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Critiques de Yasmine Ghata (79)
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J'ai longtemps eu peur de la nuit

"Tu n'es plus désormais qu'un orphelin qui vagabonde, sans savoir où aller avec pour seul compagnon une valise vide qui t'escorte comme un fidèle parent"



Suzanne anime un atelier d'écriture et demande à ses élèves d'apporter une objet de famille qui pourrait illustrer leur vie personnelle.

#Arsene , orphelin rwandais et réfugié en #france ne peut rien apporter d'autre qu'une #valise dans laquelle il s'est réfugié durant sa fuite.



Il livrera petit à petit son histoire bouleversante et attachante à Suzanne, avec laquelle il a le point commun de la perte et de la souffrance.



#yasmineghata nous propose un #récit très poignant en évoquant notamment le #genocide #rwandais à travers le regard d'un enfant
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La nuit des calligraphes

Un beau sujet traité avec une certaine poésie. Mais qui me laissera peu de souvenirs. Ton trop neutre qui rapporte plutôt une biographie qu'un art? J'apprecie les élans poétiques qui ouche t à la composition calligraphique mais même cela n'a pas collé. Un roman agréable à lire, mais qui reste très superficiel. Très loin du magnifique "mon nom est rouge" d'Orhan Pamuk. J'ai néanmoins eu plaisir à découvrir des artistes et objets d'arts magnifiques au cours de la lecture
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J'ai longtemps eu peur de la nuit

Superbe livre sur le génocide rwandais...Aussi beau que "Petit Pays" de Gaël Faye.
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J'ai longtemps eu peur de la nuit

Suzanne anime des ateliers d'écriture au collège. En demandant à chacun, lors de la première séance "d'apporter un objet de famille susceptible d'illustrer sa vie personnelle" elle n'imagine pas ce que cela va provoquer chez Arsène un orphelin rwandais réfugié en France et adopté par une famille française. Il sortira de l'oubli la valise que lui a donnée sa grand-mère en l'obligeant à se sauver juste avant le massacre de sa famille. Avec cette valise l'auteure, avec justesse et patience décrit la fuite, les angoisses et permet à l'enfant d'exorciser son passé. Un très beau "document" à conseiller aux adolescents et aux adultes. Dommage que l'histoire personnelle de Suzanne coupe le récit de l'enfant et n'apporte rien au roman .
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J'ai longtemps eu peur de la nuit

Destinées croisées entre un enfant et une femme, entre deux univers de vie , entre deux passés douloureux. Leur rencontre à l'école permet à chacun de s'exprimer. La plongée dans le souvenirs leur fait petit à petit émerger de leur passé. S'ouvre alors devant eux une vie plus légère: tous deux ont enfin déposé leurs bagages.
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La nuit des calligraphes

Excellent travail de mémoire familiale, comme le célèbre De la part de la princesse morte de Kenizé Mourad, qui met en lumière tout le côté iconoclaste de l'approche kémaliste aux arts traditionnels. L'écriture est aussi très élégante.

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Le târ de mon père

Le târ, sorte de luth oriental (oud) à deux caisses de résonance, est doté de pouvoirs magiques, capable de se refuser à quiconque n'a pas reçu du Très-haut le droit de s'en servir. Tel est le thème sur lequel Yasmine Ghata va broder pour nous offrir ce conte oriental, situé dans une contrée fortement influencée par le soufisme, cette variante de l'Islam qui autorise la construction de mausolées et le culte des saints. Laissez-vous doucement bercer par cette langue finement ciselée, qui vous enverra pour un instant dans un pays enchanteur où la musique est de droit divin. Une petite merveille…
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La nuit des calligraphes

Un livre magnifique, sensuel, envoûtant, aux parfums d'Orient entêtants. Une page d'histoire, aussi : la fin de l'Empire Ottoman et l'avènement de la Turquie moderne sous la houlette d'Atatürk. Un livre sur le violent passage à la modernité aux dépens des traditions les plus ancestrales.
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La nuit des calligraphes

je devais lire ce livre pour un enseignement d'exploration, et il ne me disait rien du tout. Quand je me suis plongée dedans donc, j'étais réticente. Mais l'écriture m'a surprise et bien que je n'ai pas adoré, je n'ai pas détesté pour autant. Un avis meilleur que prévu, donc.



Ce roman raconte l'histoire d'une calligraphe, racontant ses mariages mais aussi ses expériences avec l'écriture. Le fait que le récit commence par sa mort est surprenant. La fin est très bien choisie, je trouve : il s'agit de la petite-fille de la calligraphe qui va à une exposition des oeuvres de sa grand-mère au Louvre. Or, comme Ghata (le nom de l'auteur) est aussi celui qu'un de ses ex-maris a pris, on peut imaginer que l'auteur descend vraiment de l'héroïne. Difficile à comprendre dit comme ça, j'imagine, mais ça amène une part de surprise et rend le livre plus intéressant également.

