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Critiques de William Irish (185)
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La Mariée était en noir

William Irish n'a pas été loin de réaliser le livre parfait. Pendant les quatre cinquièmes du roman j'étais persuadé de lui attribuer cinq étoiles. C'était époustouflant tant dans le scénario tout à fait nouveau, qu'avec le style vif et très moderne. Mais le chapitre concernant le dernier meurtre (plutôt la tentative) n'est vraiment pas réaliste. De même l'explication de la vengeance de la mariée en fin de roman n'est pas convaincante. D'ailleurs François Truffaut, himself, a senti qu'il ne pouvait dans son film suivre à la lettre William Irish . Les invraisemblances sautent aux yeux encore davantage sur grand écran...

Malgré cette déception en fin de parcours, je vous invite à lire ce roman car peut-être suis-je un peu tatillon et regarde de trop près chaque détail. À vous de me le dire.

Pour ma part, je ne peux donner davantage d'explications au risque d'ôter tout plaisir de découverte pour les prochains lecteurs.
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La Mariée était en noir

La couverture ne laisse planer aucun doute. Voilà le livre qui a inspiré le film de Truffaut ! Une sombre histoire de vengeance. Il ne fallait toucher au époux de la mariée, tué par hasard. Une balle perdue suite à un tir imbécile du fait d'une bande de chasseurs un peu ivres. Un à un, elle les retrouve pour les exécuter. Bon tempo, un peu stéréotypé, mais bon quand même ! On ne peut pas lire ce livre sans songer au long métrage, si on l'a vu précédemment. Même ambiance froide.
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La Mariée était en noir

Vu le film, pas lu le livre. Désormais, c'est fait. Un petit bijou au style simple, direct, sans fioriture. Aucun mot ou détail superflu. Que l'essentiel pour raconter une sorte de tragédie moderne.
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La Mariée était en noir

Très bien écrit et une intrigue très bien construite. Mais il demeure des longueurs, que le dénouement inattendu fait oublier. Un bon classique du polar.
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La Mariée était en noir

Je voulais un polar avec du suspense, j’ai été servie.



L’histoire ;

Dans le premier chapitre, on devine la souffrance, le traumatisme d’une

certaine julie qui laisse derrière elle des proches.

D’ou vient sa peine ? Que va t’elle entreprendre ?

On ne vas pas tarder à le comprendre.



Chaque partie est destinée à un protagoniste. A une cible, une proie.

La jeune femme belle, mystérieuse et rusée va l’un après l’autre

les tuer. De façon ingénieuse, sachant improviser et garder son sang

froid pour accomplir sa triste besogne.

Parallèlement, l’inspecteur Wagner enquête...



J’ai adorée, j’ai été leurré.

Je n’en dis pas plus.



Seule critique : c'était trop court pas assez détaillé.

Mais le suspense, l’impatience de savoir le fin mot de l’histoire étaient la.

J’ai hâte de lire un autre roman de cet auteur.
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La Mariée était en noir

Ce roman, publié en 1940 mais dont la traduction française "complète" n'aura lieu qu'en 2001, est le premier roman de William Irish. Je trouve important de le préciser tant il est surprenant, dénouement y compris. Il y aurait des choses à dire, à redire sur ce dénouement, mais le révéler, ce serait gâcher la lecture pour ceux qui se lanceraient dans la découverte de ce polar. 

Kenneth Bliss tombe de son balcon le jour de ses fiançailles - du dix-septième étage, cela ne pardonne pas. Quelques temps plus tard, Mitchell est assassiné, avec du cyanure placé dans une de ses boissons favorites. Puis, c'est au tour d'un brave père de famille de mourir au cours d'une partie de cache-cache effectué avec son fils. Si certains voient trois affaires distinctes, ce n'est pas le cas de l'inspecteur Lew Wanger. Lui, qui a déjà pensé que le premier décès n'était ni un accident ni un suicide, est persuadé que les trois affaires sont liées par la mystérieuse femme qui était à chaque fois sur les lieux et qui, à chaque fois, n'a pas pu être retrouvée. Elle s'est aussi bien gardée de se présenter comme témoin, comme elle aurait pu le faire si la mort de Kenneth Bliss avait été purement accidentelle. 



Il faut de la patience, il faut de l'acharnement pour découvrir l'identité de la coupable et plus encore pour découvrir pourquoi elle a agi ainsi. Elle a toujours veillée, de manière fort étonnante parfois, à ce qu'aucune innocente ne se retrouve incriminée. Cherchez la femme, déjà, à l'époque, la femme la plus proche, pas une autre, parce que c'est forcément elle la responsable. Pour d'autres, la femme est totalement invisible, juste une compagne, et encore. Rester invisible jusqu'au bout, c'est ce qu'a réussi à accomplir la mystérieuse meurtrière. 

