple de la pluie, les dieux-nains et leurs expériences génétiques etc.). Et c'est le début d'un nouvel espoir au bout d'un voyage encore très long...



Voilà un roman court mais intense avec des personnages profonds et intéressants.
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À l'image du dragon

Les romans de Brussolo sont toujours un peu étranges, décalés, et celui- ci ne fait pas exception à la règle. L'univers décrit est original. Une planète qui ne connaît que deux saisons : six mois d'aridité extrême auxquels succèdent six mois de pluies diluviennes, et deux peuples en guerre perpétuelle : les hydrophobes et les hydrovores. Quelques éléments de science-fantasy agrémentent le tout, que je vous laisse découvrir.



La description du monde, des peuples et de leurs coutumes étranges forme l'essentiel du récit, et c'est plutôt réussi. Le tableau brossé par Brussolo est vivant et cohérent, même si bien glauque par moment. Quant à l'intrigue, l'auteur ne s'autorisera que quelques flash-back pour mieux cerner la psychologie des deux personnages principaux, mais hormis cela elle est assez directe et ne s'embarrasse pas de péripéties inutiles.



Je regrette tout de même une fin abrupte qui laisse un goût d'inachevé. En fait, le roman se termine presque au moment le plus intéressant, et j'aurais aimé une seconde partie au moins aussi longue que la première, pour savoir ce qu'il se passe ensuite.
Lien : http://lenainloki2.canalblog..
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À l'image du dragon

Une lecture en demi-teinte



J'ai déjà lu il y a longtemps les premiers tomes de la série Peggy Sue du même auteur, mais depuis, plus rien. Puis, un jour où j'ai vagabondé dans le rayon SFFF de la bibliothèque, je suis tombée sur celui-ci, A l'image du dragon. Titre évocateur qui a piqué ma curiosité, mais au final, je suis entre la perplexité et la déception quant à ce livre...



Le gros point négatif, c'est les lourdeurs. J'ai eu l'impression pendant les trois quarts du livre de lire seulement des descriptions, est d'attendre en vain de l'action, ce qui m'a franchement déçue. D'autant plus que le style de l'auteur peut se révéler parfois franchement lourd, ce qui ne facilite pas l'immersion dans le livre. En réalité, je pense pouvoir dire qu'il n'y a pas réellement d'histoire, il s'agit plus selon moi de l'instant T d'un univers construit et détaillé mais dont on a pas toutes les pièces.

Je pense qu'à ce niveau A l'image du dragon est un de ces livres où il faut voir le message de l'auteur derrière les lignes, qui oriente vers une réflexion de notre monde. C'est ce que ce livre m'a inspiré, notamment avec les conflits de deux peuples aux idéologies opposées mais qui sont pourtant semblables entre eux sur d'autres points. Personnellement, ça m'a fait un peu réfléchir aux problématiques religieuses et politique de notre monde, et la manière dont on perçoit une idéologie que l'on rejette ou que l'on adhère.



Un autre point qui m'a plus frustrée que franchement déplu, c'est la fin. Car pendant les 150 premières pages du livre, j'ai attendu de l'action (parfois en ayant quelques décrochages), quand enfin cela semble pointer, on a que les prémices d'un événement et c'est tout. Rideau. Ça m'a frustrée car c'est une fin ouverte qui peut être aussi bien positive que négative selon le lecteur. J'aurais bien aimé voir un peu plus que le dernier chapitre...



Au niveau des personnages, je suis un peu déçue car je n'ai réussi à m'attacher à aucun d'entre eux, mais leur histoire, leur vécu ne m'ont pas laissé insensible cependant. Chacun des personnages traîne sa croix, aussi parsemée d'horreur soit-elle. Je trouve juste dommage qu'on les ai plus vu, découvert au passé qu'au présent. Mais encore une fois, il n'y a pas que du négatif.

Par contre, j'ai beaucoup aimé les différentes races, ces peuples de la pluie et du soleil. J'ai beaucoup aimé l'idée qui fait pour le coup penser à ce qu'on pourrait trouver dans un conte. Une histoire didactique.





