Citations de Thierry Serfaty (151)
pourquoi est- on violent?
On est violent quand parler ne sert à rien
Comment lutter contre?
Au lieu d'être violent parfois on peut rêver
A quoi bon vivre sans chercher? Viendra le temps où je me contenterai de ce que je sais; ça s'appelle la vieillesse. Ce jour-là, j'espère que je serai morte.
Les souvenirs douloureux s'enracinent s'il n'y a rien pour les remplacer (…)
Calmez-vous et apprenez à respecter la réflexion des autres. Vous m'avez posé une question, souffrez que j'y réfléchisse à deux fois avant de vous répondre.
Oui, c'était probablement ça la liberté: un espace intérieur inestimable, de l'air partout, dedans, dehors, et surtout un poids écrasant définitivement disparu. (...) rien n'est plus délectable en matière de liberté que le moment précis où l'on se détache de son joug.
N'allez pas me parler de scrupules ni même d'éthique. L'éthique, en science, se résume en un mot : le progrès.
Les scientifiques appellent le sommeil " l'aimable tyran " : il impose sa loi tout en étant un bienfait.
Un rire se perdit dans l'immensité des montagnes, tout autour d'eux.
Le gardien eut la chair de poule, et ce n'était pas à cause de la température extérieure. Il sentit un froid plus terrible monter dans son corps et envahir l'autre moitié encore valide. Il voulut parler mais les mots restèrent au fond de sa gorge, et il se mit à gargouiller comme si de l'eau coulait dans un lavabo.
L'homme retira sa botte du visage du gardien. Il fit quelques pas en arrière, puis s'approcha de Sergueï pour lui voler sa fourrure. Il s'en enveloppa et s'éloigna, droit sous la neige et face au vent qui venait de renaître, abandonnant le cadavre qui disparaissait déjà sous une fine pellicule blanche au pied de la forteresse.
Célia voulut répondre, mais sa gorge se noua. Pour la première fois depuis des années, Violette parlait de son père. Oscar ravala son chagrin et réussit à sourire.
- Si, Violette, on peut toujours s'envoler. Il n'y a pas que les fenêtres pour ça. Tu fais comment, toi ?
- Moi ? répondit sa sœur, hésitante. Moi, je rêve.
- Voilà, conclut Oscar. Papa aussi, il a rêvé.
Accepter son corps, ou accepter de l’avoir rejeté, de l’avoir enveloppé et d’avoir muselé son identité féminine.
(…) toujours une distanciation à son propre égard: se regarder tel un être détaché d’elle-même, et trouver la paix dans cette séparation artificielle, à défaut d’accepter cet autre.
(…) probablement un coup tiré à bout portant. Ça rentre, ça massacre tout et ça ressort poliment de l’autre côté.
- Ils vont... gagner, dit-elle.
- Compte tenu des circonstances, lui murmura Iris, je t'autorise à dire n'importe quoi.
J'ai bien aimé le livre, je l'ai relu une deuxième fois car je ne m'en souvenais plus trop. La première fois j'avais déjà apprécié.
On s'attend pas vraiment à la fin, beaucoup d'explication sur l'immunologie, etc... mais ce type de registre n'est pas mon préféré.
Oscar plaqua sa main sur la bouche de Valentine.
- Vous entendez ce grondement ?
- Non, reconnut-elle.
- On dirait quelque chose qui tourne à grande vitesse, ou qu'on centrifugerait...
- Dis-nous : "un truc inquiétant". On comprend tout de suite, dit Lawrence, aux aguets.
- Oh, on me tutoie. On a vraiment grandi.
Oscar esquissa un sourire, avec une maîtrise parfaite de ses émotions.
- Avec l'âge, je reconnais tout de suite les vipères.
- Si je puis me permettre de donner mon avis, murmura Lawrence, compte tenu de la situation, cette dernière remarque n'était pas indispensable. Une femme susceptible pourrait mal le prendre.
Valentine se colla à Oscar.
- Tu as un plan ? souffla-t-elle.
- Ne bougez pas.
- D'accord. Tu n'as pas de plan.
Parce que ces gosses que je n'aurais même pas espérés dans mes rêves les plus fous, je n'avais pas le moindre souvenir de les avoir eus avec quiconque.
mon livre prefere apres autre monde de maxime chatam, oscar et ses amies c est trops bien cette saga m a vraiment plus j espere qu il y aura une suite....
" Pourquoi est on violent ?
On est violent qu' en parler ne sert a rien.
Comment lutter contre ?
Au lieu d' être violent, parfois, l' on peut rêver; "