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Citations de Stéphane Servant (574)


La honte, c’est comme l’égoïsme. C’est humain.
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Un jour peut-être, les hommes s’étaient crus différents. Parce que tout leur appartenait. Parce qu’ils avaient le pouvoir de vie et de mort sur les autres espèces. Mais à présent, à présent, ils étaient nus et grelottants, comme aux premiers jours du monde. A présent, ils étaient semblables, tous les cinq. Les hommes n’étaient pas différents du cochon.
- Ce cochon est plus mon frère que vous, souffla Avril. Nous ne partageons plus rien.
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A quoi pourrait bien ressembler le monde si le ciel se vidait de ses étoiles? A quoi pourrait bien ressembler la vie si plus jamais on ne pouvait faire un vœu?
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-Moi, en attendant d’être mort, j’espère qu’on sera vivants.
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Est-ce qu'un homme peut vraiment comprendre une femme ?
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C'est à ça que servent les livres. À ouvrir les yeux des hommes, et, avec un peu de chance, leur cœur.
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- Après l'accident, je n'étais plus rien. Juste des plaies, des broches, des cicatrices et beaucoup de honte et de culpabilité. Alors je me suis réfugiée dans les livres. J'ai beaucoup lu et les livres m'ont aidée à guérir. Petit à petit, je me suis reconstruite. Avec le lycée, les livres et l'amour de mon frère et de mon père. Et avec celui d'un garçon, un garçon qui ne me considère ni comme une proie ni comme une bête.
Regardez-moi ! Je suis Louise ! Je n'ai rien à cacher. J'ai le droit de vivre. Comme des millions d'autres filles. Nous avons le droit d'étudier, d'aimer, de vivre et d'être libres !
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"Je suis né tigre, je suis né libre"
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A quoi bon écrire quand on a le ventre vide? A quoi bon écrire quand il n’y a personne pour lire?
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Je veux remercier mon éditeur pour son courage.
Le seul fait de publier cet ouvrage constitue une infraction à de nombreux articles de loi et nous expose, lui comme moi, à la censure et à de nombreuses sanctions pénales.
Mon éditeur et moi-même assumons les conséquences de cette publication, en toute conscience.
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"Comme moi la Lune est seule dans le ciel, pensa Gronouyot. Et pourtant rien ne l'empêche de sourire et de danser.

La Lune danse pour faire sourire les étoiles. Elle danse pour rendre notre ciel plus beau"
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Toutes ces choses qu'on n'a pas le courage de partager. On se dit qu'on a le temps. Toute la vie devant soi. C'est comme voir une étoile filante dans le ciel et se dire qu'on fera un vœu demain ou la semaine prochaine. Mais la vérité c'est que ces moments ne reviennent jamais. Les étoiles passent et s'éteignent. Ça ne sert à rien de faire un vœu sous un ciel vide.
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Ce que l'homme ne comprend pas, souvent il le détruit.
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Il suffit parfois de peu pour oublier la laideur du monde : une phrase, un sourire, le parfum de l'automne, un bout de ciel. Du maquillage qui fait qu'on peut y croire, encore.
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Les bêtes les plus terrifiantes ne viennent pas la nuit. Elles n'ont ni griffes ni crocs. Elles vont sur deux jambes et elles ont tout de l'apparence d'un homme. Les bêtes peuvent parfois avoir le visage d'un père.
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Kid alors compris que la beauté ne pouvait se départir de la liberté. Ce que l'on possède finit par perdre tout éclat. Comme si la liberté était l'essence même de la beauté.
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"Comme si la vérité était enfouie sous une multitude de voiles. La vérité elle-même composée d'une infinité d'autres vérités, autant de hasards et d'accidents infimes qui rendent imprévisible ce que sera demain"
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Il me suivait partout.
J'étais né avec lui.
Je ne pouvais pas vivre sans lui.
Il n'avait pas de nom. C'était juste Doudou
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Il y avait quelque chose de grisant dans cette sensation. Comme quand on est en équilibre en haut d'un mur. L'impression que tout est ouvert devant soi. Et aussi la crainte. La peur de chuter. D'être entraînée par son propre poids vers le vide. Mais c'est peut-être de cette angoisse-là que naît le plaisir d'être bien vivante. Sans la peur de la chute, on ne ressent peut-être pas le plaisir de la liberté.
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Nous cherchons tous à nous libérer du passé.
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