Yusei Matsui

La lune n’est plus qu’un croissant, détruite aux ¾ par un espèce de poulpe. Celui-ci se laisse encore quelques mois pour détruire la Terre. Personne n’arrive à l’atteindre : il faut dire qu’il se déplace à une vitesse record : mach 20. La classe de 3ème E du collège de Kunugigaoka regroupe les plus mauvais élèves. Le fameux poulpe va vouloir, pour une raison inconnue, être le professeur principal de cette classe. Les élèves sont cordialement invités à essayer de le tuer à toute occasion propice…

Pour adhérer à l’histoire, il est nécessaire d’oublier un peu son côté très irréaliste et inexpliqué. Comment se fait-il qu’un poulpe souhaite devenir professeur principal, ce qui ne paraît pas être l’apanage des maîtres du monde ? C’est quand même très grotesque que le gouvernement (qui ne semble pas très futé) le laisse s’installer ainsi dans une classe, et qu’il soit mis de si profonds espoirs en une bande de collégiens. Et pourquoi ce poulpe ne détruit-il pas la Terre dès maintenant ? Si on occulte toutes ces questions, on passe tout de même un bon moment de lecture, à suivre les tentatives d’assassinat du poulpe et les nouveaux personnages, plus durs à cuire qui vont venir se frotter à ses tentacules. Une « comédie » à prendre au dixième degré !

Manga ébouriffant: quand un maître bien spécial encourage ses élèves à le tuer!

Une créature extra-terrestre à l'allure bonhomme vient de détruire la lune, et annonce à la Terre qu'elle est sa prochaine cible. Il faut la détruire et les forces du gouvernement s'y attellent, mais sa vitesse et son pouvoir de régénération sont de redoutables armes. Plus surprenant encore, cette créature exige de devenir professeur d'une classe d'élèves en échec scolaire! Destinés à devenir des tueurs et attirés par une prime mirobolante, ces élèves vont devoir abattre leur professeur, qui se révèle bientôt, et c'est inattendu, très pédagogue...
Lien : http://www.petitesmadeleines..

Un démon, Neuro Nôgami est venu sur Terre pour se nourrir de ses mystères, car il manque de nourriture sur son monde, et on comprend très vite qu'il devait légèrement s'y ennuyer aussi. Il force un peu, enfin il terrifie, une lycéenne, Yako, pour qu'elle accepte de devenir une détective paranormal et se fait passer pour son assistant. Ils résoudront des mystères et Neuro nous fera la démonstration de ses pouvoirs et de quelques ustensiles bien effrayants. C'est un manga complètement déjanté et franchement, j'adore!

Super cinquième tome, où on en apprend un peu plus sur le gouvernement, Karasuma et Nagisa.

On sent que ça devient petit à petit de plus en plus sérieux tout en gardant néanmoins cette touche d’humour qui est tant appréciable!

J’ai cependant hâte de revoir Koro qui a manqué un peu ici, de lire les prochains tomes et d’avancer encore plus dans l’intrigue!

Seulement le troisième tome, pourtant je commence à tomber amoureuse de ce manga! Tout est très bien équilibré: on a de l’humour, de l’émotion (notamment avec le traitement de la classe E que je trouve très touchante), de l’action et du mystère. Les élèves s’attachent de plus en plus à Koro sensei, et par la même occasion, moi aussi. Hâte de lire la suite que j’espère (et pense) être encore meilleure!

Les élèves ont réussi à rejoindre Koro-sensei à temps dans ce vingtième tome d’Assassination Classroom, mais une offensive anticipée et inattendue vient bouleverser ces retrouvailles. Koro doit faire face à son plus redoutable ennemi, et probablement celui qu’il connaît le mieux…



Je pose ce petit avertissement ici, ne lisez pas cette chronique avant le tome. Je vais spoiler, et je ne peux que vous recommandez vivement de garder le suspense entier.



Car c’était « Waouh ! ». Non, plus que « Waouh ! », c’était… tout, je crois. Et c’est ainsi qu’Assassination Classroom a rejoint le club très fermé des histoires à avoir réussi à me tirer une larme. Ce n’était pourtant pas faute de savoir à quoi m’attendre, puisque j’avais connaissance du dénouement.



