Valérie Cohen

De quoi se mêle cette vieille dame qui apprend que ses jours sont comptés ? Ne pourrait-elle pas de contenter de faire des gâteaux, de les distribuer, de faire plaisir ? De donner de vrais conseils de vie ? De partager des souvenirs ?

Non, elle décide de faire le bonheur de ses "petites-filles de coeur".



Au passage, elle aurait aussi pu se soucier de leur mère qui semble avoir plus besoin d'aide que ces deux jeunes femmes pas si mal dans leur peau que ça.



Alors, le hasard n'en est pas un. Je dirais plutôt qu'il s'agit de mensonges et de manipulation et ça c'est, c'est moche.



Pas grand chose à retenir de ce court roman, à part la recette de gâteau, version sans whisky pour ma part.

Joli brin de femme épanouie à la carrière radieuse, la vie d’Emma semble toute tracée. Développer son entreprise de prêt-à-porter, cultiver ses amitiés, aimer paisiblement son mari et son fils.

Mais une fois par an, Emma revient à ce jour, il y a vingt ans, lorsque son amour de jeunesse l’a quittée. Quand elle apprend que cet homme est actif sur un site de rencontre pour personnes mariées, la tentation est grande de revisiter ses souvenirs.

Quelle trace laisse un premier amour ? Est-il possible d’apprivoiser le passé quand il s’immisce dans le présent ? Peut-on tourner la page sans renoncer à hier?

Par ce roman, je découvre cet auteur belge et je ne peux qu'avouer que cela es un coup de cœur!

En tournant les pages, comme on soulèverait un pan de robe, on découvre un histoire d'amour inachevée pleine de rebondissements tantôt graves, tantôt drôles mais toujours inattendus et captivants. Emma est une jeune femme captivante, pleine de certitudes pas si stables que cela finalement. Les personnages secondaire sont variés mais tous intéressants: Alexandra st la meilleure amie toujours présente et pleine de conseils; Gilles, l'associé soutien et Blandine, une dame pipi étonnante à la langue bien pendue!

L'écriture fluide apporte une impression de légèreté, mais sous cet aspect cotonneux et soyeux, on découvre des tissus plus irritants se nommant remords, regrets, insatisfaction...

Cette lecture a été pour moi un vrai plaisir où j'ai découvert une plume entrainante et passionnante. Les phrases sont riches de petits conseils distillés au compte gouttes. Il apporte un regard sur la vie et notre façon de la mener.

Ce roman commence d'une manière un peu conventionnelle.

Emma réussit bien dans la mode et est heureuse avec Yvan.

Pourtant elle ne réussit pas à oublier son amour de jeunesse.

Cette impression de déjà vu se disssipe quand on fait la connaissance d'Alexandra, sa meilleure amie assez déjantée, de Gilles, l'ami de toujours et de Blandine, celle qui va bouleverser l'ordre des choses.

C'est une jolie histoire pleine de tendresse et d'humour.

Un vrai roman feel good qui se lit d'une traite et dont on garde beaucoup de douceur.

Pas mal dans les temps qui courent.

Je remercie Babelio et les Editions Luce Wilquin pour m'avoir fait parvenir ce livre dans le cadre de l'opération Masse Critique.



Adèle est devenue la tante de cœur de Roxane et Sophie. Elles se rencontrent toutes les semaines autour du fameux cake au chocolat d'Adèle.

Celle-ci se sait mourante et ne veut pas partir sans être sûr que ces nièces sauront voir la vie sous le bon angle afin d'être heureuses.

Elle va donc les guider malicieusement avec l'aide de son aide à domicile à faire attention aux hasards, aux coïncidences...

Leurs certitudes vont en être perturbés.

Le hasard a un goût de chocolat est un roman court, qui aborde le sujet de la transmission, de l'amour, de l'attachement, de prendre le temps d'observer la vie...

j'ai apprécié ce roman, une lecture douce et poétique

Adèle Gérard va bientôt fêter ses 76 printemps, elle a le coeur fatigué et décide de rédiger un testament un peu particulier. Sans enfant, elle décide que ses héritiers seront la descendance de sa meilleure amie Silvana décédée il y a de nombreuses années.



Françoise est la fille de Silvana, sa filleule, elle est avocate, la cinquantaine, une stressée, excitée du du chiffon et de la propreté. Elle a trois enfants au nom de famille différent et ne croit pas vraiment au bonheur.



- Roxanne : en couple avec Philippe qui manque de dialogue. Leur relation se délite peu à peu. Elle trouvera au marché aux puces une photo de son arrière-grand-oncle. C'est étrange c'est le même portrait que dans la cuisine d'Adèle. Quel hasard ! elle veut en savoir plus



- Sophie : est prof de langue, séparée de son compagnon, elle ne croit pas trop aux signes du destin.



