Citations de Wilfrid Lupano (1348)
- Le tronc, c'est le mot. Les branches, ce sont tous les autres mots qui ont poussé sur ce tronc.
- Et le feuillage ?
- Le feuillage, c'est tous les discours qu'on produit avec ces mots. Certaines feuilles sont nourrissantes, d'autres servent de refuge. Beaucoup tombent à plat ou s'envolent dans le vent. Elles peuvent parfois tout recouvrir. Cacher des choses.
S’il n’y avait pas le poids des livres, l’esprit du lecteur s’envolerait !
- Je veux bien apprendre Alexandre le Grand, l'Iliade, Christophe Colomb, le Mayflower... Mais j'ai besoin de comprendre la différence entre un ignoble massacre et une conquête héroïque. Parce que je ne la vois pas, mademoiselle. Je ne la vois pas.
- Vous vous rappelez, quand je suis venue vous voir avec le bâton ? Je voulais comprendre pourquoi la ligne se brise quand le bâton entre dans l'eau. À quel moment la ligne de brise ? Vous aviez dit un mot... savant...
- La réfraction.
-C'est ça. La réfraction. Pourquoi le regard change ? Pourquoi l'indignité se transforme en gloire ? C'est ça, mademoiselle, qu'il faut nous apprendre.
Et c'est pourquoi j'ai pensé que peut-être il serait bon qu'il s'émerveille et qu'il rigole un grand coup, le peuple. Car quand le peuple rigole un grand coup, il accepte plus facilement sa vie difficile, et ce problème de patates.
Elle n'est pas mélancolique, Sire, elle est casse-pieds ! Pour voir un sourire sur son visage, il faudrait la tenir la tête en bas...
- J'aurais préféré le major et son expérience militaire, mais bon...
Après tout il parait que certaines tortues sont expertes dans les arts martiaux.
- Je suis non-violent.
On culbute ma descendance ! On me fait des petits-enfants dans le dos !
C'est parce que j'ai les chocottes qui me mangent les mots.
- Ça me donne toujours faim, moi, la zumba.
-Moi , j'en prends encore une dizaine mais c'est de la gourmandise.
C'est le moment de montrer ce que tu as dans le slip.
- Je te demande pardon?
- Dans ta poche .
OK, c'est totalement pire que le pire du pire de ce que j'imaginais.
J'ai toutes les chocottes qui dansent la zumba.
Allez les chocottes ! On remue son popotin ! Trois, quatre. Et un, deux!
Trois! Quatre!
Vamos a bailar, las chocottas...
𝑵𝒐𝒖𝒔 𝒎𝒆𝒕𝒕𝒐𝒏𝒔 𝒂𝒖 𝒎𝒐𝒏𝒅𝒆 𝒍𝒆𝒔 𝒆𝒏𝒇𝒂𝒏𝒕𝒔, 𝒆𝒕 𝒏𝒐𝒖𝒔 𝒍𝒆𝒔 𝒆́𝒍𝒆𝒗𝒐𝒏𝒔. 𝑫𝒆𝒔 𝒇𝒆𝒎𝒎𝒆𝒔 𝒏𝒐𝒊𝒓𝒆𝒔 𝒊𝒏𝒔𝒕𝒓𝒖𝒊𝒕𝒆𝒔 𝒂𝒖𝒓𝒐𝒏𝒕 𝒅𝒆𝒔 𝒆𝒏𝒇𝒂𝒏𝒕𝒔 𝒊𝒏𝒔𝒕𝒓𝒖𝒊𝒕𝒔, 𝒒𝒖𝒊 𝒂𝒖𝒓𝒐𝒏𝒕 𝒅𝒆𝒔 𝒆𝒏𝒇𝒂𝒏𝒕𝒔 𝒑𝒍𝒖𝒔 𝒊𝒏𝒔𝒕𝒓𝒖𝒊𝒕𝒔 𝒆𝒏𝒄𝒐𝒓𝒆.
- Vous vous rappelez quand je suis venue vous voir avec le bâton ? Je voulais comprendre pourquoi la ligne sa brise quand le bâton entre dans l'eau. A quel moment la ligne se brise ? Vous aviez dit un mot ... savant ...
- La réfraction.
- C'est ça. La réfraction. Pourquoi le regard change ? Pourquoi l'indignité se transforme en gloire ? C'est ça, mademoiselle, qu'il faut nous apprendre.
- Je vous enseigne ce que je sais.
(page 97)
Mais j'ai besoin de comprendre la différence entre un ignoble massacre et une conquête héroïque. Parce que je ne la vois pas , Mademoiselle. Je ne la vois pas.
(page 96)
Nous mettons au monde des enfants, et nous les élevons. Des femmes noires instruites auront des enfants instruits, qui auront des enfants plus instruits encore.
(page 86)
Il n'y a pas de mal, cher Monsieur. Ce n'est que de la boue. C'est moins salissant que notre conversation.
(page 47)
Ils vont tout brûler !!!
La plus grande bibliothèque du monde ! Livrée aux flammes !
Quoi ?!!
Qui ferait une chose pareille ?!
Ton amis d'enfance !
Amir ?! Mais ...
Il ne serait pas étonnant que cette histoire finisse par sentir la poudre ...
Et tu as renié ta foi pour l'Islam ? Oui... Et pour des gâteaux aussi. Christianisme, Islam... Est-ce si différent, au fond!? Eh bien... Je dirais que... Ma foi... Tant qu'à prier pour que quelque chose tombe du ciel... il me paraît plus avisé de prier les mains ouvertes que les mains fermées.
Et si on faisait un bon barbecue ?
Tout de même, je me demande où elles trouvent toutes ses pièces, les petites souris.