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Citations de Stephen King (9415)


Le cerveau est un muscle qui peut soulever le monde.
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Ses jambes commencèrent à courir alors qu'il n'était pas encore tout à fait debout, avec pour résultat qu'il s'étala de nouveau.
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La vie est courte, et la douleur est longue, et on est tous sur cette terre pour s'entraider.
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Est-il capable d’écrire une version romancée de sa vie vue par les yeux de Billy l’Idiot ? Faulkner a utilisé ce procédé dans Le Bruit et la Fureur. Daniel Keyes également dans Des fleurs pour Algernon. Sans doute existe-t-il d’autres exemples.
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J'ai en horreur l'idée que tout ce que nous faisons dépendrait de ce que les gens nous ont fait.
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Tout cela est préoccupant, mais en pénétrant dans son allée, il découvre un motif de satisfaction : sa pelouse est magnifique.
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Une fois de plus, il imagine ce qui va se passer, il voit clairement la scène. Dans la réalité, les événements ne ressemblent jamais à ce que vous voyez dans votre tête, mais ce travail commence toujours par la visualisation. À cet égard, c’est comme la poésie. Les choses qui changent, les variables imprévisibles, les modifications : tout cela doit être géré sur le moment, mais au départ, il y a la visualisation.
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Elle consulte son téléphone. Penny lui a envoyé les photos de sa fille. Seize en tout, y compris celle où on la voit sur son vélo. Holly s'intéresse particulièrement à celle-là, mais elle fait défiler les autres. Sur l'une d'elles, Bonnie pose avec un jeune gars, sans doute le fameux Tom Higgins, l'ex. Ils sont de profil, front contre front, et ils rient. Holly agrandit la photo entre deux doigts jusqu'à ce qu'on ne voie plus que le coté du visage de Bonnie. Et le lobe de son oreille, où scintille un petit triangle doré.
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Du carfentanil. En 2002, les Russes ont balancé une variante de ce produit dans un théâtre où une cinquantaine de Tchètchènes retenaient en otages sept cents personnes. Le but était d'endormir tout le monde pour mettre fin au siège. Et ça a marché. Hélas, le gaz était trop puissant. Une centaine d'otages ne se sont jamais réveillés. Poutine n'en avait rien à foutre, j'imagine. 504.
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J ai lu ce livre il y a bien des années !! Je suis en train de faire une relecture et franchement, je me souviens de beaucoup de passages ce qui veut dire qu il m avait déjà marqué à l époque !! Du grand Stephen King !!
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"L'ironie ,c'est bon pour la santé. "
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Boss, j’suis fatigué à cause de toute la souffrance que j’entends et que j’sens. J’suis fatigué d’courir les routes et d’être seul comme un merle sous la pluie. De pas avoir un camarade avec qui marcher ou pour me dire où on va et pourquoi. J’suis fatigué de voir les gens se battre entre eux. C’est comme si j’avais des bouts de verre dans la tête. J’suis fatigué de toutes les fois où j’ai voulu aider et que j’ai pas pu. J’suis fatigué d’être dans le noir. Dans la douleur. Y a trop de mal partout. Si j’pouvais, y en aurait plus. Mais j’peux pas.
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"Le temps ,c'est de l'eau ,Charlie .La vie n'est rien d'autre que le pont sous lequel il passe ."
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Emily et Roddy, deux enseignants "respectables" à la retraite regardent la télévision :
6 Janvier 2021 : A Washington, Le Capitole est envahi par des Trumpistes. Émeute ou révolution ?
Emily : Si c'était des noirs qui faisaient ça, la police leur tirerait dessus.
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Billy ignorait que cette nuit là, l’enfant se réveillerait en hurlant d’un cauchemar dans lequel un épouvantail maigre et osseux, aux cheveux ébouriffés par le vent, s’avançait sur lui en titubant. 
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Quand on aime, les cicatrices ont la beauté des fossettes.
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L'alcool et les secrets ne font pas bon ménage, tout le monde le sait, et après la mort de son fils, de sa belle-fille et de sa future petite fille (Alyssa, qui sonne comme la pluie), Albie Krantz s'était mis à boire beaucoup. Il aurait dû acheter des actions Anheuser-Busch, tellement il buvait de bière. Il pouvait se permettre de boire car il était à la retraite, à l'aise financièrement et très déprimé.
Après le voyage à Disney World, sa consommation d'alcool se réduisit à un verre de vin au cours du repas ou à une bière devant un match de baseball. Généralement. Car de temps en temps - tous les mois d'abord, tous les deux mois ensuite -, le grand-père de Chuck prenait une cuite. Toujours chez lui, et sans jamais le crier sur les toits. Le lendemain, il se déplaçait lentement et mangeait peu, jusque dans l'après-midi, puis il retrouvait son état normal.

La vie de Chuck
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Internet est une maison brillamment éclairée, au-dessus d'une cave sombre au sol sale. Les contre-vérités y poussent comme des champignons. Certaines sont savoureuses, beaucoup sont vénéneuses.
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[petite précision pour celles/ceux qui sont habitués à mes partages de citations parfois/souvent drôles, ici ce n'est pas le cas, ce sont les pensées d'un violeur multi-récidiviste]

Quel mal y avait-il à peloter une nana ici ou là ? Ah, nom d'un chien, jadis, si vous ne mettiez pas une main aux fesses à une serveuse, elle était déçue ; et si personne ne sifflait une femme dans la rue, elle se demandait pourquoi elle s'était donné la peine de se faire belle. Elles se faisaient belles pour se faire draguer, c'était un fait. À quel moment la gent féminine avait-elle changé du tout au tout ? Sous le règne du politiquement correct, vous ne pouviez même plus faire un compliment à une femme. Et donner une tape sur les fesses ou palper un nichon, qu'était-ce donc, sinon une forme de compliment ? Il fallait être vraiment idiot pour ne pas comprendre ça. Si Don pinçait les fesses d'une femme, ce n'était pas parce qu'elles étaient moches. Il le faisait parce que c'était un cul de qualité. C'était pour rire, voilà tout.
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J'avais vécu avec un alcoolique pendant plusieurs années et je savais reconnaître un mensonge quand j'en entendais un .
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