Violaine Vanoyeke

Biographie romancée écrite à quatre mains, ce roman propose une plongée dans la Rome du 1er siècle, sous le règne de l’empereur Claude dont l’épouse Messaline s’est taillée une sacrée réputation de débauchée et de nymphomane.



Entre étude de mœurs et récit d’action, ce roman historique fourmille de mille détails bien documentés sur le mode de vie antique, dans la même veine que le « Quo vadis ? » de Henryk Sienkiewicz.



L’alliance de la verve reconnue de Guy Rachet et du souci du détail de Violaine Vanoyeke, écrivain qui, cela se sent dans la narration, fut professeur de lettres classiques, engendre un récit vivant et réaliste et brosse le portrait d’une femme qui marqua son époque par l’usage exacerbé qu’elle fit de sa féminité, y puisant une forme de pouvoir illusoire.



Messaline, mère des illustres Britannicus et Octavie, fut la troisième épouse de Claude. Elle s’adonna si bien au dévergondage (jusqu’à se prostituer) qu’elle finit par devenir compromettante, fut soupçonnée de prendre part à des complots politiques et eut une bien triste fin que sa luxure et sa corruption empêchèrent d’élever au rang de celles des tragédies immortelles.

Thoutmosis 1er meurt prématurément et donne à son demi frere de rentrer en rivalite avec sa demi sœur Hachepsout pour obtenir le trône d ‘ Egypte.Les anciens conseillers de Thiutmosis 1 soutiennent Hachepsout. qui épouse ce dernier mais dirige seule l’Egypte. Tu n’as rien à redouter de son époux Nefrerout-Re lui dit : je ne lui pardonnerais jamais.

Mounefret aboya pour mettre son fils en avant.

Elle-même poète et romancière, Violaine Vanoyke nous offre une biographie passionnante et éclairante, mêlant documents dont des extraits de lettres et bien sûr de nombreux poèmes, et traçant un itinéraire très précis de la vie de Paul Eluard.



On découvre un être complexe, entre ombre et lumière, connaissant des périodes sombres, de dépression ( il est même brusquement parti à l'étranger, laissant sa femme et sa fille) mais aussi des instants ensoleillés et de beaux échanges amicaux, notamment avec Tristan Tzara. Et ayant un goût du jeu et de la provocation.



J'ai été très étonnée de certains aspects de son caractère: ses colères brusques, ses faiblesses sentimentales ( accepter par exemple un ménage à trois avec l'amant de sa femme Gala, le peintre Max Ernst, ce n'est pas évident! ) . L'auteure nous présente aussi ses problèmes de santé , dès l'adolescence, nécessitant des séjours en sanatorium, et qui le laissent souvent épuisé. Et elle met en avant son honnêteté, sa fidélité à ses amis. J'ai été sensible également à son amour pour sa fille Cécile, que l'on voit très clairement s'exprimer à travers certains extraits de lettres qu'il lui a adressées:" Tes lettres sont des petits trésors de drôlerie, de spontanéité et de gentillesse.(...) Ma petite bougie, écris-moi souvent."



Mais bien sûr, plus que tout, c'est l'homme amoureux, souvent blessé , toujours admiratif de celles qu'il a aimées, qui domine ce portrait détaillé.



Un homme habité par les mots, exaltant avec sensualité la femme et l'amour au coeur de sa poésie...

Violaine Vanoyeke est très connue des adeptes de l'Égypte ancienne. A l'instar de Christian Jacq, de Guy Rachet et de Pauline Gedge, elle a signé nombre de romans ayant trait à cette civilisation fabuleuse qui continue de nous faire rêver.



Dans son autobiographie intitulée Les pharaons mènent à la vie éternelle, elle raconte son parcours d'érudite. Violaine Vanoyeke est helleniste et latiniste, spécialiste de littérature en plus d'être une egyptologue reconnue.



J'avais pris beaucoup de plaisir et d'intérêt à lire son autobiographie. Il est toujours positif de découvrir les parcours et les divers événements qui jalonnent une passion devenue vocation. On peut bien sûr se satisfaire de lire ses romans. Cet ouvrage représente un plus permettant de faire la connaissance de la femme derrière la romancière et la chercheuse.

