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Critiques de Vanessa Schneider (248)
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L'homme qui voulait être aimé

Dans ce roman autobiographique, l'avocat George Kiejman nous raconte sa vie. De la déportation de son père et de sa soeur pendant la Seconde guerre Mondiale, aux grands procès qu'il a gagné, en passant par son éducation par une mère ne sachant ni lire ni écrire. Il nous rappelle son amour pour les livres, lui l'avocat de maisons d'édition et d'auteurs célèbres, et n'oublie pas non plus d'évoquer son passage au gouvernement et son lien avec les hommes politiques de la fin du XXe siècle.

Une vie pas commune racontée par un homme pas commun. Mais il est vrai que l'homme qui voulait être aimé n'hésite pas à oublier la modestie pour se mettre en lumière. Cependant, je crois, cela fait parti du personnage.

Seul regret: j'aurais aimé qu'il aille plus en détail dans certains chapitres, qu'il passe moins vite sur son rapport avec certains auteurs ou son rôle dans certains procès, par exemple. On survole certains passages de sa vie (les plus intéressants selon moi) et c'est dommage...
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Le Pacte des Vierges

C'est plutot un roman sous forme d'interviews de 4 des 15 filles qui font le choix d'etre enceintes a 15 ans. On apprend ou plutot on devine le pourquoi de ce choix et cela demontre comment la defection parentale pousse les enfants a cette extremite.

C'est un roman qui pousse a la reflexion



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L'homme qui voulait être aimé

Il fut ministre de Mitterrand mais surtout avocat, de Pierre Goldman et de Liliane Bettencourt notamment. Dans cette biographie, écrite avec Vanessa Schneider, grand reporter au « Monde », Georges Kiejman nous livre les souvenirs d'un homme qui se raconte en racontant les autres.
Lien : https://www.lesechos.fr/idee..
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Le jour où tu m'as quittée

Des chapitres brefs, une écriture sans fioriture. L'histoire d'une rupture et de l'après rupture racontée à la 1ere personne. Etats d'âme, tourments et la vie qui continue...
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Le Pacte des Vierges

À fin de l'année scolaire, le lycée de Gloucester (Massachussetts) au États-Unis, comptait dix-sept jeunes filles enceintes et elle ont moins de seize ans.

Elles ont avoué avoir fait un pacte pour avoir leurs bébés et les élever ensemble. C'est aussi une histoire d'amitié d'adolescente qui sont encore des gamines. Le point de départ du roman de Vanessa Schneider est un fait divers où la réalité est plus fort que la fiction.

Une journaliste est venue enquêter sur l’événement, quatre d’entre elles se racontent. Lana (quinze ans), la meneuse, le cerveaux de la bande. Sue, dont les parents sont des bien-pensants. Cindy a le même âge que Lana , est élevée par sa tante. Kylie, est très liée à sa mère.

Leurs voix se succèdent pour évoquer le « groupe », leurs relations, le mystère de leur grossesse multiple et ce pacte, qui leur permet d’échapper au quotidien d’une ville où le chômage et très présent. Ces voix donnent un ton au roman de Vanessa Schneider un ton assez violent qui fait très peur. Ces jeunes filles ne sont pas majeurs, elles gâchent leur vie. Elle commence leur vie dans l'erreur, sans prendre conscience de l'avenir, elle sont sans repère, sans structure parentale. Par exemple le père de Sue qui parle : " Nous devons rester entre nous, entre Américains de souche, c'est pas trop compliqué à comprendre, non ?" Le père est pour la plus part du temps absent, voir violent c'est le cas du père de Sue.

