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Critiques de Wander Antunes (60)
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Un paradis distant

Tiens, je ne savais pas que ce récit était une suite à un précédent. C'est vrai qu'il se laisse lire comme un tome vraiment indépendant. Je dois dire que j'étais particulièrement touché par l'histoire de cette vieille dame black qui a perdu ses enfants victimes du racisme dans une Amérique encore en pleine dépression.



Les dessins sont corrects dans l'ensemble. Cependant il faut réellement s'habituer au faciès des personnages. J'ai bien aimé le fait que les différents protagonistes ont des caractères bien trempés; cela change de ces bd aux personnages trop lisses et impersonnels.



La fin est triste, réellement triste. On mesure mieux la portée de ce titre: un paradis distant.



C'est une bonne découverte qui me donne envie de connaître le premier volet. A partager...
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Big Bill est mort

J'aimerais en lire plus souvent des histoires de cette qualité. Et pour couronner le tout, le dessin est franchement excellent. Quand scénario et graphisme sont de bonne qualité, le chef d'oeuvre n'est pas loin.



Et dire que j'avais commencé la lecture par la suite Un Paradis distant. Je dois dire que ce premier volet est une réussite du genre.



C'est vrai : c'est froid et brutal ! Mais il n'y a aucun temps mort. On palpite réellement pour ces personnages de couleur malheureusement menacés à cause du racisme. L'efficacité se retrouve également dans l'enchaînement des cases notamment pour les scènes d'action.



Il y a également une fausse piste (celle de Joshua) mais rondement bien menée pour le maintien du suspense. Un thriller au top ! A découvrir absolument !
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Toute la poussière du chemin

1929 dans le sud des Etats-Unis, la misère pousse sur les routes des familles entières. Un homme va croisé le chemin d’un jeune garçon. Sous un dehors bourru l’homme est immédiatement touché par le destin de cet enfant qui rêve de devenir marin et qui raconte à qui veux l’écouter les histoires d’un certain Jack London.



L’homme est ce qu’on appelle un hobo, un vagabond, un SDF, proie facile pour la police, il a tout perdu dans la tourmente économique : sa terre, sa femme...

Il travaille, il va d’un emploi saisonnier à un autre, toujours spolié, parfois frappé. La misère au quotidien. La mort rôde partout. La vie pour Tom est difficile mais ce n’est rien à côté de celle des noirs dans ces états du sud où la violence raciste est omniprésente et les lynchages jamais punis.

Le héros de cette très belle BD reste fier et digne dans l’adversité, il refuse l’injustice et sait fait preuve de compassion.



Cette Amérique là est celle de Faulkner, de Steinbeck, celle des marathons de danse de la grande dépression.

J’ai apprécié le graphisme qui sert très bien la dureté du récit en livrant des visages marqués, où se lit la douleur. Le scénario est simple mais fort dans sa simplicité.



J’ai lu il y a quelques mois Hard Times un livre passionnant sur cette période, écrit à partir de centaines de témoignages, cette BD est un très heureux complément à ce livre.
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L'homme qui corrompit Hadleyburg

De Mark Twain, je ne connaissais que Tom Sawyer et Huckleberry Finn, que l’on retrouvera justement dans cette adaptation, alors qu’ils ne s’y trouvent pas dans le roman original.



Hadleyburg est une petite ville qui a une réputation de probité. Oui, mais, jamais personne ne les a soumis à la tentation !



"Il est hasardeux de se prétendre honnête quand on n’a jamais vraiment fait face à la tentation".



Alors un homme, désireux de se venger, va foutre le renard dans les poules. S’il a eu, à un moment donné, le désir de se venger en tuant ceux qui l’avaient offensé, il a trouvé que c’était trop simple, il fallait que les coupables souffrent.



Si je n’ai pas vraiment les dessins, le scénario, lui, m’a plu ! Le plan de l’homme en noir est audacieux, ne demandant que peu de travail, puisque ce seront les habitants de la ville qui feront tout à sa place.



