Thomas Legrain

Sisco se sépare de sa compagne et se retrouve en mission aux États-Unis. Là, il va assister impuissant au kidnapping de sa soeur, qu'il vient de retrouver. le scénario est un peu plus alambiqué que pour les épisodes précédents. Toujours beaucoup de violence.

Une nouvelle mission pour l'agence, toujours dans le monde de l'art. Dans ce deuxième album, la raison d'être de l'agence se précise. Nous commençons à comprendre un peu plus le rôle des uns et des autres et les adversaires qui vont se dresser face au MX-22 dans les missions futures.

Le dessin reste très sobre, simple, sans vrai relief.

Définitivement, dernière lecture pour moi dans cette série, trop fade, malgré un sujet intéressant celui de l'art et des missions tirées de faits réels.

J'ai eu la chance d'obtenir ce deuxième tome dans le cadre du récent vide-bibliothèque organisé par Babelio. Un grand merci car ce deuxième opus vaut largement le premier.



Dessin et couleur servent admirablement l'histoire de cette unité de commandos née dans les sables du Sahara. L'impression cinématographique est omniprésente et rend la lecture très sympa.



Une série à offrir à tous les passionnés d'Histoire !

Venez faire la connaissance de Stirling, Paddy et Jock. Trois personnages haut en couleurs mis en avant dans ce premier tome. Stirling l'écossais, est le fondateur du SAS. C'est dans son lit d'hôpital qu'il a l'idée de ces commandos. Il fait appel à Paddy, l'irlandais, une forte tête et à Jock, l'Australien, conteur de cette histoire. Une histoire vraie donc, se passant en Afrique au début de la seconde guerre mondiale. Le SAS, des commandos, est créé pour faire face aux forces de Rommel en Egypte.



Si vous voulez connaître tous les détails, un dossier de 8 pages est inclus à la fin de la BD et c'est ma foi fort instructif, mais surtout indispensable à la fois pour prolonger le récit et pour le comprendre un peu mieux.



Le récit commence à cent à l'heure. On fait connaissance des hommes, des commandos. On suit rapidement leur entraînement et on se retrouve immédiatement propulsé dans l'action. Un peu trop vite à mon goût, je dois le reconnaître, car j'avais encore du mal à savoir qui était qui. Cependant au bout de quelques pages, j'avais pris mes marques et je les suivais avec beaucoup d'intérêt. Leurs caractères si différents sont particulièrement bien fouillés et retranscris, mais ce qui étonne sans doute le plus c'est la qualité du dessin qui rend les scènes de combat si réelles et intenses

















Les personnages sont incroyablement réussis. C'est réaliste et sublimé, le tout à la fois. Le caractère des protagonistes transpire à travers leur silhouette. Et les scènes de combat sont d'une fulgurance éblouissante. Rien n'est caricatural, le ton est très "juste" (du moins à mon humble avis, n'étant pas une experte sur le sujet)



Sans être un coup de coeur, je me suis retrouvée à lire cette BD d'une traite, puis à lire le dossier historique dans la foulée, et voulant en savoir plus, j'ai ensuite fouiné sur le net pour découvrir un peu plus les différents personnages. J'étais donc bel et bien ferrée par le récit.



The regiment est une BD très réussie. Son point fort est sans aucun doute la qualité du graphisme. Evidemment le récit est passionnant, mais bon c'est une histoire vraie. Il n'empêche que le découpage, très nerveux donne beaucoup de rythme à l'histoire au risque parfois de perdre de lecteur. J'ai dû faire "marche arrière" plus d'une fois. A mon avis, le "cahier" historique aurait dû être placé au début pour imprégner le lecteur avant la plongée dans cet univers. En ce qui me concerne, j'aurais été un peu moins perdue au début.



Les passionnés d'histoire y trouveront beaucoup de plaisir, mais pas qu'eux. C'est un récit très "humain" et réaliste. Une autre façon de découvrir l'histoire.


Lien : https://bookenstock.blogspot..

Je suis toujours assez désemparé quand vient le moment de critiquer une bande dessinée. L'exercice m'en paraît extrêmement difficile. Plus encore qu'un roman, un tel ouvrage relève pour moi d'une magie alchimique. Alors n'attendez pas de moi une grande critique. J'ai aimé ce bouquin. Pourquoi ? L'odeur du baroud, le grain de sable qui vient gripper l'Histoire, les grandes gueules au cœur d'or... ou simplement le désert et des échos de films qui m'ont enchanté enfant (Un taxi pour Tobrouk notamment...).