- Vadim : le frère qui vit heureux à des kilomètres de là.



Avant de partir, Adèle aimerait avec la complicité d'André son second mari et celle de Linda son aide ménagère, permettre aux filles de vivre leur vie sans trop se poser de questions, se laisser porter, lâcher prise et avoir confiance en la vie.



Mais il y a du boulot !



C'est une écriture toute en tendresse et en poésie qui nous parle du hasard et des synchronicités, ces petites choses qui avec le recul guident sans doute nos vies. Hasards, coïncidences ?



Un livre rempli d'humour qui fait du bien.



Ma note : 9/10
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Le point de départ de ce deuxième roman de Valérie Cohen peut paraître très choquant (et il l’est) : on annonce les résultats du concours Miss SDF ! Un concours poussé dans le cerveau d’un patron de télévision privée, qui assurera peut-être la sécurité d’une pauvre fille pendant un an, mais fera surtout les choux gras de la chaîne et donnera de la crédibilité à Claire, la journaliste de référence et petite amie du patron. Par un hasard étonnant, Jacques, le père de Claire, homme solitaire et taciturne, accepte d’héberger Audrey, la gagnante du concours, le temps que celle-ci rassemble ses souvenirs pour préparer un téléfilm.



Ce départ peut donc paraître totalement improbable mais il permet à Valérie Cohen de construire tout en nuances la rencontre et le portrait de deux êtres que la vie n’a pas épargnés. Elle procède à petites touches, par petites révélations, mettant Jacques et Audrey face à leurs souvenirs douloureux, qui osent remonter peu à peu : elle aide ses personnages en faisant intervenir des personnages secondaires savoureux, chaleureux comme Betty ou Gaston ou encore le jeune Josh. Mais c’est bien Audrey Piaget et Jacques Goldstein qui doivent trouver les clés de la résilience et s’aider l’un l’autre à assigner une place aux fantômes et à permettre aux vivants de se réapproprier la leur, pleinement.



J’ai beaucoup aimé ce roman, que j’ai lu quasiment d’une traite, tant j’avais envie d’accompagner ces deux êtres blessés dans leur évolution, dans leur renaissance. C’est tout le talent romanesque et la sensibilité de l’auteure dont on devine le goût pour la bonne chère, l’humour léger et surtout l’infinie attention aux êtres qui l’entourent à travers ce beau livre. J’aurai vraiment plaisir à la retrouver, maintenant que j’ai enfin découvert l’univers de Valérie Cohen.
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Valérie Cohen a choisi pour personnages principaux un groupe de sexagénaires, autrement dit des femmes qui ne sont plus jeunes aux yeux de la société, qui les invite donc à rejoindre une résidence qui leur est réservée, et pas encore vieilles, au moins dans leur esprit. Leur corps les trahit bien de temps à autre (un coup de bistouri suffit alors pour faire illusion), sans que ça ne les empêche de continuer à se sentir jeunes et à le prouver au lecteur par quelques répliques bien ajustées, des chamailleries dignes d’adolescents ou des projets jugés fous par les « adultes responsables ». L’un de ces projets, qui constitue la trame du roman, est un voyage-surprise à Séville afin de retrouver l’« homme-perle » d’Alice, sans qu’elle ne se doute de rien ; autrement dit, réaliser un voyage vers le passé, afin de voir comment celui-ci peut encore s’accorder au présent.



De tels personnages auraient pu mener à un récit déjanté, dans la lignée du Vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire entre autres, mais il n’en est rien. Valérie Cohen a su trouver la juste tonalité, entre humour et émotion, sans tomber dans l’écueil du misérabilisme. Tout en jouant des clichés autour des personnes âgées, elle les déconstruit peu à peu en nuançant les personnalités de ses personnages, notamment grâce à des focalisations successives sur chacun d’eux, qui permettent de ne pas en rester aux préjugés que les uns portent sur les autres. La gentille « mamie-gâteau », comme l’élégante et riche célibataire sans enfants, est bien plus complexe qu’elle ne le laisse paraître. Les images d’elles-mêmes qu’elles projettent afin de se protéger se fissureront au fil du voyage et révéleront des faiblesses plus ou moins inattendues. Celles-ci relèvent de peurs assez universelles (celles de vieillir, de s’engager, de vivre ses rêves, notamment) et ne se limitent pas aux préoccupations futiles dont font également preuve ces bourgeoises plutôt aisées au début du roman.



