Citations de Valérie Gans (139)
Moi je crois que les hommes ont été inventés pour faire pleurer les femmes.
Profite de la nature qui t'enture, semblaient dire ces yeux pleins de sagesse, au lieu de pleurer pour un homme qui de toute façon reviendra. Ou pas. Mais oui, s'il est accroché, il reviendra. Et s'il n'est pas, il ne mérite pas que tu l'attendes.
Loin des yeux, loin du cœur.
-En tout cas, quel que soit le moteur de ton amour, si tu l'aimes vraiment ou si tu crois que tu l'aimes, ce qui au bout du compte revient exactement au même, surtout ne le lui montre ni ne le lui dit jamais.
-Tu sais, c'est bizarre, les hommes: ils ne veulent qu'une seule chose, c'est qu'on les aime, et quand on les aime et qu'on le leur dit, ils n'ont qu'une seule envie, c'est de se barrer.
il n'y avait rien à faire : Graciane ne parvenait pas à retrouver le goût de la mousse au chocolat de son enfance. Quel était donc cet ingrédient que mettait sa grand-mère Ama dans sa mousse pour lui donner ce twist incomparable que son cerveau, lui, avait si bien mémorisé ?
La personne que j'ai rencontrée, si tu veux tout savoir... La personne que j'ai rencontrée, c'est moi. Il était temps, non ?
La Mauritanie avait été un échappatoire,qui était tombée fort à propos,mais elle avait ici une famille qui avait besoin d'elle,surtout avec l'arrivée d'un nouveau bébé.
Critique d'art : artiste par procuration qui, faute de savoir manier la brosse douce, a fait de la dent dure son principal outil de travail.
Pas faux, pensèrent Lorraine et Louise de concert, en remettant d un même geste leurs lunettes de soleil afin de masquer les larmes qui, longtemps contenues, affleuraient. Peut-être que les hommes avaient-ils vraiment été inventés juste pour les faire pleurer.
Ce livre est une POUBELLE!
Mal écrit, mais ça, ce n'est pas très grave. Il est surtout un déversoir de bile contre l'humanité: ultra-réactionnaire, sexiste, homophobe, raciste, tout y passe.
Si vous aimez Pancol ou Gavalda, fuyez!!!!!
Il y a tant d'autres bons bouquins.... celui-ci est une arme de propagande rétrograde.
J'ai toujours suivi une idée qui se termine autrement. (BASELITZ)
Ça arrive à tout le monde de se tromper, d’autant que, enlever des noyaux, c’est un geste un peu répétitif.
Un homme que l’on n’aime plus, c’est déjà un boulet. Mais un homme que l’on n’aime plus et qui ronfle… c’est juste insupportable. Des mesures drastiques s’imposaient.
S’il voulait coincer le lascar, il allait devoir se creuser les méninges et faire preuve de créativité.
Normalement, quand il y a un meurtre, on commence toujours par interroger les proches ! Dans quatre-vingt-dix pour cent des cas, c’est là que se trouve l’assassin.
Si vous devez choisir une nouvelle vie, ou une « autre » vie, vous aurez tendance à repartir à zéro, jeune et en pleine forme. Et célibataire.
Et quand Jayne était angoissée, elle avait besoin de manger.
Les gens ne meurent pas dans les jeux informatiques. Enfin, pas vraiment. Ou en tout cas, ça ne compte, puisqu’ils n’existent pas.
Un enfant, c’est lourd. Et c’est pour toujours. Ce n’est pas un jouet qu’on s’achète comme ça et qu’on laisse tomber quand on n’en veut plus. Ni un it-bag !