À travers la narration croisée de ces quatre vies sur dix-sept d’adolescentes dans une amérique contemporaine et puritaine, à travers le récit de leur enfance et de leurs blessures, de leurs espoirs. Un roman qui fait réfléchir sur avoir un enfant si jeune, sur les rapport entre parents et enfants, sur l'éducation et tout simplement sur la vie, un roman fort voir brûlant.
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Tu t'appelais Maria Schneider

Vanessa Schneider dresse un portrait de sa cousine Maria Schneider, comédienne révélée et brisée à 19 ans par Le dernier tango à Paris de Bertolucci. Le réalisateur abusa de sa fragilité lié à son enfance chaotique pour tourner une scène violente et humiliante sans l’avoir prévenue, qui la marquera jusqu’à sa mort en 2013. A travers de courts chapitres et une plume fluide, la journaliste politique du Monde rends un bel et émouvant hommage à sa cousine injustement réduite à ce rôle.
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Tu t'appelais Maria Schneider

Retour sur le parcours d'une actrice Maria Schneider, dont la vie fut démolie par la terrible et scandaleuse scène du film de Bertolucci, avec Marlon Brando : Dernier tango à Paris. S'ensuit pour la jeune actrice trahie, une descente aux enfers irréversible : alcool, drogue, tentatives de suicide, séjours psychiatriques.

Chronique d'une gloire éphémère et d'une chute interminable. Tragédie d'un destin brisé, irréparable, comme une sorte de fatalité qui pèse sur Maria mais aussi sur toute cette famille lourdement impactée par la mort, la folie et les addictions à la drogue et à l'alcool.

L'auteure revient aussi sur l'histoire du cinéma à cette époque, défend la cause des femmes et dénonce la « culture du viol dans le cinéma ». Lorsque Maria meurt d'un cancer du poumon à 58 ans, c'est Brigitte Bardot qui financera ses obsèques et qui lui dédiera une oraison funèbre, lue par Alain Delon.

Mais le récit aimanté revient sans cesse à Maria, tout comme Vanessa est sans cesse rattrapée par celle qu'elle ne peut oublier. L'auteure rend hommage à sa cousine, parce qu'elle lui vouait une profonde et sincère affection. Tout au long du roman, elle s'adresse à Maria, en lui disant « tu », comme si Maria était encore là, à ses côtés. Plusieurs passages sont bouleversants de tendresse et de gravité, jusqu'à cette interrogation ultime comme un regret lancinant « Est-on assez là pour quelqu'un qui va mourir ? ».

J'ai emprunté ce livre pas vraiment convaincue, je le referme avec beaucoup d'émotion et de respect pour la sincérité, la pudeur et la délicatesse de ce récit.
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Tu t'appelais Maria Schneider

De Maria Schneider, je ne connaissais que la scène de la motte de beurre du film polémique « Le Dernier tango à Paris », dans laquelle Marlon Brando simule sur elle un viol par sodomie tandis qu’elle laisse couleur le long de ses joues des larmes bien réelles.



Le réalisateur, Bertolluci, désirait en effet capter l’essence de la femme, non de l’actrice, dans une telle situation et avait dès lors jugé bon de ne pas l’en informer. Il dira, 40 années plus tard :« Et je pense qu'elle nous a haïs, moi et Marlon Brando, parce que nous ne lui avons rien dit de cette séquence, de ce détail, l'utilisation du beurre comme lubrifiant. Je me sens très coupable de ça.»



Abandonnée par sa mère, délaissée un temps par son père, la jeune femme de 19 ans ne pense pas à demander la suppression de la scène. Le film à l’époque de sa sortie est qualifié de pornographique et l’image de Maria à tout jamais assimilée à ces quelques minutes enregistrées sur pellicule. Son nom sali, sa réputation détruite, les rares rôles qu’on lui propose se font sulfureux, son prénom de vierge la rapprochant plus aux yeux de tous de la putain que de la mère.



La jeune Maria vacille alors entre coke et héroïne, qu’elle tient pour seules fidèles compagnes, bien qu’elle trouve de temps en temps refuge au sein du foyer très engagé et bohème de son oncle et sa tante, les parents de l’auteure. Vanessa admire sa célèbre cousine autant qu’elle la craint, ses sautes d’humeur se faisant imprévisibles et incontrôlables.



Et c’est donc par alternance d’ombre et de lumière que Vanessa nous décrit la vie de sa cousine, seule, mettant en œuvre la promesse qu’elle lui avait donnée de l’écrire à quatre mains.