Quand j'étais ado, j'ai dévoré tous les romans historiques se passant en Egypte sur lesquels je mettais la main et ceux de Violaine Vanoyeke y ont tenu une place toute particulière avec son enchaînement d'Hatchepsout, Thoutmosis, Nefertiti & Akhenaton, à Toutankhamon que j'ai adoré. Alors forcément quand j'ai vu qu'elle avait écrit sur une princesse égyptienne inconnue de moi : Nitocris, j'ai eu très envie d'y replonger.



L'Egypte et moi, c'est une longue histoire d'amour, cependant à travers les romans historiques, j'ai l'impression un peu de ne connaître toujours que les mêmes époques, les mêmes dynasties. J'ai donc été ravie, ici, de partir dans une période plus reculée, celle de la VIe dynastie, que je connais bien mal en dehors de Teti dont j'avais entendu parler, alors qu'ils vivaient à cette époque fascinante où on construisait encore des pyramides.



Pour nous accompagner dans cette découverte, la romancière et historienne Violaine Vanoyeke a choisi une princesse méconnue : Nitocris, qui aurait été la femme de Mérenrê II, pharaon n'ayant régné qu'une petite année après son père Pépi II. Et pour retranscrire toute cette époque, elle lui adjoint un mystère à résoudre, celui de ses origines. Ainsi entre enquête et quête de soi, l'autrice va nous plonger également dans l'histoire politique de cette époque oubliée.



L'autrice étant historienne, j'ai beaucoup aimé la justesse et les détails du cadre historique dont elle a doté son histoire. Celle-ci est riche de détails sur la politique des pharaons qui se sont récemment succédés. Elle évoque leur passion pour la construction de pyramides, la place de plus en plus grande des vizirs et autre élite dirigeante, les révoltes populaires, les relations compliquées avec les populations conquises, mais aussi la personnalité intransigeante et tyrannique de ces pharaons qui ont une conception des populations conquises et des femmes assez heurtante de nos jours. Nous avons également droit à des détails du quotidien, sur les temples dédiés à leur mort, la préparation et l'hygiène des femmes qui veulent séduire, etc. C'est très riche et donc immersif.



Cependant, cela ne doit pas cacher le reste de l'histoire et celle-ci s'est révélée à la hauteur. Nous suivons donc Nitocris qui a entendu dire qu'elle n'était pas vraiment la fille de son père. Surprise, elle cherche à connaître la vérité et va ainsi pénétrer dans sa tombe avec l'aide de pillards pour aller chercher des écrits qui vont confirmer ou infirmer cela. J'ai beaucoup aimé suivre son enquête, car d'abord c'était celle d'une jeune fille en proie au doute sur elle-même et sa famille, mais également parce que c'était plonger dans les recoins cachés de l'Histoire. L'autrice profite effectivement, comme bien des écrivains, des blancs de l'Histoire pour imaginer un développement qui pourrait narrativement être intéressant, c'est le cas. Elle invente à partir de rien, ce pharaon qui aurait connu deux soeurs aux caractères totalement opposés et nous lecteurs on se ravie de glisser un oeil dans ces coulisses bien mystérieux d'une histoire réécrite depuis.



C'est donc assez plaisant de suivre cette enquête, qui emmène notre héroïne de Memphis et Saqqarah jusqu'à la Première Cataracte le long du Nil. S'y mélange sa quête d'un passé et d'une identité et la conquête d'un statut présent et futur avec son frère Mérenrê qu'elle commence à voir sous un nouveau jour. Cependant, ne vous faites pas d'illusion, il n'est nullement question d'amour ici, jamais, mais juste de politique et de désir. C'est un peu dommage. L'histoire se veut donc romanesque et est plaisante pour cela, mais elle manque aussi cruellement de sentiment restant un peu plate parfois.



Sous la plume de Violaine Vanoyeke qui se veut simple, franche et directe, je ne me suis nullement ennuyée. J'ai beaucoup aimé découvrir les caractéristiques de cette période pharaonique, les personnages remarquables de l'époque, mais aussi l'enquête imaginée ici pour dynamiser le récit et le rendre prenant. L'autrice n'est pas tendre avec ses personnages, elle ne cherche pas à nous les faire aimer mais à nous faire comprendre comment ils vivaient et réfléchissaient à l'époque. C'est ce que j'ai aimé chez elle !
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Je me suis laissée embarquée par l’histoire d’Hatchepsout, dans ce premier tome qui débute à sa naissance et nous permet de la voir grandir et évoluer.