Une fois le ver dans le fruit, le renard dans les poules, il suffit de s’asseoir, de prendre du pop-corn et de regarder l’âme humaine se corrompre, faire des plans sur la comète, parce qu’avec 40.000$ proposé, tout le monde se sent pousser des ailes et s’imagine être l’élu. Y en aura-t-il pour rester honnête et ne pas avoir le tournis ??



Une bédé qui se lit avec délice, le sourire aux lèvres devant ses personnes qui se vantaient de leur probité, de leur honnêteté et qui vont se déchirer devant un sac d’or, le tout sous le regard amusé et cynique d’un balayeur, de Tom Sawyer et d’Huckleberry Finn et sous les yeux du pasteur qui ne sait plus à quel saint se vouer.



Les dialogues sont excellents, surtout lorsqu’on ne voit pas les personnages, mais que l’on assiste à l’orage qui a lieu dans le ciel, parfaite illustration de ce qui se passe à l’intérieur, avec les notables.



Une excellente bédé.


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Big Bill est mort

Big Bill est mort, mais qui l'a tué ?

Les suspects sont nombreux, dans cette amérique profonde des années cinquante où le racisme est quotidien, Big Bill dérangeait.

L'atmosphère est là, le dessin est plaisant, on suit l'histoire avec intérêt même si le suspense est relatif.
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Toute la poussière du chemin

Si cette bande dessinée peut paraître un peu décousue au début, et qu'elle se lit vite, c'est tout de même un bon souvenir de lecture. Elle a pour pour cadre les routes poussiéreuses empruntées par les laissés-pour-compte de la crise de 29, elle est belle, mais triste et sombre, avec une légère éclaircie à la fin. J'ai été séduite par son graphisme et sa mise en couleur.
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Les ailes de l'espérance, tome 1 : Anges

L’histoire se passe en 1940 en Angleterre

On va suivre le séduisant Vic Stone, pilote émérite durant une bataille contre les allemands.

Malheureusement l’affrontement se passe mal et Vic sera obligé de se poser à terre avec son Hurricane en feu.

Sentant sa dernière heure arriver et sa mort aux mains des Allemands, la chance lui sourit car son ennemi est abattu par l’un des coéquipiers de Vic.



Dans cette histoire on va vivre l’horreur de la guerre dans les airs, mais aussi une histoire de viol et de meurtre dans le village voisin à la base militaire.

Lors de l'atterrissage forcé Vic va faire la rencontre de la magnifique Ruby et une relation va naître en eux.

Mais voilà Ruby cache bien des secrets, et elle est prête à tout pour s’occuper de son fils, quitte à se faire connaître de toute la base militaire pour ses talents cachés….

Et pour rajouter encore un peu d’intrigue, il y a une affaire d’espionnage.



Je ne vais pas vous le cacher, j’ai adoré ma lecture .

Une histoire passionnante, et les intrigues sont bien écrites et les scènes d’affrontements sont magistrales.

Les dessins sont superbes avec un sens du détail incroyable pour les avions. Les personnages ont beaucoup de charme et les couleurs apportent du peps à l’ensemble.



Une BD que je recommande énormément, surtout si vous êtes fan d’aviation ou d'histoire de guerre.
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L'homme qui corrompit Hadleyburg

J'entame avec quelques jours d'avance mon mois de la BD avec "L'homme qui corrompit Hadleyburg" de Wander Antunes, d'après Mark Twain. Je ne connais pas l'oeuvre de Mark Twain. Il est vrai que j'ai découvert les aventures de Tom Sawyer à la télévision quand j'étais gamine.

Dans ce roman graphique, j'ai aimé l'avant-propos de l'auteur qui écrit une lettre à Monsieur Twain lui exposant son admiration et son enfance bercée par les aventures de Huckleberry Finn. Il explique son approche de l'oeuvre de Mark Twain et le choix de réunir un texte "L'homme qui corrompit Hadleyburg" avec Tom Sawyer et Huck Finn.