Les auteurs livrent ici une histoire fort sympathique servie par un superbe dessin aux couleurs magiques. N'hésitez pas, faîtes-vous plaisir.

Etant adepte de fantasy plus que de polar, je n'ai découvert cette BD qu'au travers des 48h de la bd, et j'avoue que je ne regrette pas mes 1 euros. Déjà, le trait de crayon est sympa. L'histoire se tient, mais surtout les traits de caractères des personnages m'ont beaucoup fait rire. C'est à la fois sombre et marrant. De là à dire que je lirais la suite, je ne le sais pas encore, mais si l'occasion se présente, pourquoi pas.

Bagdad Inc. secoue et interpelle ainsi davantage par son contexte économico-politico-militaire réaliste que par son aspect "policier".
Lien : http://www.auracan.com/album..

À lire pour (re)découvrir l'histoire extraordinaire et tragique d'un génie.
Lien : http://www.auracan.com/album..

Pendant la guerre du golf un tueur en série tue des personnes les mutiles et en laissent des messages.La mutilation va servir pour faire une oeuvre d'art.Horrible mais bien construis cette bd est en plus bien dessinées. A lire

Sans foi ni loi



Dans la collection Troisième Vague des séries d’action du Lombard (I.R.$., Alpha, Niklos Koda, Vlad, Capricorne, Healer, …) est né l’an passé un nouvel héros, plutôt atypique, Sisco. Créé par deux jeunes auteurs Benec et Thomas Legrain, ce personnage d'origine corse est un tueur travaillant pour la DGSPPR, la sécurité du président de la République. Ce thriller politique très noir – véritable fiction espère-t-on - plonge dans des arcanes inavouables du pouvoir de la République française.


Lien : http://bd75011.blogspot.com/..

BD de guerre et d'horreur, ce n'est pas le graphisme qui m'a d'abord attiré vers ce Latah.

C'est plutôt l'histoire à base de vieilles légendes dans un coin reculé du Viêtnam.

Et puis je m'y suis fait à ce dessin en suivant nos "héros" américains dans cet enfer vert.

Une histoire pas forcément très originale mais c'est rondement mené et on tourne les pages pour en savoir plus sur ce Latah !

Un troisième tome que j'ai trouvé le plus réussi que ce soit au niveau du rythme ou du récit.

Les actions du SAS sont nombreuses pour ralentir le Maréchal Rommel qui remporte victoire sur victoire. On découvre aussi dans cet album que la guerre se gagne sur le terrain mais aussi dans les états-majors.

Le Major David Sterling va devoir encore batailler pour démontrer l'importance de son unité et le soutien qu'elle mérite.

Cette série a le mérite d'avoir mis en lumière les débuts d'une unité de commando et d'avoir réaliser un récit mêlant autant les faits historiques que les moments d'action. Une raison pour laquelle le premier tome était un peu trop long et le dernier bien plus prenant.

Je pense que ce genre de série méritait d'être accompagné d'un dossier pour détailler les faits historiques et laisser plus de place dans le récit aux moments d'action. Un compromis qui aurait mérité d’avoir un récit plus homogène et plus prenant du premier au dernier tome ; et le dossier aurait permis de mieux comprendre le déroulé des opérations lors de cette guerre du désert ; et aussi le destin des personnages principaux et du SAS.

C’est le premier livre de Thomas Legrain que je lis (Bagdad Inc. où il ne fait « que » le graphisme est quelque part dans ma PAL) et c’est une franche réussite. Le mélange de critique de la guerre du Vietnam, d’horreur fantastique et de questionnement sur le poids de la culpabilité regroupe des thématiques que j’aime beaucoup. Visuellement, c’est très beau et très solide, parfois impressionnant. Le seul reproche que j’aurais à faire est qu’à l’exception de deux personnages, on n’a pas vraiment le temps de découvrir le reste de l’unité. Le fait que le chef d’unité ne soit au final ni le protagoniste principal ni le héros de l’histoire est un petit plus appréciable, car loin des poncifs du genre.
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Une belle BD avec des graphismes réalismes qui sont en phase avec l'histoire. J'ai trouvé que les boîtes de dialogues ne sont pas toujours bien adaptées aux dessins... c'est un détail. N'étant pas très informé sur ces sujets politico-financiers, je me suis accroché pour suivre l'histoire mais c'est un détail !

