Tal Ben-shahar

Dès les premières pages j’ai adhéré au concept qui s’adresse plutôt à des chefs d’équipe mais que chaque personne peut s’approprier. Les auteurs font preuve de bon sens en s’appuyant sur des exercices de psychologie positive.



Je suis la première à être connectée ordinateur, téléphone portable, une dizaine d’applications ouvertes dans le cerveau, répondant à un texto, en regardant le planning sur l’ordinateur, le tout en écoutant (ou pas) un collègue me parler. Et si, quand ce collègue vient me parler je posais mon portable, me détournais de l’ordinateur, stoppais mes pensées diverses pour l’écouter réellement en le regardant. Lui accorder quelques minutes, sans rien faire d’autre.



Même en réunion d’équipe, faite pour nous et nos soucis de la semaine, on arrive à faire autre chose, tout en écoutant les cadres et les collègues.



Je me suis dit aussi que la Directrice de l’agence avait : soit lu le livre, soit adopté cette attitude de bon leader grâce à sa personnalité.



Regarder les gens nous parler, les écouter avec attention, les valoriser, reconnaître leurs efforts pour un dossier difficile, est-ce si difficile ?



Les espaces de travail ouverts ressemblant à des boxes ne facilitent pas une compréhension mutuelle et la tolérance. Mais devons-nous abandonner pour autant un minimum de politesse dans cette guerre du travail ?



Plutôt que de subir, les auteurs nous proposent de nous servir de nos points forts pour travailler. Et cela change tout. D’avoir une bonne hygiène de vie et surtout de pouvoir se poser et se reposer après une période de stress. Juste des conseils de bons sens que tout le monde a oublié ou presque.



Alors pour prendre ou reprendre de bonnes habitudes pour vivre et non plus subir sa journée de travail, il faut installer des habitudes, des rituels, comme font les montagnards pour supporter l’hiver et le manque de lumière.



J’ai apprécié ce guide et même si je ne suis pas un leader il va m’aider pour diriger ma vie professionnelle et personnelle de façon beaucoup plus positive.



Merci aux Editions DeBoeckSup et à Masse critique de Babelio.




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🖐Chronique:



Je me pose beaucoup de questions sur LE bonheur: l’idée qu’on s’en fait, le moyen de l’atteindre, la possibilité de son existence…Est-ce que c’est une illusion qu’on nous vend, est-ce que c’est une vérité absolue? Est-ce qu’un jour je pourrai me dire, oui, je le connais, j’ai même marché avec lui, un temps?

Tal Ben-Shahar parle carrément d’une science du bonheur…Ça m’a tellement intriguée que j’ai lu son livre, à raison d’un chapitre par jour. Les 5 clés du bonheur, comme autant d’entrée(s) pour me familiariser avec sa présence, voir où je me situe sur l’échelle de graduation, si je vais adopter, pourquoi pas, les quelques exercices de la SPIRE…



« C’est cela, le paradoxe du bonheur: plus nous lui donnons de l’importance et le recherchons, plus il est insaisissable. »



Il nous faut, donc, pianoter, composer, bouger, dessiner, soigner, cultiver, stimuler, ressentir, respirer, interagir avec les 5 clés…Les faire tourner, débloquer les mécanismes, ouvrir la porte de chacun des bonheurs, et voir ce que ça donne comme mélodies de couleurs et de résilience affluente…Ne pas seulement se laisser aller à la pleine conscience, mais entretenir le corps et l’esprit, entreprendre de nouvelles habitudes, être l’artisan.e de notre antifragilité…Ce sont parfois, de toutes petites choses évidentes, d’autres plus réjouissantes, d’autres encore plutôt floues mais intéressantes à essayer, et si, ça peut aider, pourquoi s’en priver?…Il n’y a rien de révolutionnaire mais en même temps, le défi est d’être PLUS heureux. Une addition. Juste un peu plus heureux qu’au départ, juste une addition de pratiques ou de réflexions autour de l’idée du bonheur. Une addition simple de 5 aspects de notre vie pour accroître le bien-être…