Et peut-être est-ce l’un des rares points à m’avoir un peu déçue. Ce moment où tous les élèves se rassemblent autour de Koro, et que Nagisa se prépare à lui donner le coup de grâce… C’était très bon, et c’est d’ailleurs là que les pleurs me sont venus, mais je ne sais pas, ce n’est pas exactement ce que je m’étais figuré. Je pense que j’aurais préféré quelque chose d’un tantinet plus rapide, plus concis.



À l’inverse, le face à face avec Shinigami m’a bien plus happée que je ne le croyais. Je craignais que le fait de savoir ce qui allait suivre me gâche l’affrontement, et ça a été le cas dans un premier temps, je le voyais comme un passage oblige avant le vrai final, mais au bout du compte, je me suis laissé emporter par leur combat.



L’intervention de Kayano, je ne l’avais absolument pas vue venir ! Hélas, c’est pour moi ce qui pèche le plus dans ce volume. Je comprends le parallèle avec sa sœur, néanmoins je trouve la manière dont Koro la sauve très tirée par les cheveux. J’aurais préféré la voir mourir, même au prix de la symbolique (ne pas répéter le passé ET l’engagement de Koro à toujours protéger ses élèves).



Et quand Karasuma appelle (enfin !) Koro par son nom… Autant je n’ai jamais été fan du personnage, autant là, je l’avoue, il m’a fait pousser le plus gros sanglot, tellement c’était émouvant !



Voilà, il me semble avoir fait le tour de ce que j’avais à dire sur ce tome. C’était beau, c’était triste, c’était magistral. Je n’ai pas eu que des mots positifs à l’égard d’Assassination Classroom depuis le début (bien au contraire), mais quand ce manga frappe fort, il atteint sa cible (ou son lecteur) en plein cœur.



Je suis heureuse d’avoir parcouru tout ce chemin aux côtés de Koro-sensei et de la classe E. Maintenant, il est temps de tourner les dernières pages de cette histoire.
Lien : https://leslecturesdecyrligh..

L’échéance fatidique sera bientôt là dans ce dix-neuvième tome d’Assassination Classroom, et Koro entend profiter au maximum du temps qu’il lui reste à partager avec ses élèves, notamment en réalisant l’album photo de leur année scolaire.



Ce volume débute de façon légère, avec un Koro plus exubérant et facétieux que jamais, mais très vite, le ton humoristique de l’introduction se teinte d’une touche de mélancolie. Les membres de la classe E sont conscients qu’ils passent leurs derniers instants ensemble, quelle que soit la conclusion de leur mission d’assassinat.



L’évolution de l’ambiance est maîtrisée à la perfection. Autant j’ai critiqué à maintes reprises ce manga pour ses choix scénaristiques et ses priorités douteuses, autant, dans des moments comme celui-là, je ne peux que m’incliner devant la maestria de l’auteur.



Plus on tourne les pages, plus elles nous prennent à la gorge. Ce que ressentent les élèves, on l’éprouve également, avec la même intensité, et comme eux, on n’a qu’un seul désir : retrouver Koro-sensei, même si ce doit être la dernière fois.



Car l’heure de l’assassinat final a sonné. Les puissants ont initié le plan d’envergure sur lequel ils travaillaient depuis des mois, et les chances qu’a leur cible d’en réchapper semblent minces.



Difficile de développer davantage sans spoiler la merveille qu’est ce tome, aussi me contenterai-je de le décrire ainsi : un déchirement poignant, et l’appel tendrement douloureux d’une ultime étreinte.



Assassination Classroom atteint son paroxysme, tant en terme d’intrigue que d’émotion, et promet un dénouement en apothéose. Pour autant, je ne suis pas pressée de le lire. À l’instar des élèves, il me navre de devoir dire adieu à Koro-sensei et à cette histoire.



J’en arrive presque à regretter de lui avoir reproché un rythme parfois trop lent, à présent qu’il faut se préparer à quitter, le cœur serré, la classe E de Kunugigaoka.
Lien : https://leslecturesdecyrligh..

Le proviseur Asano a défié Koro et doit maintenant faire face aux conséquences de ses actes dans ce quinzième tome d’Assassination Classroom. Ce n’est pas aujourd’hui que la classe E fermera ses portes… Ou peut-être que si ? Quelqu’un semble plus déterminé que jamais à tuer leur professeur, quitte à y laisser la vie.