Par ajout de nuances, elle densifie le portrait de Marie, lui fait prend forme sous nos yeux. Maria n’est plus cantonnée au rôle de victime qu’elle a pu être et ne se résume pas à ses shoots. Vanessa Schneider a réussi son pari : Maria, qui s’en est allée en buvant du champagne, "debout, la tête haute, légèrement enivrée. Avec panache"  était une, indivisible, nuancée.
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Tu t'appelais Maria Schneider

Déroutant !!!
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Tu t'appelais Maria Schneider

Le dernier tango à Paris.

Les années 70.

La libération sexuelle.

Marlon Brando et une jeune inconnue, Maria Schneider, qui va bientôt devenir une icône aussi désirée que décriée.



La journaliste écrivain, Vanessa Schneider, sa cousine retrace le portrait de sa famille et de cette jeune femme qui va se perdre. Ce que le succès du film ne dit pas, c'est que sous couvert de cette fameuse libération sexuelle, Brando et Bertolucci, le réalisateur, ont fomenté la scène de sodomie pour que Maria est une réaction de femme et non d'actrice. Cette scène et le tournage difficile vont l'a briser. L'auteur nous conte les coulisses du film de par les rares propos de Maria à ce sujet. Elle nous parle de ces années 70 et de sa famille si différente des autres.



Un portrait de famille, d'époque et de femme. Elle conte la détresse de Maria, l'insistance des journalistes. Elle nous présente une femme qui dénonça le comportement des hommes et que personne n'a voulu entendre.



Un homme et une femme se rencontrent. Le temps de quelques jours l'appartement qu'ils voulaient tous deux louer, va leur servir de garçonnière pour assouvir leurs fantasmes. Entre révélations sur leur passé et corps à corps, le film se déploie dans une ambiance de fin du monde, comme si les actes des personnages n'avaient aucunes conséquences.

Aux confins de plusieurs genres, thriller, film psychologique et film érotique les personnages sont complexes et mystérieux.

Un film difficile à regarder de manière indifférente à la lumière de ce que l'on vient de lire dans Tu t'appelais Maria Schneider...
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Tu t'appelais Maria Schneider

A l'heure des mouvements comme #metoo et la libération de la parole des femmes, la vie de Maria Schneider résonne de nouveau. Elle qui n'a eu de cesse de critiquer l'emprise des hommes [...] n'a jamais reçu d'oreille attentive. Sa cousine réussit en tout cas le pari de faire de nouveau résonner sa voix et ses pensées.
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Tu t'appelais Maria Schneider

Un même nom, mais deux vies bien différents, gare à ne pas s’y méprendre. Dans la famille Schneider, je demande la cousine, Maria. Incandescente, rebelle, libre, actrice. Une étoile filante du grand écran, dont on ne retiendra qu’un film, qu’une scène, et la descente aux enfers qui s’ensuit. Dans la famille Schneider, je demande maintenant la fille, la narratrice, Vanessa. Timide, réservée, grandissant dans l’ombre de cette cousine chérie, cet enfant prodigue qui ne cessera de la faire rêver, mais aussi déchanter. Mais toujours un mot dans sa bouche de petite fille ou d’adulte : admiration !

Avec ce livre, elle a un objectif : raconte sa cousine, mais aussi se raconter. Ce livre devait être écrit à quatre mains, mais le projet n’a pu être concrétisé car Maria s’est éteinte en 2011.



Agée à peine de dix-neuf ans, un rôle s’offre à elle, qui, elle l’espère, sera le rôle de sa vie, le tremplin vers la célébrité. Bernardo Bertolucci lui propose de jouer aux côtés de Marlon Brando, légende du cinéma depuis bien longtemps à l’ombre de la célébrité et des projecteurs. Le film s’intitulera « Dernier Tango à Paris », et promet d’être sulfureux.