J’ai lu et adoré les 5 clés du bonheur de Tal Ben-Shahar, parce qu’il est un outil pour apprendre. Je ne cherche pas le bonheur, j’ai bien compris qu’il se barre vite fait, si on lui court après…Je ne le cherche pas donc, mais je m’y adonne…Je l’invite, si il veut, mais je ne fais pas d’illusions, non plus, il m’a l’air d’être très volatil mais contagieux aussi... Il ne tient qu’à vous de savoir si vous allez vous servir de ce livre, ou pas…Pour ma part, je vais laisser infuser. J’ai trouvé la lecture passionnante et j’y reviendrai certainement piocher des harmonies de temps en temps, parce qu’en ce moment, le sujet m’interpelle, mais j’ai besoin d’aller chercher plus en profondeur, plus dans la philosophie que dans la pratique…Sur ce, je vous laisse méditer à vos bonheurs…
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NON. Ni dominant ni dominé. Ni exploiteur ni exploité. Ramasse ton darwinisme social à deux balles et tire-toi. Qu'est-ce que tu dis? "Dans le monde actuel, où le changement est constant, seuls pourront survivre et s'épanouir ceux qui cultivent la capacité à s'adapter constamment, à progresser avec leur époque, ou à être en avance sur leur temps." NON. Dans le monde actuel où tout s'effondre, seuls pourront survivre ceux qui cultivent un mental, un moral et une intelligence incorruptibles pour résister à la pourriture néo-libérale qui entraîne après soi toutes les catastrophes écologiques, humanitaires et civilisationnelles. "Adapte"-toi, suivant ta propre recette: le temps des trous du cul est fini.

On peut être dubitatif devant ce type de 'trucs et astuces pour être plus heureux'. Pourtant, ce petit livre facile à lire est intelligent et plein de bonnes idées, et j'y reviens souvent en cas de chute de moral.



En fait, il combine habilement des passages théoriques sur la vie heureuse et des conseils pratiques, un peu comme des recettes de bonheur. Bien éloignées de la Méthode Coué ou des sophismes niais à la mode, ces recettes sont justes, bien pensées et réalisables. Par exemple noter chaque semaine 5 petits bonheurs pour en prendre conscience. Ou bien transformer ses bonnes résolutions en rituels pour leur donner corps.



Vous pensez qu'il n'y a là rien de révolutionnaire ? Qu'il s'agit simplement de bon sens ? Oui et non. Le bonheur lui-même relève bien plus d'un quotidien joyeux et rempli de sens que de grandes idées éloignées de notre vie. Pour autant, est-il facile d'être heureux ? Non, justement, on n'est pas tous heureux tout le temps (et c'est un euphémisme). Ce petit livre nous aide à remettre les choses en ordre dans notre tête, les priorités en place dans notre vie, le bonheur sur notre chemin. Apaisant et positif, il peut nous inciter er à changer et nous faire du bien. Bien plus à mes yeux que les autres livres de 'Psychologie positive' que j'ai lus...

De nombreux livres sur la pensée positive existent déjà, celui-ci est un rappel de tout ce qui a déjà été écrit, avec des exemples concrets, et le mérite d'être présenté sous une forme pratique : un sommaire bien étayé qui nous incite à choisir une page en fonction du moment, et rend l'ouvrage attrayant . C'est presque une réflexion par jour, une invitation à l'autre forme de méditation.

Il ne se résume pas, il se découvre en fonction de votre personnalité et de votre vécu!

Le titre original de ce livre, "The Joy of leadership. How positive Psychology Can Maximize Your Impact (And Make You happier) In a Challenging World", est plus explicite que sa traduction française, le bonheur d'être Leader. En effet, le propos embrasse une vision plus large que celle du travail et propose non seulement une réflexion sur le leadership, mais également l'épanouissement à travers le bonheur.

Les auteurs, Tal Ben-Shahar, conférencier reconnu, enseignant à Harvard, déjà auteur de plusieurs bestsellers, et Angus Ridgway, fort d'une expérience de plus de vingt ans chez McKinsey, célèbre cabinet de conseil, sont américains et cofondateurs d'une société spécialisée dans le développement du leadership. Ce qu'ils n'oublient pas de rappeler régulièrement dans ce livre, qui regorge de références à cette société. Il est toujours intéressant de comparer les approches culturelles du développement personnel ; elles sont souvent très pragmatiques et décomplexées de l'autre côté de l'océan, « L'ambition de ce livre est de rendre un grand service au monde, en favorisant l'émergence d'une redéfinition de la formation des dirigeants. » Rien que ça. Rendre un grand service au monde… l'ambition est louable. Voyons voir si, déjà, sa lecture peut avoir un impact sur mon "univers".