Après avoir été de plus en plus déçue par les volumes précédents, c’est avec appréhension que je me suis lancée dans celui-ci, une appréhension qui m’a dans un premier temps paru justifiée.



Les révélations sur le passé d’Asano m’ont d’abord surprise, avant de me rendre perplexe. Je comprends sa volonté d’endurcir ses élèves, au regard de ce qu’il a vécu, mais beaucoup moins le fait qu’il use d’une stratégie si analogue au drame qui a bouleversé son existence.



Et cela m’a ramenée à un point que j’ai oublié d’évoquer auparavant. Si les élèves de la classe E ont vu leurs résultats augmenter au point de tous entrer dans le top 50 de l’établissement, cela signifie forcément que d’autres ont chuté. Dans ce cas, pourquoi n’ont-ils pas été chassés du bâtiment principal ? Et pourquoi personne ne s’en étonne / formalise ?



M’enfin, la gué-guerre semble terminée pour de bon, exit les manœuvres du proviseur, exit les défis de son fils, et j’ai envie de dire… Tout ça pour ça ? Exactement comme avec l’arc de Shinigami, il y avait matière à en tirer davantage, à aller plus loin (oui, j’aurais vraiment aimé voir Asano Jr intégrer la classe E à seule fin de percer son secret), mais non, ça reste très superficiel. Et attendu.



Ce qui l’était moins, c’est l’énorme rebondissement qui survient ensuite. En tout cas, il ne l’aurait pas été si une copine, pensant que j’avais terminé le manga, ne me l’avait pas accidentellement spoilé il y a des mois.



Pour cette raison, je n’ai pas pu m’empêcher de trouver qu’il tombait comme un cheveu sur la soupe. L’auteur avait pourtant préparé le terrain, malgré quoi j’ai eu du mal à accepter l’idée, et surtout à comprendre pourquoi l’élève avait autant patienté avant de passer à l’action. Je ne le comprends toujours pas, d’ailleurs.



Un temps d’observation, c’est logique. Un temps d’apprentissage, OK. Mais étant donné sa détermination à tuer personnellement Koro, ce délai me paraît démesuré, et son aboutissement, absurde. Il y a eu a minima une dizaine d’opportunités bien meilleures, sans parler de tous ceux (Itona, Shinigami, la classe E au grand complet…) qui ont failli lui damer le pion sans entraîner de réaction de sa part.



Heureusement, ses motivations m’ont davantage convaincue que leur mise en application, et les révélations finales ont permis au manga de remonter dans mon estime. De ce fait, c’est de nouveau avec hâte, et non crainte, que je me plongerai dans la suite. Jusqu’à ma prochaine vague de lassitude…
Lien : https://leslecturesdecyrligh..

Koro et les élèves sont toujours aux mains de Shinigami dans ce treizième tome d’Assassination Classroom, mais Karasuma va tout faire pour neutraliser leur ennemi et leur porter secours. Si Mme Pouffe ne l’arrête pas avant…



Ai-je déjà souligné combien ce manga est en dents de scie ? (C’est une question rhétorique.) Après un excellent tome 12, j’ai été extrêmement déçue par celui-là. En particulier par le traitement réservé à Irina.



Rien ne s’est passé comme je l’imaginais. Je m’attendais à ce qu’elle ait tout calculé depuis le début, que la fine manipulatrice qu’elle est se joue de Shinigami pour mieux l’abattre au moment propice, tout en laissant en parallèle un moyen (son collier explosif) à la classe E de s’évader… Sauf que non.



On reste sur la gourdasse qui, en plus d’être un boulet, est désormais aussi une traîtresse. Encore que, les élèves ne sont pas de cet avis, ils lui pardonnent facilement sa forfaiture. Moi, en revanche, j’ai du mal à pardonner à l’auteur ce gâchis de potentiel. Pour une fois qu’elle avait l’occasion de briller, de se montrer sous son jour le plus admirable et de rabattre le caquet de Karasuma, il faudra repasser.