Ce film marque le point de départ de sa carrière, mais aussi, et surtout, le point de départ de sa descente aux enfers ! La célébrité lui tend les bras, lui déroule son tapis rouge. Maria, se fait un plaisir de le piétiner. Elle a changé, c’est terminé, elle est brisée. Maria mettra des décennies à sortir de cette spirale infernale, mais le film lui collera à jamais à la peau. Le livre va révéler l’envers du décor, les failles de cette jeune femme brisée.



. On pourrait s’attendre à ce que ce livre redore l’image de cette femme au lourd passif, mais ce n’est pas le cas. Bien sûr, on sent l’admiration et l’amour poindre derrière chaque mot, mais il y a ce soucis de réalité, de vrai, qu’on saluera. En effet, Vanessa Schneider n’est pas toujours tendre avec sa cousine, elle rétablit la vérité. Elle s’empare et se réapproprie cette personnalité publique, jetée très jeune dans l’arène.



Ce qu’il faut retenir : ce livre met en lumière un destin tragique, celui d’une icône des années soixante-dix. Une période de libération, mais dont Maria sera la victime. Ce documentaire dissèque en arrière-plan le nœud familial, en parallèle de l’évolution de la société. On découvre un personnage complexe et libre malgré tout. Le lecteur oscille entre admiration, compassion, incompréhension. Enfin, ce livre est peut-être une manière d’embellir une vie qui semble manquer de beauté et d’éclat. On l’envie sans l’envier. Tu t’appelais Maria Schneider, ou les fragments d’une vie et d’une femme brisée, un personnage tragique dans toute sa splendeur.


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Tu t'appelais Maria Schneider

A la fois biographie, autobiographie, mais aussi chronique des années 70, époque où un peu partout dans le monde, porté par le mouvement étudiant, on pensait que tout était possible et qu'on allait refaire le monde en levant tous les interdits, tous les tabous, Vanessa Schneider parvient à peindre un univers où les êtres humains finissent par hurler comme des bêtes sauvages.
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Tu t'appelais Maria Schneider

En flashes successifs, l'écrivain et journaliste Vanessa Schneider brosse un portrait émouvant de sa cousine et dissèque, en arrière plan, le noeud toxique familial qui les unit.
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Le jour où tu m'as quittée

Un grand merci à Babelio pour m'avoir permis de découvrir ce roman de Vanessa Schneider, auteur que je ne connaissais pas du tout. C'est la touchante histoire de Jeanne, mère de deux enfants, divorcée de Sacha qui a été son professeur, et qui vient d'être quittée par Antoine. Jeanne est passée d'un homme plus âgé qu'elle à un compagnon plus jeune. Au fil des chapitres, on découvre le caractère de chacun, celui de sa mère - femme revêche, cassante vis-à-vis de sa fille, loin de permettre à une enfant réservée comme l'était la petite Jeanne de prendre confiance en elle. Albert, le père de Jeanne voyageait constamment, jusqu'au jour où il a refait sa vie au Venezuela. Difficile de se construire entre un père absent et une mère voulant tout régimenter ! Jeanne est une mère très à l'écoute de ses enfants et prête à leur donner tout ce qu'elle n'a pas eu. Tellement que c'est ce qui décide son mari à se séparer d'elle, il ne trouve plus sa place au sein de leur famille. On est de tout coeur avec Jeanne dans ses tentatives de reconstruction après le départ d'Antoine, parviendra-t-elle à remonter la pente ? Pour le savoir, ne pas hésiter à lire ce très beau roman, écrit avec beaucoup de sensibilité et comportant une fine analyse du ressenti d'une femme qui vient de se faire quitter par l'homme qu'elle aimait.
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Le Pacte des Vierges

- par Sharlene



Pourquoi ce livre?

J'ai envie de lire ce livre depuis sa sortie lors de la rentrée littéraire de 2011 mais je ne l'avais cependant jamais acheté. Puis ma partenaire de blog Béa me l'a gentiment offert lors de sa sortie poche. En janvier dernier, ce livre fut sélectionné par le club de lecture que j'ai créé en collaboration en mars 2015... il était temps pour "Le pacte des vierges" de sortir de la bibliothèque et pour moi de connaitre dénouement de ce roman basé sur une histoire vraie.