Le livre est structuré en plusieurs parties. Les neufs premiers chapitres exposent chacun une thématique développée sur une dizaine de pages, dans lesquelles les auteurs vont accumuler les références bibliographiques et / ou anecdotiques. Cela donne une impression un peu fouillis et parfois indigeste, tant ces références sont nombreuses. Et les thématiques abordées sont assez exhaustives, mais pour la plupart déjà vues par ailleurs dans de nombreuses publications – et je ne fais pas référence ici aux publications de recherche, mais bien à des ouvrages ou articles de vulgarisation.

Les exemples m'ont paru curieusement datés pour une édition de 2017. En particulier pour les leaders célèbres : sont évoqués - encore et toujours – Jack Welch ou encore Steve Jobs. Plus étonnants et appréciables car peu cités par ailleurs, mais pas beaucoup plus récents, des exemples de leadership au féminin : par exemple Anita Roddick, fondatrice de The Body Shop.

Ensuite, une remarque sur la tonalité du livre : les auteurs utilisent ponctuellement leur propre expérience pour illustrer leurs propos, et le font à la troisième personne, ce qui donne une étrange impression, comme un manque d'authenticité.

Les trois derniers chapitres, plus originaux, orientent le lecteur vers l'action plutôt que la réflexion. Ils seraient l'atout de ce livre s'ils ne vantaient pas sans subtilités les apports du programme vendu par Potentialife, la société fondée par les auteurs.



Cet avis est rédigé très rapidement après avoir refermé le livre. Je sais d'expérience que, parfois, les lectures de développement personnel peuvent résonner a posteriori…on verra alors ce qu'il en subsistera, parfois plus, parfois moins que mon impression première. A ce stade, déjà, une certaine idée de gérer son énergie plutôt que son temps, ce qui n'est pas rien.



Merci à Babélio et l'éditeur de Boeck pour cet envoi dans le cadre d'une masse critique.

Attention malgré le titre de ce livre, vous ne terminerez pas la lecture avec une nouvelle coupe de cheveux ! Quoique vous irez certainement prendre un rdv et savourer les brefs échanges avec votre coiffeur !

L'auteur en tout cas à ici partager toute la psychologie positive du sien empreints de la culture israélienne. Une culture qui aime profondément la vie et sais donner un sens au bonheur en puisant dans l'essentiel.

Ce qui pourrait vous plaire dans ce livre :

- un petit livre : 110 pages en poche

- des chapitres très courts (souvent deux pages)

- des thèmes variés : générosité, prendre son temps, confiance, etc...

- un appui scientifique (souvent des études de psychologie) pour corroborer ce qu'affirme l'auteur (ou son coiffeur !)

- des idées simples et sensées, qui peut-être s'avéreront révolutionnaires pour certains lecteurs

Le grand spécialiste de la psychologie positive ancre ses connaissances scientifiques dans la sage expérience de son coiffeur dont il apprécie les conversations, la manière d'être.

Est-ce un livre qui "nous apprend à aimer la vie, tout simplement" comme l'affirme la 4e de couverture ? Peut-être qu'il est une bonne porte d'entrée pour les personnes qui découvrent la psychologie positive, peut-être qu'il peut servir de piqûres de rappel pour celles qui sont déjà sur ce chemin-là... C'est un livre pédagogique et accessible.

Mais je dois avouer que l'amour de la vie était pré-existant à ma lecture et je n'ai pas le sentiment d'avoir beaucoup appris sur moi à partir de ce livre de développement personnel... J'ai par contre découvert deux hommes et leur relation, un peu de la culture israélienne, et beaucoup souri en pensant à mon propre ami coiffeur.

Des méthodes toutes très intéressantes, pour le bien être relationnel, psychologique, spitrituel, intellectuel, et émotionnel. Des conseils à lire et à relire pour lâcher prise, et définir son bonheur. Être encore "plus" heureux en mettant en place divers exercice simple. Un bon livre de développement personnel 

Dans cet essai, Tal Ben-Shahar s’attaque au problème du perfectionnisme. On a souvent tendance à considérer ce comportement comme un atout caché, vous savez ce « faux » défaut qu’on a tendance à nommer lors des entretiens d’embauche ;)



En lisant ce livre, j’ai réalisé que le perfectionnisme est une cause de notre malheur et qu’on a tout intérêt à essayer de s’en défaire pour gagner en sérénité de façon durable. L’auteur lui-même a longtemps été aux prises avec le perfectionnisme et c’est en tentant de changer qu’il a pu analyser les causes de ce trait de caractère et les moyens de trouver une autre façon d’agir.