Un récit tendre, frais et divertissant.
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Valérie Cohen a du tonus et de la légèreté. Le sens du suspense aussi. Si son récit tourne parfois en rond dans les méandres d’un passé révélé influant sur les destins de ceux qui en héritent, elle y inscrit plaisamment une tension soutenue et, avec justesse, des questions précises et décisives.
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C'est sans doute le livre le plus aboutit de Valérie Cohen. On sent que son écriture évolue et chacun de ses livres nous rapproche sans doute de l'auteure qu'elle est profondément. Les différents éléments de l'histoire s'imbriquent très justement les uns dans les autres. Sans maintenir de suspens inutiles, les différents éléments sont distillés au fil des pages et nous donnent envie c'est de dévorer l'ouvrage d'une traite. Les personnages sont remarquablement décrits, denses, et cohérents dans leurs forces et difficultés tellement humaines. A lire et à offrir sans modération.

J'ai vécu un super voyage dans les méandres des relations familiales, de l'amitié et de l'amour.

J'ai ressenti beaucoup de sensibilité dans la description des sentiments et des émotions des personnages, qui sont très attachants et dépeints avec finesse.

J'ai beaucoup aimé ce roman et je le recommande.

Si vous aimez les livres avec beaucoup de description,beaucoup de détails alors ce livre est pour vous.

Malheureusement ce n'est pas mon cas et j'avoue que les deux cent premières pages avant d'arriver à l'intrigue à proprement parlé m'ont perdu..

je suis passée complètement à côté.

Il y a la famille, au sens strict du terme, et puis il y a la famille de cœur celle qu’on construit avec le temps, au fil des rencontres et des différents événements de la vie.

Sybille a construit la sienne autour de Gisèle, sa meilleure amie, la fille de celle-ci Barbara et sa petite-fille Mila.

Lors d’une soirée, cette dernière a fait un test ADN dont les résultats vont faire ressurgir un passé chargé et des secrets de famille !



Dans un premier temps, j’ai été perdue par ces multiples histoires et ces personnages qui évoluent en parallèle. J’aurais sûrement dû prendre des petites notes ! Ceci dit, petit à petit, le lecteur parvient à assembler les pièces du puzzle et à émettre des hypothèses, un peu comme dans une enquête 🧐 En effet, l’autrice nous glisse quelques nouvelles infos à chaque chapitre pour, enfin, arriver aux révélations !

J’ai beaucoup aimé le côté psychogénéalogie de cette lignée de femme qui nous amène à nous interroger sur la complexité des relations familiales et ce que l’on transmet aux générations futures, malgré nous.

L’homme met immanquablement ses pieds dans les traces de quelqu’un d’autre. Chaque héritier d’une lignée porte toujours des chaussures trop grandes pour lui !



*



Émile évite de croiser le regard noir de son épouse. Qu’il est loin le temps des soirées au coin du feu et des rêves partagés ! L’époque où, intimidée par sa seule présence, sa promise mangeait ses mots et lui offrait à la place de doux sourires. La vie et ses vicissitudes avaient eu raison de sa jovialité naturelle et Émile peinait à lui en vouloir. Madeleine était devenue une femme amère, depuis longtemps, depuis trop longtemps. Amertume contagieuse de surcroît. Il regarde avec lassitude le pli profond barrant son front ridé que la crème du jour teintée accentue, témoin charnel de la rancœur dont elle n’a jamais réussi à se défaire.



Et le voilà devant elle, vieillard endimanché comme un diable rabougri, dégoulinant de bons sentiments et pétri d’envie de se racheter une conscience. Pauvre naïf ! Revenir en arrière ne lui rendrait pas les être aimés et, pire cela ne lui accorderait même pas l’absolution.



*



Valérie Cohen plonge le lecteur au plus profond des secrets de la vie d’un couple et… de ses satellites.



Étoiles larguées dans le firmament de la mémoire, nul ne pouvait imaginer il y a quelques décennies que la science allait proposer de les faire se recroiser sur les mêmes orbites. Encore fallait-il que la curiosité poussât Mila, l’arrière-petite-fille d’Émile et de Madeleine à réaliser un test ADN.



Surprise ! Et de taille !



*



Parole à l’éditeur :



Et si les arbres généalogiques comportaient une case pour les amis de toujours, les amours défuntes, les maîtres à penser, les sauveurs ? À quoi ressemblerait le vôtre ?

Sybille, indéniablement, y placerait sa famille de cœur, n’ayant pu donner la vie. Elle cultive avec sa meilleure amie Gisèle une complicité depuis plus de cinquante ans, et c’est dans sa maison ardennaise qu’elle se réjouit de fêter son anniversaire auprès de ses proches. C’était sans compter sur les révélations de Mila, la petite-fille de Gisèle. La jeune femme, par jeu, a eu recours à un test ADN dont les résultats viennent réveiller un passé trop longtemps tu et bousculer une légende familiale parcellaire.