Les premières planches racontent la visite de Mark Twain à Londres et ses pensées sur la probité de ses habitants.

Hadleyburg est une petite ville américaine qui s'enorgueillit d'être la plus honnête. Une nuit, un homme se déplaçant en calèche s'arrête chez un couple âgé, d'honnêtes citoyens. Cet étranger remet une sac sensé renfermé 40 000 dollars et un mot qui explique tout.

Ce sont les personnages qui prédominent dans les plans plus que le décor de la ville. En plusieurs séquences Wander Antunes croque l'arrivée de l'étranger et sa fuite, le dilemme du vieux couple, l'annonce de la fortune presque tombée du ciel et le naufrage de toute une élite, de nantis dont la haute moralité vole en éclats devant les journalistes venus des quatre coins des Etats-Unis et sous le regard ébahi de Tom et Huck. Il y a quelques flash-back. Les couleurs accompagnent chaque personnage et chaque péripétie jusqu'au dénouement final où le noir domine.

J'ai pris du plaisir à fréquenter l'univers d'Antunes et Twain.
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Les ailes de l'espérance, tome 2 : Démons

Août 1940



La maîtrise des airs échappe toujours à la Luftwaffe, qui n'arrive pas à briser les défenses anglaises et leur Royal Air Force.



Pourtant nettement supérieurs en nombre, les allemands viennent systématiquement buter contre les anglais qui résistent, malgré de lourdes pertes, dues à l'inexpérience de ses jeunes pilotes.



Au sol, les pilotes anglais sont de surcroît confrontés à une vindicte populaire sans égale, en cause, le viol et le meurtre d'une jeune villageoise, et que tous les indices accusent un aviateur.



L'affaire fait grand bruit jusqu'en haut de la chaîne de commandement, mais aussi dans le gouvernement britannique. Même les allemands sont au courant de l'affaire et n'hésitent pas en s'en servir pour leur propagande.



Le coupable doit être arrêté, et au plus vite.



Un ordre que le Lieutenant Collins, chargé de l'enquête prend à la lettre, profitant de l'occasion pour régler ses comptes avec Vic Stone, un As de l'aviation anglaise.



Mais les espions infiltés en Angleterre vont bientôt découvrir pourquoi et comment les bombardiers du Reich sont rapidement interceptés et bien souvent abattus, une brêche, qui comblée, pourrait bien changer le cours de l'Histoire...







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Vieille Amérique

J'ai été époustouflé par cette lecture d'un scénariste que je connaissais pour avoir déjà apprécié Un Paradis distant ainsi que Big Bill est mort. Il est vrai que statistiquement Paquet fait curieusement partie de mes éditions favorites.



La vieille Amérique du XVIème siècle n'est simplement que le décor d'une arnaque qui va mal tourner. On a un peu du mal à s'habituer au graphisme avec des gueules de personnages assez étranges et caractéristiques. Cependant, il y a quelque chose qui fait que cela passe bien. Sans doute la qualité des dialogues et un scénario hors-pair qui réserve d'ailleurs une belle chute à la fin.



J'ai apprécié cette lecture. Les combats à l'épée sont remarquables quant à la fluidité des scènes. On vît l'aventure de ces deux compères et on espère qu'ils s'en sortiront de toutes ces galères.



C'est un one shot. On regrette déjà de devoir les quitter. Cela aurait pu faire une bonne série.
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Big Bill est mort

Big Bill est mort, pendu à un arbre devant la maison de sa mère et de ses deux frères qui le regardent en attendant l'arrivée du shérif. Alors qu'ils n'osent pas le détacher pour ne pas souiller la scène du crime, les deux frères refont le parcours de Big Bill pour savoir qui, dans la petite ville, aurait pu le tuer. Les candidats sont très nombreux.



Les Etats-Unis, sur fond de racisme, probablement à la fin des années cinquante, les noirs ne sont pas appréciés et celui d'entre eux qui ose vivre comme les blancs est très mal vu d'iceux voire méprisé ou pire. Big Bill a pas mal d'ennemis, entre les racistes, les jaloux de ses succès, les maris cocus, les joueurs de poker qu'il a plumés...