Et si vous ne l'avez pas déjà vu, je ne peux que vous conseiller de regarder le film de François Truffaut. 
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La Mariée était en noir

La mariée était en noir fait partie de ces grands classiques qu’on est persuadé d’avoir lu ou vu mais qu’on a juste « oublié » de lire ou de visionner.

Celui-ci mérite de sortir des bibliothèques et de ne pas être simplement un titre dans nos mémoires.

Une écriture épurée et précise au service d'une histoire très noire et un personnage féminin de belle facture.

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La Mariée était en noir

Les films "Fenêtre sur cour" d'Alfred Hitchcock ou "La mariée était en noir" de Trufaut ont pour origine un livre de William Irish.

Celui-ci est un roman sans un très grand suspens qui raconte l’histoire d’une veuve qui assassine plusieurs hommes afin de se venger du meurtre de son mari. Plus que déterminée, elle se transforme en une véritable machine à tuer sans être inquiétée.

L’inspecteur Wanger aura la puce à l'oreille et finira par remettre les pièces du puzzle en place.

Rien d'exceptionnel, mais j'avoue avoir été quand même surpris pas le dénouement final.

N'est-ce pas l'essentiel ?

Lu agréablement dans le cadre du challenge "Solidaire"2023.
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La Mariée était en noir

Quatre meurtres, quatre modes opératoires différents . Une belle jeune femme ( blonde, brune ou rousse) tue froidement et sans aucun état d’âme , les uns après les autres , des hommes qui ne la connaissaient pas et qu’elle n’avait jamais rencontrés auparavant, avant de disparaître.

L’ inspecteur Wagner, lui, est persuadé qu’il y a un lien entre ces meurtres et qu’avant de chercher « LA femme » il lui faut d’abord comprendre ce que ces hommes ont en commun.



Un policier de facture très classique, chaque chapitre consacré à l’un des meurtres sauf le dernier qui conclut de façon inattendue et prenante la longue vengeance de Julie. Pas de longueur, c’est clair, net et précis et on n’a pas le temps de s’ennuyer une seconde !



J’avais vu, il y a longtemps, le film de Truffaut donc il y avait moins de suspense pour moi. Revu juste après cette lecture, j’ai trouvé que le film avait un peu vieilli mais que Jeanne Moreau y était superbe ! (Par contre Truffaut a totalement changé la fin du roman )



Challenge solidaire 2023
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La Mariée était en noir

Retour sur un des thèmes favoris de William Irish : la vengeance ! Quatre hommes que rien ne semblent relier, une femme qui apparaît et disparaît pourtant à un moment crucial de leur existence.

Le livre est construit dans le même style que Rendez-vous en noir : chaque personnage se développe au cours d'un chapitre, puis tout s'emboîte à la fin du livre. Et même là encore, un final auquel le lecteur ne s'attendait pas.

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La Mariée était en noir

Polar daté.



Plusieurs meurtres ont été commis. Rien ne semble les relier à première vue, si ce n'est la présence d'une mystérieuse femme à chaque fois.



J'attendais beaucoup de ce polar, au final il s'avère être une relative déception. L'idée de base était intéressante, comprendre le lien entre la femme et les différents meurtres du récit. Mais la construction vie de la victime - rencontre avec la femme - enquête s'avère lassante à la lecture.



Certains passages sont trop court, quand d'autres à l'inverse s'étirent en longueur. Cela est accentué par le style que j'ai trouvé pesant et vieillot. De plus, j'ai trouvé que la conclusion était tirée par les cheveux.



Toutefois, l'ensemble se lit sans déplaisir et l'ensemble reste un polar honnête sans être exceptionnel. Les parties enquêtes sont globalement intéressantes à lire.



Bref, un polar qui ne me laissera pas un grand souvenir.
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La Mariée était en noir

Ce thriller haletant était ma première expérience de William Irish et j'avoue qu'elle a été plutôt concluante. J'ai eu quelques craintes au départ mais très rapidement le rythme s'est accéléré et j'ai été happée par le suspense.



Avec une facilité déconcertante et malgré les descriptions minimalistes de la narration, j'ai vu se matérialiser le décor de l'intrigue avec la précision d'une séance de cinéma. Sans vraiment pouvoir lui donner de visage ni d'identité physique, faute d'éléments permettant de le caractériser, je me suis néanmoins attachée à la personnalité de l'inspecteur Wanger dont la logique et la persévérance m'ont paru très crédibles.