Et c’est donc évidemment ce dernier qui l’emporte sur Shinigami, parce qu’il est trop bô et trop fort. Jusqu’à présent, je n’appréciais pas spécialement le personnage sans le détester pour autant, mais il commence à me devenir trèèès antipathique…



Quant au Dieu de la Mort, c’est également une déception monumentale. Dans ma précédente chronique, j’évoquais le fait que j’aurais préféré quelqu’un de plus réaliste, et… Dans ce tome, il l’est. Me demandez pas pourquoi, il n’y a aucune logique. D’un être aussi étrange que redoutable, on passe à un type lambda qui se fait botter le cul (voire pire) grâce à un affligeant stratagème à base de jus de tomate. Oui, oui, de jus de tomate. Il faut croire que le grand antagoniste de cet arc, le tueur suprême, méritait une défaite ridicule plutôt qu’une fin digne de ce nom.



Là-dessus, les élèves de la classe E (et Koro, au grand dam de Karasuma) s’en sortent sains et saufs et regagnent leur bâtiment en haut de la montagne, où ils vont devoir, sans transition, réfléchir à la question de leur orientation.



On se concentre alors sur Nagisa, qui prend pleinement conscience de ses capacités d’assassin, et même des nouvelles facultés qu’il est en train de développer depuis son face à face avec Shinigami. Mais… Décidément, rien dans ce volume n’aura réussi à me convaincre.



M’enfin, ce n’est pas totalement la faute du manga, en l’occurrence, plutôt de YouTube et de ses vils titres spoilants. En effet, après avoir entraperçu une vidéo intitulée « Nagisa fait face à sa mère » sur fond d’incendie, mon cerveau avait élaboré tout un tas de théories autour de l’idée que Mme Shiota puisse être liée au sort de Koro-sensei.



Eh bien non. C’est juste une cinglée dominatrice qui utilise son fils pour ne pas revivre ses propres erreurs et qui le travestit à ses heures perdues. Autant dire rien de bien intéressant, d’autant que les élèves qui subissent la pression familiale, on en a déjà vu plus d’un.



Là où le bât blesse, c’est que Nagisa se détachait depuis le début en tant que personnage central de l’histoire, et comme son background (à l’instar de celui de Koro) tardait à être révélé, je m’attendais à mieux. À plus gros, devrais-je dire. Là, tout ce qu’il en ressort, c’est que je collerais volontiers une ou deux baffes à son père pour avoir pris la tangente et laissé un pauvre gosse tout seul entre les griffes d’une femme aussi dérangée.



Heureusement, il y a le dernier chapitre pour remonter le niveau.

…

Vous y avez cru ? Parce que c’était une blague.



On se contente de repartir sur l’immanquable gué-guerre classe E / classe A. Après les examens, le match de baseball, re-les examens, la fête du sport et encore et toujours les examens, c’est dans le cadre de la kermesse de l’école que les prodiges et les épaves vont s’affronter. Waouh… J’en frémis d’avance.



Et pourtant, là aussi, j’avais, fut un temps, de grandes espérances. Lors de l’entrée en scène d’Asano fils, je me le figurais prêt à tout pour découvrir le secret de la classe E, y compris à intégrer celle-ci s’il le fallait, et placer ainsi son père en porte à faux. Je ne nourris cependant guère plus d’illusions.



Assassination Classroom, c’est sympa dans l’ensemble, mais s’il y a bien une leçon que je retiendrai de ce tome 13, c’est que ça ne va jamais chercher aussi loin que ça le pourrait. Et c’est fort dommage.
Lien : https://leslecturesdecyrligh..

Les élèves de la classe E découvrent leurs nouvelles tenues dans ce douzième tome d’Assassination Classroom. Elles semblent à première vue parfaites pour les aider à affronter toutes sortes de situations, mais suffiront-elles face au terrible ennemi qui les menace ?



Je crois avoir déjà décrit ce manga comme étant en dents de scie, et il le démontre une fois de plus. Après un onzième tome passablement creux, le moins que l’on puisse dire, c’est que celui-ci envoie du lourd !



Exit la petite gué-guerre entre collégiens et l’utilisation des techniques d’assassinat dans le cadre de rencontres sportives sans intérêt notable. Shinigami, le dieu de la mort, le tueur de tueurs, l’Assassin avec un A majuscule, entre en scène !



Officiellement, du moins, puisqu’on avait déjà eu l’occasion de l’entrapercevoir. Il décime un à un ses rivaux les plus redoutables, afin de s’assurer que personne n’empochera les dix milliards de yens avant lui, et ses cibles sont désormais Mme Pouffe et la classe E.