On baigne dans la vie quotidienne de l’Égypte antique à travers la famille royale, les ouvriers ou encore les soldats. Tout ce petit monde évolue au sein de décors richement détaillés, parfaits pour l’immersion. Et puis on se régale des manigances et des états d’âme des personnages !



L’auteure nous livre ainsi une grande mine d’informations dont l'assimilation est facilitée par des cartes et des index.



Juste un petit bémol, quelques passages sont très descriptifs et cassent un peu le rythme du récit. Alors oui je vais suivre la destinée de cette pharaonne, mais sans me jeter de suite sur le tome 2.

Parler de l'Egypte vous place comme sous un charme au point les auteurs qui nous livrent ce monde antique plein de mystères avec beaucoup de dextérité dans les détails quand il faut parler leur coutumes, de leur culture, de leur architecture, de leur esthétique, parlant de la coiffure, des tunique, des parfums, le maquillage, la beauté qui se distingue même dans la mort. Eh bien, dans cette deuxième partie de Toutankhamon intitulé La fille de Néfertiti, Violaine Vanoyeke donne vie à ce monde qui nous est si lointain avec un flair envoutant...

Bien que n'ayant pas beaucoup apprécié la première aventure d'Alexandros, je me suis laissé tenter par la suite (un an après). Et là, je me dis que j'aurai du peut-être m'abstenir.

Autant il n'y a rien à redire sur les connaissances historiques (je rappelle que l'auteure est historienne et qu'elle a déjà publié des livres sur les Jeux Olympiques antiques), autant le récit ne m'a toujours pas convaincu.

Je crois que ce qui me dérange le plus dans les fictions de Violaine Vanoyeke c'est son style, son écriture. Prenons les dialogues par exemple. Je les trouve trop artificiels. Peu crédibles. Et puis, comme je l'avais déjà signalé pour Une Mystérieuse Égyptienne, il manque vraiment quelque chose pour m'immerger dans l'histoire. Un souffle? Un sens plus approfondi de la fiction? Je regrette sincèrement de ne pas plus apprécier cette série car je pense réellement que tous les éléments d'un bon livre sont réunis. Dommage...

C'est un peu les yeux fermés que j'ai acheté la série des Alexandros. L'époque, le thème... Tout semblait réuni pour me conduire vers un agréable voyage dans l'égypte ancienne. J'étais prêt à sentir le vent chaud des terres rouges, prêt à descendre le Nil tout en observant les crocodiles... J'ai commencé à lire... Et là, je suis resté chez moi, incapable de suivre ces personnages dans leurs aventures, et peu captiver par l'enquête que doit résoudre le jeune Alexandros.

Les éléments pour un bon livre sont pourtant tous présents (le jeune fils du pharaon appelé par son père pour lui succéder, intrigues de cour, meurtres dans sa belle famille, déchirements d'un clan, etc...). Mais je n'ai vraiment pas accroché.

Maintenant je me retrouve avec les épisodes suivants qui "prennent la poussière" dans ma bibliothèque, depuis près d'un an, en attendant que je me décide à oublier cette première déception.

Vous aimez l'Egypte et n'avez pas les moyens ni le temps de vous y rendre? alors je vous conseille ce roman!

Non seulement on est transporté dans une Egypte ancienne plus vivante que nature, on la visite, on l'observe, on s'émerveille par les trésors qu'elle renferme et en même temps, on suit une aventure, une enquête trépidante qui ne manque pas de rebondissements...

Que demander de plus?

J'ai trouvé ce livre dans ma bibliothèque. Sûrement un don de quelqu'un qui sait que j'aime énormément l’Égypte.



C'est en commençant ma lecture que j'ai vu que c'était un tome 2. Je me suis dit ce n'est pas trop grave puisque de toute façon tu connais cette période, tu en as déjà lu plusieurs écrit par d'autres auteurs.