De quoi parle t-il?

Aux États-Unis, un fais divers défraye la chronique: Dix sept jeunes lycéennes sont tombées enceintes quasiment en même temps. Pourquoi? Comment? Nous ne le savons pas et pourtant tout le monde veux savoir...





Que penser de l'histoire?

Vanessa Schneider est à la base journaliste et à défaut de le savoir lors de ma lecture, je comprends maintenant mieux pourquoi ce roman est écrit de façon si particulière. Ici, il ne s'agit pas d'une histoire romancé avec de belles phrases. Il n'y a pas non plus réellement de problématique ni même de dénouement... en revanche nous sommes dans une interview à quatre voix... représentant quatre des filles enceintes... face à une journaliste.



Les chapitres se forment et s’emmêlent tels la retranscription direct de l'entretien de la journaliste face à ses quatre adolescentes. Chacune leur tour, elles parlent de leurs vies, de leurs objectifs et surtout de leur raison de faire partie de cet événement. Du coup, il est difficile de savoir qui parle au départ ou du moins de retrouver a qui correspond telle histoire. On se perd facilement d'autant plus que même si chacune de leur histoire est différente, elles n'en sont pas pour le moins intéressantes. Les filles manquent de personnalité, de force de caractère et c'est la que l'on se dit que, en même temps ce ne sont que des gamines qui n'ont rien compris à ce qu'est la vie. Alors on tourne tout de même les pages en espérant tout de même comprendre pourquoi?... mais tout ce que l'on trouve c'est un sentiment d'inachevé et beaucoup, oh oui beaucoup de frustration car en réalité même l'auteur et le monde entier n'en savent pas plus... C'est un secret bien gardé...





Et ce club de lecture alors?

Jamais en une année il n'y avait eu autant de débats et d'oppositions dans le club littéraire. Très vite l'histoire est passé en second plan et le débat s'est accentué sur des sujets plus importants tels que la différences entre notre pays et les États-Unis concernant la gestion de la santé, l'organisation du secteur social, la perception étrange des familles dites dysfonctionnelles, etc... Autant de sujet intéressant qui ont animé notre soirée et qui ont eu pour effet e ne pas détester totalement ce roman.





En conclusion?

Je m'attendais à un roman coup de poing qui me fais réagir, j'ai eu le droit à une très grande déception. Heureusement, la rencontre du club de lecture était tellement intense et riches en échange que je me rapperai surement de ce livre d'ici quelques temps, ce qui ne serait pas arrivé en temps normal...
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Le jour où tu m'as quittée

Jeanne, mère de deux enfants, est brutalement quittée par son petit ami. Sans crier gare et sans ménagement. Après une relation si fusionnelle, c’est l’effondrement et l’incompréhension. Qu’est-il arrivé à cette histoire d’amour idéale ? Petit à petit, on remonte le fil de cet amour au rythme de la reconstruction de Jeanne. Le déni est remplacé par la résignation, la déprime, l’objectivité… Finalement, cette histoire d’amour semblait idéale…

On s’identifie très facilement à ce personnage puisque l’histoire de Jeanne pourrait être celle de l’une d’entre nous. L’écriture est agréable et on se laisse happer par ce roman. Je l’ai lu d’une traite sans me rendre compte que j’étais en suspens, dans l’attente de ce moment où l’on réalise un jour que l’on continue à vivre.

Une lecture touchante et prenante à découvrir.
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Le jour où tu m'as quittée

Touchant, profondément humain. Comment se remettre d'une rupture et reprendre sa vie d'avant tout en étant imprégnée du passé.
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Le mauvais génie

Deux journalistes du Monde livrent une enquête fouillée sur le "mauvais génie" de Sarkozy. Et de bien d'autres.


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Le jour où tu m'as quittée

L'histoire d'une rupture, et l'occasion pour la narratrice, quadragénaire comme l'auteure, de poser un regard attendri et néanmoins caustique sur les trentenaires parisiens. Vous avez dit guerre des générations ?
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