Par contre, beaucoup de termes faisaient référence à la culture dans le pays de Rikkat (l'héroïne) et que je n'ai pas réussi à comprendre...



Les personnages ne sont pas particulièrement attachants : on découvre chez chacun d'eux une part qui a blessé Rikkat et sa façon de les voire nous empêche de les apprécier comme ses ex-maris. Ou bien ils apparaissent et disparaissent trop vite, comme son fils, Nourr.



Le style de l'auteur est simple, doux et franc à la fois. Depuis sa mort, elle nous relate sa vie avec clarté, étrangement détachée. Ce livre se lit très vite et est très court, mais il faut prendre le temps de comprendre ce que l'auteur a voulu dire par là.



Un roman beau même si je ne pense pas avoir réussi à capter tout ce que l'auteur y disait, très intéressant sur la calligraphie.
Lien : http://livresdecoeur.blogspo..
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La nuit des calligraphes

J'ai vraiment cru que je lisais une poésie d'ailleurs...
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La nuit des calligraphes

Ma critique:


http://ptitcoinlecture.blogspot.com/2007/08/la-nuit-des-calligraphes.html
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La nuit des calligraphes

Dans ce très court roman, Yasmine Ghata évoque sa grand-mère Rikkat, une calligraphe turque du début du XXe siècle. A travers son art, nous découvrons des tranches de vie. Ce roman a un côté très sensuel, dans le sens ou le rapport à la calligraphie est à la fois physique et mystique. Cependant, j'ai eu du mal à m'attacher aux personnages, d'autant plus que le roman se lit très vite. Le contexte historique (passage de l'empire Ottoman à la Turquie moderne d'Atatürk) est effleuré mais donne envie d'en savoir plus. La langue est belle mais j'ai eu du mal à vraiment accrocher.
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Le târ de mon père

Joli conte autour d'un instrument de musique magique, le târ, qui a le pouvoir de révéler la vérité.

L'histoire est déconcertante, racontée comme un conte, il est toutefois difficile de dégager une morale, comme il est habituel d'en trouver dans ce type d'écrit, ou alors je suis passée à côté. Le style est poétique, mystique, ce petit livre se lit facilement, mais je pense qu'il s'effacera vite de ma mémoire.
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Le târ de mon père

Ce livre n'est que poésie. Et on se laisse sans difficulté prendre dans cette farandole de mots mélodieux.
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J'ai longtemps eu peur de la nuit

L'histoire de l'adolescent rwandais prend aux tripes.

Celle de la jeune femme est malheureusement un peu "cliché", un peu convenue. Elle n'était pas nécessaire au livre et n'y apporte rien de plus : la vie de ce jeune garçon suffit amplement à nous embarquer dans sa tourmente !
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Le târ de mon père

C'est un instrument de musique qui est le fil rouge de tout le livre très court mais dense en émotions. Il sera le lien entre un assassin et sa victime et les familles des deux. Il a une âme, une vie propre et il ne peut pas être jouer par n'importe qui. Il a une histoire qui se calque avec celles des personnages. Cet ouvrage flirte avec la science-fiction et l'imaginaire.

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La nuit des calligraphes

Le roman commence par la mort de Rikkat, une femme qui excellait dans l'art de la calligraphie, et c'est depuis son lit de mort quasiment qu'elle nous emmène vers la découverte de sa vie. Une vie tourmentée dans la Turquie d'avant la seconde guerre mondiale, entre un mariage forcé, la fuite de son mari et de son enfant, ou la perte de son maitre. Mais une vie offerte à la calligraphie, art délicat sensé exprimer la parole de Dieu. Et c'est dans les scènes de calligraphie que la plume de l'auteur fait merveille, tout en douceur, en poésie et en délicatesse, rappelant parfois la beauté du film Pillow Book. Un très joli livre.

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La nuit des calligraphes

Superbe
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La nuit des calligraphes

Ce livre fut difficile à pénétrer... l'écriture est imagée... quand enfin je commence à le savourer, à m'y habituer, je m'aperçois que nous sommes pratiquement à la fin.

Hélas, soit j'ai loupé quelque chose, car on y discute souvent avec les morts dans cette oeuvre, soit l'auteure a un peu "dérapé" sur la fin.

La question : comment un homme mort en 1983 peut-il être présent et avoir rédiger une épitaphe pour une personne décédée en 1986?

Grande déception à quelques pages de la fin....
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