La version de Violaine Vanoyeke ne m'a pas plu du tout. Plus d'une fois, je me suis demandée déjà qui parlait. De voir des simples soldats, servantes s'adresser à Ankhesenamon comme si ils parlaient à une grande amie. Elle est quand même fille d'Akhenaton, fille de pharaon, représentante d'une dieu fait homme.



Le sous titre n'a aucun rapport avec l'histoire non plus.



Je sais qu'on n'a pas énormément d'information sur les caractères des gens mais j'ai trouvé le Chef des armées Horemheb avec une si mauvaise réputation et une telle soif de devenir Pharaon.



je ne lirai pas d'autres livres écrits par elle.

Livre très intéressant! En ce qui concerne l'intrigue principale, le dénouement n'est pas à proprement parlé un motif d'intérêt important pour la lecture de ce livre, mais par contre, l'ensemble des détails historiques que ce roman renferment le sont! J'ai été agréablement surprise par la technique de Violaine Vanoyeke pour faire passer un tas d'informations et descriptions historiques comme si de rien n'était. Moi qui ne suis pas passionné de roman historique, et qui rechignes à les lire, je trouves celui-ci passionnant, pas trop lourd, et construit de manière très agréable. Bon après, il vrai aussi que l'antiquité est une des périodes historique que j'apprécie le plus, alors forcément ça a joué en sa faveur ;-)

Un roman historique et policier, basé sur la vie réelle de la reine Taousert, épouse du pharaon Séthi II qui succède à Ramsès II. Alors qu'un complot menace le roi, une jeune héritière de lignée royale gagne l'Egypte avec son frère. Un étranger qui tentait de la démasquer est tué. C'est passionnant et l'auteure maitrise parfaitement son sujet. On se dévertit en apprenant et en voyageant . Dépaysement garanti !
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Violaine Vanoyeke navigue avec bonheur dans une antiquité qu'elle maîtrise parfaitement. Le lecteur profane est un peu perdu dans cette profusion de noms d'empereurs et de notables de ces époques anciennes. La première partie est un peu longue. On arrive enfin à l'histoire passionnante de Palmyre au plus haut de sa gloire. Avec sa connaissance aiguisée du monde antique, l'auteure a tenté de donner vie à la reine Zénobie malgré les incertitudes de l'Histoire. Le récit n'est pas un roman ; c'est une biographie rédigée avec une grande honnêteté intellectuelle.

J'ai vraiment beaucoup apprécié ce livre d'abord parce qu'il est bien écrit et ensuite parce qu'il nous permet d'aborder (simple mise en bouche bien sur) cette période de l'antiquité qui est passionnante !

A nous ensuite de lire d'autres livres sur l'Egypte !

Je conseille vraiment cette écrivaine (au nom imprononçable ) qui n'est pas forcément bien connue mais qui selon moi vaut très largement Christian Jacq

A lire avant de partir en Egypte

Violaine Vanoyeke a écrit de nombreux romans historiques ayant pour cadre l'Egypte ancienne dont elle est une spécialiste (linguiste, historienne) reconnue.







L'intrigue policière lui sert de prétexte pour décrire les coutumes des Thébains sous le règne des Ptolémées et faire part des dernières découvertes archéologiques concernant la femme-pharaon Hatchepsout, la reine-cobra, qui a su profiter de la minorité de son neveu Thoutmosis III pour exercer le pouvoir. Tandis qu'Alexandrie, où vit Pharaon et sa cour, et la Basse-Egypte voient s'installer de nombreux Grecs qui apportent leurs dieux et leur mode de vie, autour et en amont de Thèbes, l'ancienne capitale, les Egyptiens restent plus attacher à leurs traditions et rejettent les pratiques helléniques.

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Le prince Alexandros, fils bâtard de Ptolémée, et sa compagne Helena sont venus à Thèbes pour assister aux fêtes données en l'honneur des dieux guérisseurs. Ils se retrouvent mêlés à une étrange disparition sur fond de crime organisé : Melissa connaît la Vallée des Rois et ses innombrables nécropoles comme sa poche. Elle s'est accoquinée avec une bande de pilleurs de tombes qui font main basse sur le mobilier funéraire et les bijoux des riches sépultures, en dépit de l'interdit puni de mort du pharaon. Ayant tenté de s'approprier indûment une plus grosse part du butin, elle doit s'enfuir et disparaît dans le fleuve. Nertari, mariée au riche Rhodopis, ignore presque tout des moyens d'existence de sa soeur jumelle ; elle accourt néanmoins de Chypre pour tenter de confondre les meurtriers, au péril de sa vie.