A l'image du dragon est pour moi une lecture un peu inclassable, qui nécessite d'être un tant soit peu concentré dessus. Dans un sens, c'est une lecture où il ne se passe pas grand chose, mais dans un autre, c'est intéressant et offre une petite réflexion de manière imagée sur notre monde.

Si vous souhaitez le lire, ne vous attendez pas à une lecture légère ni une succession de péripéties, car ce livre est autre chose que cela. C'est un livre qui ne s'adresse pas à tous les publics, car c'est assez sombre et violent, par moments.

Personnellement, je pense peut-être retenter cette lecture plus tard, n'étant pas coutumière de cet auteur, il faut aussi s'adapter à son style et si on ne le lit ni dans de bonnes conditions, ni à un moment propice, on peut passer à côté de pleins de petites choses je pense.
Lien : http://anskarad.blogspot.fr/..
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À l'image du dragon

Où deux mondes se partagent alternativement le même milieu, tous les six mois : le peuple du soleil avec ses êtres hydrophobes et hydrovores, et le peuple de la pluie qui se change en statue durant la saison chaude.

Nath appartient au peuple du soleil et devient chevalier-quêteur. Accompagné de son écuyère Boa, il part avec la mission de tuer le maximum de créatures du peuple de la pluie afin de protéger les siens. Mais le temps lui est compté car la saison des pluies approche. Il va découvrir qu'on lui a caché certains faits et que le monde n'est pas exactement comme on le lui a appris.



Un récit sous forme de conte fantastique aux allures de légende. Peu d'action sinon celles répétées inlassablement par les chevaliers-quêteurs, de nombreuses descriptions des paysages, des personnages avec leurs caractéristiques spécifiques, des états d'âme de Nath qui ressasse son passé puis se pose bien des questions.

Si j'ai trouvé quelques longueurs au démarrage, ensuite j'ai apprécié pleinement ce récit qui met le lecteur lui-même en quête d'en savoir davantage sur cet espace et les créatures qui y vivent. Le style est très soigné, affiné, les mots sont pesés.



Cette lecture n'entre pas dans mes lectures habituelles, j'ai donc peu de point de comparaison. J'aime l'écriture de l'auteur, et je vais poursuivre l'exploration de son oeuvre avec plaisir.

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À l'image du dragon

Oyez ! Oyez !



« A l'image du dragon » est mon tout premier roman fantasy.



Je n'ai jamais été attirée par ce genre littéraire… les fées, sorcières, dragons, chevaliers et tous les machins imaginaires improbables ne me disent rien.



Alors pourquoi avoir lu ce roman de Serge Brussolo ? Et bien encore une fois sur les conseils d' Avin Moganex du blog « le long des parallèles » qui m'a dit « essaie de lire Brussolo, il crée des univers improbables mais totalement addictifs, tu verras ! »



Oui, Avin, tu avais raison. Je me suis laissée happer par cette histoire. Ce petit monde fantastique a éveillé mon imaginaire d'enfant, l'a fait remonter en pleine lumière et me donne envie d'en lire encore.



Le récit met en évidence les différences entre les peuples - et même au sein d'un même peuple-, les craintes, les incompréhensions, l'endoctrinement qui engendre la violence, mais aussi l'émancipation, le désir de paix et d'harmonie.



Une dichotomie qui caractérise notre monde bien réel également.



La plume est précise, cohérente, imaginative et parfois perturbante dans ses descriptions (cf. les esclaves aux gros seins bourrés de paillettes)



Un bon premier pas de 200 pages dans le monde de la fantasy ;-)

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À l'image du dragon

Brussolo continue à m'épater par son imagination qui semble sans limites, il réussit à chaque fois à créer quelque chose de nouveau, c'est... bluffant.

Ici il va nous projeter sur une planète, pourquoi pas une terre post apocalyptique, peuplée par deux races antagonistes que tout oppose, ceux du feu et ceux de la pluie qui se livrent une guerre séculaire et totale.