Mme Pouffe qui vient justement d’en claquer la porte, après un ultime « affront » de Karasuma, et ce malgré la tentative des élèves de venir en aide à celle qu’ils apprécient de plus en plus. Aussi, quand ils découvrent qu’elle est aux mains du terrifiant Shinigami, ils décident de lui porter secours sans hésiter une seule seconde.



Une seconde qui n’aurait pourtant pas été du luxe, car j’avoue ne pas avoir compris ce qui les empêchait d’avertir directement Koro-sensei de la situation, si ce n’est que, ce faisant, il n’y aurait pas eu d’intrigue. Quoi qu’il en soit, la classe E fonce droit vers le danger…



… et se prend un mur bienvenu en pleine tête. Je les aime bien, mais force est de reconnaître que ce n’est pas plus mal de les voir échouer, pour une fois. Après avoir triomphé de la classe A, de Takaoka et de ses tueurs, et de plus ou moins toutes les épreuves et adversaires auxquels ils ont eu à se mesurer jusqu’à présent, leur face à face avec Shinigami les renvoie à ce qu’ils sont vraiment : de simples enfants qui ont tout juste appris les bases de l’assassinat.



Dommage qu’il n’en aille pas de même pour Karasuma. Plus on avance dans l’histoire, plus je trouve que l’auteur en fait trop avec lui. Ce n’est pas un homme, c’est presque une machine. À se demander comment il peut ne pas encore avoir réussi à triompher de Koro-sensei, vu son potentiel.



Mme Pouffe dévoile elle aussi toute l’étendue de ses capacités, et là, en revanche, j’ai été comblée. J’adore son personnage, mais il est rare qu’elle ait l’occasion de briller, ou a minima de ne pas passer pour une gourdasse ridicule et écervelée. En l’espace de quelques chapitres, elle s’impose comme une tueuse impressionnante. Pour le meilleur ou pour le pire ? J’ai ma petite idée là-dessus…



Quant à Shinigami, je ne sais pas trop quoi penser de lui. Le manga flirte depuis le début avec une SF plus ou moins tirée par les cheveux (Koro, Itona, Ritsu…), donc ses aptitudes étranges ne sont pas une surprise en soi, en dépit de quoi j’aurais préféré qu’il ait une dimension plus réaliste, au lieu de confiner au fantastique.



Ce tome n’en demeure pas moins excellent dans l’ensemble, l’un de mes favoris jusqu’à présent. Il n’y a pas de temps mort, la tension est palpable et ne cesse de croître à mesure que les pages se tournent, et tous les personnages sont mobilisés. Même si je pense avoir deviné comment cette confrontation va s’achever, j’ai hâte de lire la suite !
Lien : https://leslecturesdecyrligh..

La classe E a gagné un allié de poids dans ce onzième tome d’Assassination Classroom. Itona est officiellement devenu leur camarade, et c’est tant mieux, car un nouveau défi de taille les attend. En effet, Asano a découvert un secret qui pourrait bien mener au renvoi de l’un d’entre eux. Il leur lance donc un défi, où son silence est en jeu…



Malgré l’année qui s’est écoulée depuis les dernières chroniques que j’ai rédigées au sujet de ce manga, mon avis n’a pas changé. Assassination Classroom m’inspire toujours les mêmes remarques, qu’elles soient positives ou négatives.



Itona intègre la classe E, et… C’est tout. Comme ses prédécesseurs, il a eu droit à son passage sous le feu des projecteurs, et maintenant, il disparaît dans la masse. C’est au tour de Kimura et d’Isogai d’être mis en avant individuellement.



Pas que ce soit une mauvaise chose, on apprend à connaître petit à petit plus intimement chaque élève de la classe E, mais le schéma est quand même très répétitif. À l’instar de l’intrigue, puisqu’on assiste à un match de baseball 2.0, version épreuve du poteau.



Les protégés de Koro (qui est d’ailleurs inutile et même presque inexistant dans ce tome) doivent (encore) affronter la classe A et redoubler d’ingéniosité pour contrer un Asano qui ne recule devant rien afin de s’assurer la victoire.



… Mouais. J’aurais préféré qu’il mette autant d’ardeur à découvrir le secret de la classe E, comme il semblait déterminé à le faire précédemment. C’aurait été un rebondissement bienvenu en lieu et place du réchauffé auquel on assiste.