Des êtres unis par la transmission des secrets de famille et qui ont choisi de passer outre, pour se reconstruire. D’autres qui refusent d’être emprisonnés dans des silences.

Vitale et mortelle à la fois, organisme vivant aux multiples facettes, la famille est un joli parterre de ronces.



*



Un récit scintillant porté par une fine écriture. Que du bonheur !



Presque un thriller.



Addictif !
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Emma a tout pour être heureuse. Elle est mariée à Yvan, et mère d'Arthur. Elle a réussi professionnellement, et est bien entourée par ses amis: Alexandra et Gille. Malgré cette vie et ce bonheur, elle n'arrive pas à oublier son premier amour, Jean-Philippe et ce 12 mars, ou il l'a quitté.

De rencontres en événements, on suit le parcours d'une femme à la recherche de son amour de jeunesse et d'elle-même.

Je suis clairement passée à côté de ce roman. La plume de l'autrice est belle, mais un peu trop soutenue à mon goût. Le rythme de l'histoire m'a paru un peu long, j'ai eu beaucoup de mal à rentrer dans l'histoire. Le résumé m'avait tant plu et après avoir lu des jolis retours lecture, je suis déçue de ne pas avoir accroché avec l'histoire d'Emma.

Ce livre nous emporte dans les angoisses profondes de cette petite femme d'affaires de la mode. Emma est le symbole de toutes les femmes qui regrettent les premiers émois, tant ils furent les meilleurs.
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Un bon roman qui se lit facilement et qui une fois refermé ne laisse pas indifférente suivant son vécu de la vie.

J'ai beaucoup aimé je ne vous raconterez pas l'histoire.

Des personnages au caractère bien détérminé et bien différents des uns des autres font de cette histoire une bonne peinture de la société.

Cette histoire est aussi l'histoire de l'amitié.

C'est quoi le premier Amour , c'est quoi la vie.

L'argent fait il vraiment le bonheur de tous.

Et encore pour moi une auteur dont j ai envie de faire la découverte

❤❤❤🖤🖤

Une lecture aigre-douce...

Je m'attendais à quelque chose de puissant, de prenant, de haletant et au final c'est plutôt long sur la fin...

Je n'ai pas trouvé de réponse à mes questions, je m'attendais à quelque chose de beaucoup plus profond.

Un livre qui se veut "aide psychologique " je suppose... la conscience de soi etc...
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Un livre comme on les aime, des personnages qu'on a l'impression d'avoir toujours connu, qu'ils font partie de notre entourage proche. Une douceur à consommer sans modération.

Alors, comme me le disait l'amie qui me l'a mis entre les mains, il ne se passe rien ou du moins pas grand chose. Mais personnellement, ça ne m'a pas dérangée, ni ennuyée.



Dès les premières pages, on est projeté dans un moment troublé de la vie des personnages : la fin de vie d'Adèle et les soubresauts des relations amoureuses de celles qu'elle considère comme ses petites-filles. Alors, avant de les abandonner, elle entend bien leur laisser un peu d'elle, de sa propension à prendre la vie avec légèreté et de chercher des signes dans le quotidien.



On est donc en plein dans une histoire feel good, plutôt légère mais qui, moi, m'a touchée. J'ai aussi beaucoup apprécié la plume de l'auteure. Mais n'en attendez aucun rebondissement, aucun turn over. C'est la vie qui s'écoule, le quotidien qui se déroule sous nos yeux.



À vous de voir si ce genre de lecture vous convient. Mais si c'est le cas, n'hésitez pas à goûter une tranche de ce cake au chocolat.

La vie est douce à Saint-Germain-en-Laye pour ces sexagénaires résidents des Eaux douces.



Leurs journées s’écoulent, apparemment sans trop de remous entre yogas, peinture et autres ateliers.



Et pourtant derrière cette façade de quiétude, souvenirs, espoirs et amour peuvent encore les déstabiliser, leur faire mal, les faire rêver.

Alice, l’une des résidentes s’isole et semble souffrir ; une pensionnaire amie mène l’enquête et manigance pour lui venir en aide.



Nous assistons alors à un périple haut en couleurs, la petite troupe part à Séville dans le but non avoué de retrouver Diego, l’ex amant d’Alice.

Durant le voyage, les masques tombent, chacun renoue avec ses plus secrètes aspirations, la rupture de la routine fait danser la vie.



Mais quelle sera la réaction de Diego, d’Alice et quelle sera la vie lors du retour aux Eaux douces ?



Je vous invite à découvrir ce récit tendre et optimiste qui choisit le parti de la vie et rompt avec les convenances…une lecture-perle.