Une planète à la météorologie particulière puisqu'il n'y a que deux saisons, celle des pluies et celle de la sécheresse.

Une saison sur deux, chaque race prend l'avantage sur l'autre, ceux du feu ne pouvant s'exposer à l'eau et ceux de l'eau hibernant pendant la sécheresse...

Nous accompagnerons la quête de Nath le chevalier du feu et de son écuyère Boa dans sa mission de destruction rituelle, début d'une histoire qui va se révéler plutôt intéressante.

Brussolo nous offre un monde d'une belle complexité, qu'il s'agisse du contexte, des particularités physiques des autochtones ou encore des us et coutumes, quelle imagination !

Et pourtant encore une fois j'ai l'impression qu'un beau potentiel n'a pas été exploité comme il aurait pu l'être, peut-être à cause des seulement 200 pages du livre ?

L'introduction et les deux premiers tiers sont parfait en terme de densité et de précision, puis inexplicablement on a l'impression d'un survol là où il aurait fallu creuser un peu plus, j'ai surtout déploré une fin un peu (beaucoup) frustrante, 200 pages de plus n'auraient pas été de trop, à moins qu'il y ait une suite ?

A l'arrivée je peux dire que j'ai aimé ma lecture, j'ai dévoré ce bouquin comme toujours avec Brussolo, avec quand même un peu de regrets (sacré Brussolo !).
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À l'image du dragon

Ce roman de Serge Brussolo est bien trop court, c'est le reproche qu'on peut lui faire. le thème choisi, très original, aurait mérité un plus large développement.

En bref : sur une planète lambda, deux saisons, deux races. Chacune d'elle a développé des propriétés qui l'adaptent à la sécheresse ou à la pluie. Les uns se nourrissent de chaleur extrême tandis que les autres hibernent, transformés en statues. À l'inverse, la saison des pluie leur rend la vie, ainsi qu'aux dragons et favorise la repousse de tout un monde vert, pendant que les desséchés se cachent, horrifiés par la moindre goutte qui les transformerait en éponges.

Nath, orphelin, va devenir chevalier-quêteur. Avec neuf autres jeunes gens, aidés de jeunes femmes, esclaves aux talents particuliers, il a pour mission de repérer les "Caméléons" transformés en statues et de les occire grâce à un explosif activé par une fréquence de son particulière.

Mais tout n'est pas aussi simple qu'il y paraît et Nath découvrira peu à peu des éléments cachés qui vont l'amener à réfléchir et à reconsidérer sa position.

Si j'ai été séduite par l'originalité de cette histoire qui m'a aussitôt embarquée, je trouve cependant que certains personnages intéressants n'ont pas été suffisamment développés. De plus, j'ai été déçue par la fin, beaucoup trop abrupte et quasiment bâclée, à mon sens. Le même final aurait pu être amené plus en douceur. C'est dommage car il y avait beaucoup de potentiel dans cette histoire.

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À l'image du dragon

Sur cette planète, il y a deux saisons, deux races.

Pendant les 6 mois de la saison sèche, il peut faire plus de 100 degrés et la planète n’est qu’un immense désert de sable, c’est la saison des Hydrophobes, le peuple du soleil, ceux qui ne supportent pas l’humidité, ceux dont une seule goutte d’eau fait horriblement éclater la peau, se transformant même en méduse si ils viennent à être totalement mouillés.

Pendant ce temps, les Hydrovores, le peuple de la pluie, hiberne sous une carapace qui les transforme en statue.

Mais alors que la pluie revient pour les six mois suivants transformant la planète en un luxuriant jardin et que les Hydrovores se réveillent, les Hydrophobes eux, vont se cacher au fond des cavernes en utilisant toutes leurs connaissances pour en chasser toute trace d’humidité qui leur deviendrait fatale.

Nath est un orphelin Hydrophobe qui a été choisi pour devenir un chevalier-quêteur, ces jeunes qui tous les ans à la saison sèche partent à la recherche des Hydrovores statufiés pour les détruire.