Le pharaon Ptolémée règne en Egypte. Son fils, Alexandros, se retrouve à Thèbes pour honorer les dieux guérisseurs. Son épouse, Héléna, croit reconnaître dans la foule son amie, Nertari. C'est en fait Mélissa, pilleuse de tombes et soeur jumelle de Nertari. Celle-ci s'enfuit, après s'être accaparée un peu plus que de coutume du butin du jour. On apprend sa mort quelques jours plus tard et Nertari arrive alors de Grèce pour enquêter sur la mort de sa soeur , retrouver son coprs et lui offir une sépulture convenable. Elle n'hésite pas à se faire passer pour Mélissa et va jusqu'à danser comme elle. Elle risque sa vie et ne recule devant rien.

La première partie est plutôt longue. Il y a beaucoup de personnages (il faut s'y retrouver...) et on s'y attache peu. A l'arrivée de Nertari, cela change. D'abord, c'est un personnage sympathique. Puis quand elle commence à se faire passer pour sa soeur, le rythme devient plus haletant. La fin est par contre décevante. On nous laisse dans une totale ignorance ou presque, de ce qui a pu finalement se passer pour Mélissa et sa soeur, et cela fait surgir en même temps d'énormes incohérences. On manque réellement d'explications. Le côté positif, c'est que la lecture reste facile. De plus, l'esclavagisme des Egyptiens, leur vie quotidienne, ainsi que les rivalités entre Grecs et Egyptiens, tout cela est bien décrit.

Une malédiction divine pèse sur la famille royale depuis qu'une femme a tenté de tuer Pépi Ier. Pour découvrir le secret qui permettrait de briser cette malédiction et ainsi sauver son père Ptolémée II Philadelphe, Alexandros plonge dans les méandres de la VIe dynastie et du règne de la reine Nicrotis. Connaître la source de ses origines va peut-être lui donner les clés de son avenir...

Éminente spécialiste de l'Antiquité dont les ouvrages font autorité, Violaine Vanoyeke a été choisie par un magazine comme l'une des dix femmes qui ont marqué le XXe siècle pour ses découvertes : elle est l'auteur de 77 livres traduits dans cinquante pays. Latiniste. Heléniste. Linguiste, égyptologue. Professeur de civilisations et de littérature anciennes. Elle se consacre aujourd'hui à son œuvre et elle fait bien. Avec ce polar historique elle nous transporte dans la dynastie des Lagides, les derniers pharaons d’Égypte. Et outre un roman policer ce livre est aussi un roman initiatique autant qu’un roman d'aventures. Et cette dernière aventure et enquête d'Alexandros l'Egyptien est un parfait divertissement érudit. Une super lecture


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L'ambiance y est complètement, ça fait penser à Christian Jacq même si la période à laquelle l'action se situe est différente.

Les détails historiques foisonnent, c'est l'intérêt du livre, c’est le métier de l'auteure.

Par contre l'action, les dialogues et le côté "polar" ne me convainquent pas.

Donc une lecture sympa, mais plus pour l'ambiance et l'intérêt pédagogique que comme roman policier.

Un petit livre racontant, comme son nom l’indique, les histoires d’amour de quelques pharaons. J’avais lu le premier tome il y a fort longtemps, que je me souviens avoir plutôt apprécié d’ailleurs. Mais là, j’ai moyennement accroché. J’ai trouvé l’écriture de l’auteure un peu brouillonne, on ne s’y retrouve pas toujours. En outre, je l’ai trouvée très détachée des histoires qu’elle raconte. Quitte à nous parler romance, elle aurait pu romancer un peu et nous rendre les personnages un peu plus attachants, nous donner l’envie de connaitre leur destin. Ca n’a malheureusement pas été le cas je me suis par conséquent beaucoup ennuyée pendant cette lecture.