Ben-Shahar oppose donc le perfectionniste à l’optimaliste qui, au lieu de chercher la perfection en toute circonstance, va tenter de faire pour le mieux tout en considérant ses propres valeurs. Il peut évidemment s’agir des études, du travail mais aussi l’acceptation de ses émotions : ce n’est pas une honte de pleurer ou de ressentir de la tristesse, ce n’est pas un échec complet de rater un examen. L’idée ici est de chercher à relativiser les situations dans un contexte plus grand que l’événement en lui-même.



Comme dans l’Apprentissage du Bonheur du même auteur, de nombreux moments de pause, de réflexion ponctuent la lecture de cet essai. Chaque chapitre est également terminé par un exercice plus complet qui a pour but de nous amener à réduire notre côté perfectionniste pour un peu plus de bonheur dans notre vie.



Cet essai va à contre-courant de la pensée courante, ce qui en fait un objet de réflexion très intéressant sur lequel j’ai pris plaisir à me pencher.



Reste à faire les exercices ;)


Lien : https://www.instagram.com/p/..

J’ai découvert ce petit livre via Instagram, grâce à un concours organisé https://instagram.com/theeveprogram?utm_medium=copy_link 🙏🏻❤️ J’adore ce petit recueil, un plein de positivité que je garde sur ma table de chevet pour avoir ma petite dose de « good vibes » chaque jour, dès le réveil flamme 🔥



Résumé éditeur : Comment apprécier le goût des choses simples ? Trouver du sens à nos difficultés ? Peut-on éviter d'être pris au piège du perfectionnisme ? Pourquoi est-ce si difficile de donner une bonne éducation à nos enfants, de réussir nos vacances, de prendre une décision... ?

En associant les réflexions pleines de sagesse de son coiffeur avec les dernières découvertes sur le cerveau et la psychologie positive, Tal Ben Shahar, le professeur du bonheur, nous apprend à aimer la vie, tout simplement.

Un livre de développement personnel très léger, qui m'a été conseillé par une bonne psychologue. Ce livre nous fait voir le bonheur d'une manière simple et facile à acquérir et nous affirme qu'il est dans les choses les plus simples, j'ai beaucoup apprécié la sagesse du coiffeur Avi et sa manière de voir les choses.

Un auteur titré, une approche pragmatique a la manière " américaine" , largement appuyée par des expériences , une préface engageante. Alors pourquoi pas suivre l'auteur?

D'autant qu'il " rassure" des le début en indiquant qu'il n'a pas trouvé la recette secrète ," le bonheur en 5 étapes".

J'ai apprécié, outre le texte lui même, les incitations au questionnement , à la mise en situation du lecteur.



A tort ou à raison, j'ai été moins convaincu par le pragmatisme , l'aspect terre à terre de cet ouvrage . Peut être est ce bien l'objectif de l'auteur: mettre à bas des mythes. Sa conclusion est assez significative. " il n'y a rien de plus à vivre que les détails quotidiens ordinaires."

Finalement, tout ceci ne nous engage t il pas à accepter ce qui est comme il est ?

Une lecture - à peine biaisée...- nous amène t elle finalement au pessimisme d'un Schopenhauer?



Exemples?:

Amour se résume à amitié.

Privilégier le voyage à l'atteinte des objectifs que l'on s'est fixé .

Voire, le questionnement ( soyons honnête: il est répondu par la négative) : faut il chercher à être plus heureux?



Adieu romantisme!

J'ai tellement entendu parler de ce "professeur de bonheur d'Harvard" et de ce livre, que j'ai voulu me rendre compte par moi-même. Je ne m'attendais pas à des "chapitres" aussi courts (pour énoncer 101 choix... mais qui se répètent parfois), quelques explications, des exemples. Parfois un peu simplistes... mais qui souvent donnent cependant à réfléchir.

Je viens de relire ce livre et cela fait toujours autant de bien de lire cet auteur ! Ce n’est pas un manuel en 10 leçons pour accéder au bonheur.. mais plutôt un livre qui nous invite à réfléchir à notre vie !! Les exercices simples permettent de réfléchir à notre vie passée et à réfléchir à notre fonctionnement ! Le bonheur est un chemin et la route est longue … et ce n’est pas linéaire ! Ne pas attendre d’avoir une galère de santé pour mesurer notre bonheur qui se cache même derrière les cadeaux mal emballés de la vie

La préface m’a séduite et convaincue que je n’allais pas avoir à faire à un simple livre de développement personnel… et c’est le cas !!