Mais plus sa quête avance et plus Nath se pose de questions, et sa rencontre avec des renégats finira par le convaincre que peut-être les choses ne sont pas aussi simples que ce qui lui a été enseigné depuis son enfance, et tout cela ne pourrait bien n’être qu’une grande manipulation.

Un bon roman mais que j’ai trouvé un peu expéditif, et la fin nous laisse même croire qu’il pourrait y avoir une suite, dommage….

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Abîmes

J'ai beaucoup aimé cette histoire, oppressante. Elle m'a rappelé un livre du même auteur me semble-t-il qui se passait dans une bibliothèque "labyrinthique", un peu comme dans le sous marin, ici ...

Ce roman m'a aussi rappelé "Le monde inverti" de Ch Priest.

Bien écrit et pas de longueurs !
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Abîmes

Encore une lecture de Serge Brussolo, et encore une victoire pour lui. Comme d'habitude, j'ai été transporté ailleurs, dans un monde ou l'étrange, l'inhabituel devient normal. Rapide et facile à lire, bien expliqué, pas de zones d'ombre. Humidité, délires humains, algues, vase, souvenirs, endoctrinement. C'est beau et terrifiant à la fois.
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Abîmes

David était âgé d'une dizaine d'années seulement quand il s'est porté volontaire pour la mission. Ses parents, militaires tous les deux, ont été tué. Sans attaches et voué à l'ennui mortel de la vie en pensionnat militaire, il a préféré lpartir sur une autre planète, enfermé dans un gigantesque submersible, le SS-Bledeep. Les eaux de ce monde dénué de terres habitables sont toxiques, mutagènes : il suffit d'être en contact avec une seule goutte pour être transformé en monstre aquatique.

Depuis une dizaine d'années, l'équipage continue sa mission. Les plus jeunes étaient censés recevoir une formation pour remplacer les membres d'équipage vieillissant si la mission se prolongeait; mais ce n'est pas le cas : ils sont cantonnés à des tâches simples, et dangereuses parfois, comme David. Il est patrouilleur de troisième classe : il doit inspecter les zones du submersible qui ont été, au fil des années, inondées et donc condamnées. Ces tournées peuvent durer jusqu'à une quinzaine de jours, dans la solitude, l'obscurité, en compagnie des rats et de l'angoisse constante d'être confronté à une voie d'eau qu'il doit colmater.

La mission, seuls les plus hauts gradés en connaissent la teneur : "top secret" ! David commence à faire des cauchemars. L'équipage montre des signes de narcose, mais aussi de vieillissement prématuré. La claustration a des effets désastreux.

Lors de l'une de ses tournées d'inspection, David va faire une découverte qui va le bouleverser.



Abîmes est un court roman agréable. Je n'ai pas pu m'empêcher de penser un peu à Howard Philip Lovecraft avec toutes ces allusions à des créatures aquatiques inquiétantes ! Et l'aménagement du SS-Bledeep m'a rappelé ce véhicule fantastique qui est dans un autre roman de Serge Brussolo, La fenêtre jaune.
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Agence 13 : Ceux d'en-bas

Serge Brussolo signe une suite digne du premier tome, Dortoir interdit, même si la recette est un peu visible. M’enfin, si la recette est bonne… pourquoi nous en priver ?



Cette fois ci l’Agence 13, spécialisée dans la décoration et l’aménagement de demeures ayant été le lieu de meurtres sordides, envoi Michelle dans le Montana. Elle se retrouve dans un petit village isolé dans les montagnes près d’un lac, et devra proposer à la municipalité un projet de création d’une base de loisir. [...]
Lien : http://geekette.fr/2010/11/c..
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Agence 13 : Ceux d'en-bas

Ce roman commence sur les chapeaux de roues ,on s'amuse, l'héroïne est atypique ,mais franchement la fin frise le ridicule .
Lien : http://fr.msn.com
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