Le scénario (Wander Antunes) est intéressant, à coups de retours en arrière, on apprend l'essentiel de la vie de Big Bill. Bien mis en dessins (Walter Taborda) aux traits réalistes et expressifs, aux couleurs chaudes ((Vance Caines), cette BD, si elle ne joue pas dans la catégorie de celles qui ont un truc en plus, qui déchirent comme diraient les jeunes, n'en est pas pour autant déplaisante. Au contraire, je me suis fait un plaisir de la lire et je vais aller la remettre dans les rayonnages pour que d'autres puissent en bénéficier.
Lien : http://www.lyvres.fr/
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Un paradis distant

Que dire qui n'a pas déjà été énoncé. Un Paradis distant propose un drame que ne renieraient ni Steinbeck ni Elmore Leonard.



Le drame dans toute sa "splendeur". Travis revient après 10 ans de tôle pour viol. Sauf qu'on apprend que la poulette était plutôt consentante. Et que les méchants ne sont pas aussi pourris qu'on le pensait et pareil pour les gens qui se pensent au-dessus des autres. On suit alors la machination de Travis pour réhabiliter son honneur et les efforts d'Ada, mère noire et célibataire, pour élever son gamin. Ada et Travis se "trouvent" comme on dit. On est dans la romance, façon "Nous deux", pas dans le polar noir... Eh bien si... car la fin est bien celle d'un roman noir d'encre. Trop prévisible à mon goût, mais diablement bien faite.



Mentionnons aussi un titre pas trop heureux à cause de la répétition des "dis"... On aurait pu tout autant avoir "Un abri brisé", "Un enfer fermé", "Un Repos postposé", "Une Cavale valeureuse"... bref, il faut bien trouver quelque chose à dire sur une BD carrée et efficace. Encore un beau pari réussi des Editions Paquet.



Un mot sur la découpe des 3 dernières pages (en 3 tiers), façon cinéma panoramique. C'est super bien pensé. Une BD qui se lit comme on regarde un bon film noir.
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Un paradis distant

Une histoire Archi-classique, du retour, de vengeance, sur fond de racisme ordinaire et d'Amérique profonde. Avec en plus un dessin qui ne peut renier ses inspirations mangas qui ne correspond pas vraiment à ce que je préfère, question de génération. Mais aussi une vrai originalité dans le tempo du récit un peu foutraque mais entrecoupé de purs moments d'extase artistique, sans un mot ou presque pour nous laisser songer avec la "mémé" du héros.
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Toute la poussière du chemin

J’ai aimé cette histoire qui se déroule au lendemain de la crise financière de 1929 et qui trouve un étrange écho dans notre monde contemporain. C’est un road trip dans une Amérique en recherche de nouvelles valeurs auxquelles se raccrocher. Un bémol pour les personnages parfois un peu caricaturaux et manichéens mais le héros (ou plutôt anti-héros) parvient à toucher par son humanisme ambivalent. Le graphisme sans fioritures met parfaitement en valeur ce récit âpre et inspiré.
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Toute la poussière du chemin

Tom s’est pris la crise des années 30 de plein fouet, tout ce qu’il avait à perdre, il l’a perdu.

C’est avec l’âme vide qu’il traverse aujourd’hui son pays, avec pour seul objectif de survivre au jour le jour.



Mais les rencontres du quotidien raviveront bien vite sa rage de vivre et de justice, c’est ce personnage plein d’humanité qui nous partage son aventure et ça fonctionne bien.