Je vais me mettre en quête de l'adaptation cinématographique réalisée par François Truffaut en 1967 avec Jeanne Moreau et Claude Rich pour voir ce que ça donne...





Challenge ABC 2012-2013

Challenge AUTOUR DU MONDE
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La Mariée était en noir

Un bon moment de lecture, ça nous pompe tellement le cœur qu'on veut vite voir surgir la fin qui effectivement tourne en spirale, ça creuse peu à peu autour de cette femme mystérieuse, toujours présente aux scènes de crimes et disparait avant d'être appréhender, d'interrogations en interrogations, seul le flair de l'inspecteur Wanger est à même de pourchasser une femme de cette poigne, surtout qu'elle est flétrie d'un indéniable sentiment de vengeance ...

Peut-être pas un thriller frémissant mais c'est une agréable lecture!
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La Mariée était en noir

Une première rencontre avec William Irish très convaincante ! J'ai beaucoup aimé la construction de cette énigme policière et sa façon de peindre les personnages, notamment celui de cette dame en noir, entourée d'une certaine aura mystérieuse.

Cinq parties se succèdent, toutes construites de la même façon. Dans un premier chapitre, une rencontre de manière anodine d'un personnage secondaire avec une belle femme, un brin fascinante. Le second chapitre s'attardera sur différents hommes et leur entrevue fatale avec cette fameuse dame. Dans un troisième chapitre, nous suivons l'inspecteur Wanger, qui, persuadé que ces mystérieux meurtres ont un dénominateur commun, mène l'enquête.

Une intrigue très bien ficelée, de suite prenante de part cette construction singulière, dont je conseille la lecture.
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La Mariée était en noir

Roman devenu un classique du genre, certainement grâce à l'adaptation de Truffaut.

Rien de particulièrement innovant dans l'intrigue avec des meurtres que rien ne peut relier entre eux que ce soit dans le mode opératoire ou la personnalité des victimes.

Les policiers chargés des enquêtes privilégient d'ailleurs la piste de plusieurs meurtriers sauf l'inspecteur Wanger qui, en recoupant les témoignages sur la présence à chaque fois d'une mystérieuse femme, et même si les descriptions varient nettement d'une affaire à l'autre, défend la thèse qu'une seule et même personne dont le mobile lui échappe est à l'origine du massacre.

La construction du récit est originale en plusieurs chapitres divisés chacun en trois parties, « la femme » « le meurtre » « l'enquête ».

Sans gros effets, dans un style efficace, l'auteur nous invite à suivre la trace sanglante de la femme en noir jusqu' au dénouement final et la révélation de l'élément déclencheur de tous ces meurtres que l'on connait forcément déjà si on a vu le film.
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La Mariée était en noir

Ce roman de William Irish a été publié en 1940. Julie quitte ses proches pour Chicago où son destin l’attend. Un destin façonné par la mort de son mari, fauché à la sortie de l’église. La réalité d’une vie conjugale tranquille anéantie en un instant. Le deuil, la solitude, la peur, la vengeance et la mort l’accompagnent dorénavant dans sa quête qui durera quelques années. Tout le reste, elle en fait son affaire. Ce roman noir accorde le premier rôle à la femme. Jeune, séduisante, résolue, elle parvient jusqu’à sa première cible, Ken Bliss. Sa charmante fiancée n’ira pas jusqu’à l’église. Il perd la vie en franchissant la balustrade dans un appartement de la 84e rue. Mitchell, grand buveur, perd la vie après avoir rencontré celle dont il avait toujours rêvé. L’alcool, quelle calamité ! Puis vint Moran qui meurt asphyxié chez lui dans un cagibi, sous l’escalier alors que la maîtresse de son fils joue à cache-cache. Sa femme a été éloignée grâce à un télégramme contrefait de sa sœur. Puis enfin, l’artiste-peintre Fergusson succombe aux charmes de Christine Bell. Les cloches de la mort sonnent pour lui-aussi sous l’apparence d’une flèche lui transperçant le cœur.

Lew Wanger est le fin limier qui relie chacun des crimes. Un autre acteur est présent dans tout le roman. Le final est théâtral.

Ma chronique ne rend pas justice à la complexité du roman ni à sa composition. L’écriture est minimaliste ce qui apporte à l’histoire une originalité irrésistiblement dynamique. William Irish attache une attention aux visages, aux corps, aux voix. Il opère comme par magie. C’est un architecte de l’intrigue.