La structure de ce livre est intéressante, l’auteur nous propose, je cite : « des pauses non pas de repos mais d’introspection, qui [n]ous donne l’occasion de méditer quelques instants sur ce que l’on vient de lire.

Il nous conseille aussi des petits exercices à mettre en place, sur des semaines, des mois, voir une année entière.

J’ai trouvé les premières pages très attrayantes, très simples à comprendre avec des exemples pertinents …

Au fil de la lecture, les concepts deviennent de plus en plus profonds, et même si les exemples restent simples à comprendre, j’ai trouvé que le vocabulaire se complexifiait légèrement…

Ne vous attendez pas à trouver dans ce livre des conseils prémâchés, ni des routines ou des programmes précis, mais plutôt de vrais outils d’analyse qui rendent la lecture de cet essai plus profitable et plus personnalisée.

Comme le dit si bien la 4eme de couverture l’auteur nous offre au travers des pages de son livre : des clés, des outils, des principes pour apprendre à être heureux et à vivre...tout simplement.
Lien : https://www.etsionparlaitlec..

"Je suis perfectionniste, mais j'me soigne", telle pourrait être la devise de tout lecteur de ce livre.

Tal Ben-Shahar explique être un perfectionniste qui a compris au fur et à mesure de ses diverses expériences que le perfectionnisme est contre-productif.

A force de vouloir trop bien faire et sans erreur, on s'auto-saborde.

Il a choisi de mettre ses découvertes au profit d'autres perfectionnistes comme lui.

Il évoque le concept d'optimalisme, sorte de perfectionnisme positif car acceptant l'échec.

En acceptant le fait que nous sommes humains et donc pas infaillibles, on apprend à s'accepter, avec ses qualités et défauts, ses forces et faiblesses, et on apprend ainsi à ne plus cacher ses émotions aux autres.

En bref, il ne faut plus avoir peur d'être soi.



L'auteur balaie différents domaines de la vie : le travail, la famille, l'amour, l'éducation.

Ce livre aide à relativiser et à se dire qu'un échec n'est pas forcément négatif à 100%, car il peut même permettre d'en apprendre plus sur soi-même et avoir encore plus la gnaque.

Pas adepte des livres de développement personnel en temps normal, celui-ci m'a pourtant convaincue.

A mettre entre toutes les mains des perfectionnistes.

Tal Ben-Shahar est un enseignant et écrivain américano-israélien spécialisé dans la psychologie positive. Il a écrit de nombreux livres dont « Conversations avec mon coiffeur » en 2018.

Dans ce livre, il décide de mettre par écrit les conversations qu’il a avec son coiffeur, Avi Peretz, lors de ses rendez-vous. Les thèmes abordés sont nombreux et variés : amour, amitié, sport, famille… Chaque passage dans ce salon permet de mettre en avant des idées simples, accompagnées de raisonnements scientifiques. Cela en fait un ouvrage accessible et pédagogique.

Les chapitres sont très courts. Le livre fait seulement une centaine de pages. C’est une très bonne lecture détente qui permet d’apprendre plein de choses.

Une belle découverte.

Pour commencer, une préface de Christophe ANDRE, je me dis que forcément, ce livre devrait me plaire. Et en effet, il reprend des éléments de la « méditation en pleine conscience » de ce psychiatre en axant sa réflexion sur la capacité à savourer les moments présents plutôt que sur la méditation.

Un peu de redites sur la fin qui ont le mérite d’enfoncer le clou. L’auteur donne des pistes de réflexion sur soi, notre propre perception de la vie et illustre ses propos par des exemples simples donc clairs. Exemples évoquant souvent la cuisine (je pense aux lasagnes ou aux hamburgers), incontestablement, cela me parle.

Il propose des exercices de réflexion auxquels j’ai moins adhéré ; certes, le bonheur se cultive mais il ne faut pas non plus tomber dans une analyse de chacun de nos faits et gestes qui requiert temps et impliquerait la participation des familles et proches.

Ses théories m’ont bien plu mais j’émets des réserves sur la mise en pratique, préférant d’autres façons de faire plus simples, celles de C. ANDRE notamment, mais on est davantage dans la méditation.

Néanmoins, c’est un bon ouvrage.