Une juste dose d’émotions dans un récit vrai et humain !
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L'homme qui corrompit Hadleyburg

Le bûcher des vanités



Désormais seul aux commandes, Wander Antunes adapte avec L'homme qui corrompit Hadleyburg une nouvelle de Marc Twain plutôt méconnue sous nos latitudes…



Librement adapté du roman éponyme, l’auteur brésilien fait de Tom Sawyer et de Huckleberry Finn les témoins amusés du drame humain qui se joue dans ce récit qui porte un regard cynique et désabusé mais oh combien lucide sur notre humanité…



Ce faisant, il rend un hommage appuyé à l’œuvre de l’écrivain américain que son dessin épuré, son encrage généreux et ses couleurs élégantes retranscrivent avec audace et justesse…
Lien : http://sdimag.fr/index.php?r..
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Un paradis distant

La crise des années 30 aux USA. Une petite ville où tout le monde se connait, et ou chacun gère ses affaires à sa façon. La vieille noire qui a perdu tous ses enfants d'un côté, les blancs de l'autre.

Et au milieu arrive le gars qu'on a pas vu depuis 10ans parce qu'il était en prison : et qui va faire éclater quelques vérités.



J'ai aimé cette ambiance, dure du fait de la crise économique mais aussi en raison des relations entre les différents personnages : une espèce de jeu de manipulation sordide pour tous.



Et j'aime beaucoup le dessin, surtout ces long paysages d'introduction et de conclusion de l'histoire.

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Les ailes de l'espérance, tome 2 : Démons

Un avion allemand vole à toute vitesse vers un petit village au grand étonnement des villageois, celui-ci ne déverse pas des bombes mais des tracts. Sur ceux-ci on peut voir figurer le visage de la fille retrouvée morte aux abords de la base et un message accusant les aviateurs. En haut lieu, les sanctions tombent immédiatement. Les potentiels suspects sont suspendus de vol, ce qui va créer des tensions. En effet, cela amoindri le peu d'aviateur qu'il reste. De son côté, la belle Ruby est partagée entre la trahison et le fait de pouvoir soigner son fils gravement malade. 



Ce second tome est à nouveau la scène de superbes combats illustrés par Thomas de Caju. Les carlingues sont détaillées au millimètre près et l'action est passionnante à regarder. Du côté du scénario, on en apprend un peu plus sur les personnages apparaissant dans la première partie. Cela permet de dévoiler l'intrigue autour de la belle Ruby. Malheureusement, cela manque de consistance. La résolution de l'histoire se fait un peu trop vite et tue tout suspens. Néanmoins, ce récit permet de découvrir dans quelles conditions les pilotes de la RAF se battaient face aux assauts de plus en plus nombreux de l'ennemi. En sous effectif, avec des aviateurs peu expérimentés face à des adversaires mieux équipés. C'est la période la plus sombre de son histoire.



Lu et commenté sur izneo
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Les ailes de l'espérance, tome 2 : Démons

Vic Stone, aviateur est attirée par Ruby, jeune mère célibataire qui habite à coté de la base. Nous sommes durant la guerre d'Angleterre. Les aviateurs tombent comme des mouches, mais il y aussi un meurtrier qui rode et qui a tué une femme. Les aviateurs sont soupçonnés et certains sont mis à l'écart et ne peuvent plus voler. Inconcevable alors que les combattants manquent.

Vic va découvrir que la jeune femme se prostitue occasionnellement, qu'un mac violent la rudoie et qu'elle pourrait être la prochaine victime de l'assassin...

De très beaux dessins alliés à une intrigue classique moyennement emballante , pas forcément crédible, alliant romance et combat d'avions.



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Vieille Amérique

Ah... le vieux thème du dernier coup à tenter mais qui fera de deux compères, cette fois enfin c'est sûr, des hommes riches. Tout y est : le troisième larron qui n'a pas bien compris où il mettait les pieds et qui en dit trop à la jolie fille croisée dans une auberge, les autres malfrats qui se mettent sur le coup, les embuscades à répétition, la course poursuite pour tenter le tout pour le tout, et au bout de la balade.... vous verrez bien si vous lisez cette BD. Le dessin est très énergique et sert bien l'histoire. Les personnages ont tous des "tronches" qui donne à l'ensemble des faux airs de westerns où tout le monde est sale et méchant. Une BD à fréquenter, contrairement à tous ses personnages.
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