« La mariée était en noir » est interprétée par Jeanne Moreau dans l’adaptation de François Truffaut et date de 1968.

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La Mariée était en noir

Cela fait fort longtemps que j'envisageais de lire ce livre. Plus ou moins depuis que je sais que le film de Truffaut est tiré d'un livre. Tout ado, en effet, je suis tombé par hasard sur l'adaptation cinématographique du classique de William Irish. C'est dire si, à chaque page, j'avais bien du mal à me défaire de l'image de Jeanne Moreau en Julie, veuve déterminée...



Souvent, en fermant les yeux, une sarabande unissant Humphrey Bogart et Jeanne Moreau s'envolait sous mes paupières closes. Oui, j'associe classique du roman noir à Humphrey Bogart... Je le voyais bien dans ce Wanger, flic opiniâtre, un brin désabusé, qui finit par éprouver une sorte de compassion, teintée de colère pour l'inutilité de la vengeance de Julie. Un flic intègre et humain. Ce n'est pas incompatible.



Le roman est construit de manière simple, chaque chapitre présentant de la même manière un crime perpétré par Julie. Seul le dernier chapitre diffère un peu, avec l'arrestation de la meurtrière, et la morale qui lui est faite par Wanger. Une morale comme en ferait un grand frère bienveillant mais juste, intransigeant.



Irish va à l'essentiel, à chaque fois. Deux ans et demi passent dans le roman sans que l'on s'y attarde. Parce que pour Irish, l'essentiel est dans le récit, pas dans le temps qui passe. Et Irish évacue cette dimension, très soucieux de cohérence. Tout est expliqué dans le dialogue sous forme d'aveux qui se déroule entre Julie et Wanger.



Tout se révèle à la fin, ce qui veut dire que le lecteur ne reçoit les clés qu'au terme du roman. Il est laissé dans l'incertitude, simple spectateur des crimes et de l'enquête, du désarroi de Wanger, de la dure détermination de Julie.



Bref, un très bon moment. Trop court. Mais c'est aussi la force d'Irish: ne pas trop en faire, ne pas diluer, ne pas allonger une sauce qui ne doit pas l'être. Là où un Adler-Ohlsen ou un Carrisi feraient 700 pages, Irish se contente de 130. Avec la même réussite (au moins).
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La Mariée était en noir

Le livre raconte l'histoire d'une vengeance. On ne sait pas de quoi il s'agit jusqu'à la fin du roman. On suit les manoeuvre d'une femme qui tue quatre hommes, sans en connaître la raison, chaque homme correspond à un chapitre de l'histoire. Chaque meurtre est différent du premier, chaque fois la femme disparait aussi vite qu'elle est apparue. L'inspecteur Wanger est le seul à être convaincu que ces quatre hommes ont du se connaître à un moment de leur vie, pourtant rien ne laisse penser une chose pareil. Qu'ont fait ces hommes ? Qui est cette femme ? Et pourquoi cherche-t-elle tant à se venger ?



L'histoire est bonne, surtout la partie qui raconte la vie et le meurtre de Bliss, la première victime. Le reste du livre est correct, mais j'ai sauté l'avant dernier chapitre qui parle de Holmes...le dénouement est bien, mais rien comparé à Lady Fantôme. Je donne 3 étoiles seulement pour la partie de Bliss et l'explication finale.
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La Mariée était en noir

Une belle découverte grâce au challenge solidaire. William Irish pose simplement les choses, et c'est efficace, tout comme son découpage du roman. J'ai eu plaisir à suivre cette meurtrière mystérieuse, implacable avec ses victimes mais soucieuse des à-côtés (pensait-elle, comme Hercule Poirot, que le plus difficile est parfois d'être soupçonné de meurtre sans pouvoir s'en défendre ?).

Le suspens n'est pas insoutenable, mais c'est un roman noir bien sympathique. Je relirai cet auteur et j'espère regarder bientôt l'adaptation de François Truffaut.
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La Mariée était en noir

Superbe découverte que ce roman! Un polar très noir, un scénario bien ficelé et un dénouement bien amené.

Le schéma est très simple : quatre hommes sans aucun lien apparent sont tués, à chaque fois par une femme qui disparait aussi vite qu'elle est venue ... Ils sont tous victimes d'un piège bien construit, tissé soigneusement par cette/ces femmes? inconnues.

Une histoire de vengeance qui m'a beaucoup plu et que je vous recommande!
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