Il s’agit là d’une suite de BD historique très appréciable à lire avec de très belles illustrations bien détaillées qui, même avec le peu de texte présent se fait très bien comprendre. J’imaginais même par moment le bruit des véhicules, des avions, des explosions etc. Que ce soit pour les onomatopées ou les bulles, la police d'écriture est juste top rendant la lecture fluide et rapide. D’ailleurs, avec cette superposition d’image et de bulles ne restant pas énormément dans leur cadre, cela donnait une autre dimension à ma lecture, l’enjolivant, donnant une impression de réalisme.



Quant à l’histoire se trouvant à l’intérieur, elle est juste prenante. Ayant quelques lacunes concernant cette période que je maîtrise plus ou moins bien, j'ai beaucoup apprécié apprendre une partie de la 2nd GM de cette manière et enjoliver ainsi ma culture en Histoire, une discipline que j’aime énormément. On y découvre les débuts difficiles de ce petit groupe britannique qu’est appelé le SAS, comment il a été créé, par qui, pourquoi etc. Et la fin du premier livre ajoute quelques pages de point culture avec des dates, des explications de ce qu’est le SAS et ce qu’il devient au fur et à mesure du temps, ainsi que des cartes.

J’ai parlé de bulles un peu plus tôt, mais en réalité les dialogues sont très peu nombreux. La plupart de l’histoire se passe avec un narrateur qui se trouve être l’un des trois protagonistes principal du groupe. C’est comme si nous étions sur une sorte de mémoire, sauf que ce mémoire continue visiblement même dans l’au-delà. J’ai été également agréablement surprise de voir que même le fils de Winston Churchill s’est enrôlé dans ce petit groupe d’élite.



Enfin bref, c’est une bande dessinée que je vous recommande vivement si vous êtes comme moi, passionnés d’histoire et intrigués par le passé.

Sisco est fait prisonnier par des russes peu commodes (voir T11). À force de trifouiller il s'est fait pincer et s'apprête à passer un mauvais quart d'heure. Ne vous inquiétez pas, il va vite s'en sortir pour repartir de plus belle afin de trouver qui tire les ficelles de cette histoire et confondre les responsables de la mort de ses ex-équipiers. De son côté sa femme se remet des événements précédents mais elle va tout aussi vite se remettre dans les emmerdes... Douzième et dernier tome pour Sisco dessiné par Legrain et scénarisé par Benec. Une deuxième partie d'histoire entamée précédemment qui se lit à toute vitesse tellement l'action est omniprésente et qui donne envie de connaître la conclusion finale. Les auteurs clôturent avec brio cette aventure débutée en 2010.

Suite directe du tome précédent, la fille du président est toujours en danger mais protégée par Sisco le franc-tireur. Le héros va-t-il réussir à redorer son blason?

Toujours dans la même veine. C'est dynamique, beaucoup d'action, bien dessiné et bien scénarisé... à part ce manque récurrent d'approfondissement de psychologie des personnages (enfin de ceux qui restent vivants plus de quelques pages).

Sisco-Castiglioni travaille pour l’Élysée. Sa nouvelle mission consiste à "débarrasser" le président d'un gêneur. Mais alors qu'il maquille son crime en suicide, Sisco est surpris par un laveur de carreaux qui prend la fuite. Le début des ennuis pour cet agent très spécial de la République.

Une bonne BD dans le style classique de la BD franco-belge tant par le graphisme épuré, sobre et précis que par le scénario. Et par ailleurs, instructif.......

Une bd achetée dans le cadre des 48h de la BD. L'enquête ne commence pas trop mal mais je n'ai pas été sensible aux dessins, et beaucoup de clichés "le bon flic, le mauvais flic", la jolie secrétaire... m'ont fait perdre mon intérêt pour cette histoire.

J'aurais au moins fait une bonne action.

Un one-shot qui en fait parfois des tonnes, mais qui demeure solide et bien conçu.
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