Ça reste sympathique à lire, il y a comme de coutume des passages très drôles, et c’est toujours un plaisir de retrouver Koro, ses élèves et leur entourage, mais je crois que cet opus est, à l’exception du 8, le plus vide que j’aie lu jusqu’ici.



La personnalité des Asano, on l’avait déjà cernée, la rivalité entre la classe A et la classe E, elle a été bien assez exploitée, le chapitre avec les noms de code, il est plus confus qu’amusant…



Seule la fin apporte une touche de nouveauté. On découvre un Koro sévère et implacable (peut-être un peu trop, d’ailleurs, au regard d’un contexte dont il est indéniablement l’instigateur), et surtout, si l’on avait l’habitude de voir les élèves tirer parti des bénéfices de leur formation d’assassin dans leur quotidien, c’est la première fois qu’ils mettent leurs compétences au service d’une cause qui n’a rien à voir avec eux, leur mission ou leur gué-guerre contre la classe A.



Je reste pour l’heure fidèle à la moyenne des notes que j’ai accordées jusque-là, mais je risque de me montrer un peu plus sévère à l’avenir, car ce tome n’a fait que me conforter dans mon sentiment général à l’égard du manga. Assassination Classroom, ce n’est pas déplaisant, mais on ne va pas se mentir, c’est aussi 90% de remplissage pour 10% d’avancée de l’intrigue.
Lien : https://leslecturesdecyrligh..

Un manga historique jeunesse sur les samouraïs baigné par l'action et le combat, l'ambiance historique recréé dans sa véracité, un personnage principal décalé et des personnages secondaires qui ne manquant pas de piquant. Malgré l'humour et l'aventure historique, le lecteur occidental n’est pas très aidé pour bien comprendre le contexte historique et les références du manga, les notes qui l'y aideraient n'étant pas très présentes ni très claires, ce qui rend la lecture assez difficile.

Un shonen, des samourais, un enfant avec des capacités hors norme et un trait très agréable à regarder. Sur le papier, ce titre avait tout pour me plaire. Cependant, j'en ressors mitigé.

Pour les points positifs, le trait du mangaka est superbe et porte magnifiquement l'action au fil des pages.

Alors pourquoi un avis mitigé au final ? Premièrement, j'ai lu pas mal de shonen ces dernières années et je deviens surement plus exigeante sur les titres. Et deuxièmement, l'alchimie avec l'enchainement des actions et les personnages n'a pas pris avec moi. Tout se joue sur un ressenti global et non sur un point négatif en particulier. Je donnerais peut être sa chance au tome 2 pour voir si cela vient de la mise en place de l'univers.

Convaincu par le résumé de l’histoire, nous avons voulu (nous signifiant l’adulte que je suis et son fils de 11 ans) en découvrir plus en le lisant. De droite à gauche, car le sens de lecture japonais est respecté.



Côté histoire, le contrat est respecté : l’histoire est entraînante, un vrai page Turner, et les personnages sont attachants. Pour autant, il est a réservé à un public relativement averti, étant donné certaines scènes violentes, voire choquante, et il y a une certaine faiblesse dans la construction de l’histoire qui nous perd un peu, ainsi que dans la traduction qui empêche une bonne compréhension de certains échanges.



Malgré tout, nous sommes impatients de découvrir la suite de l’histoire de ce personnage, spécialiste de la dissimulation. Cela nous change des héros qui veulent à tout prix se montrer plus fort et plus visible que tous les autres.

Le dixième tome marque la moitié (ou presque) de la saga "assassination classroom". C'est pourquoi, il est temps d'écrire mon avis :



J'accroche énormément, j'aime bien l'idée de revoir le mots tuer, voir les personnages évolués ainsi que les dessins.



Cependant, pour moi, il a tout de même un problème : KORO est un vrai pervers. Sincèrement, je ne sais pas à quoi ça sert, à part banaliser le fait d'être pervers (si vous connaissez la raison, je serais ravie que vous m'en fassiez part )

Je remercie babelio pour la masse critique jeunesse.



Tome lu et critiqué par mon fils de 13 ans

The elusive samourai raconte l’histoire du jeune Hojo Tokiyuki. Dernier survivant d’une lignée de samourai, il devient le fugitif le plus recherché de sa région. Malgré son don pour la fuite, il doit quand même se battre pour ne pas se faire attraper.



Ce manga est très bien, les personnages sont marrants et l’histoire est sympa. Mais il y a certaines choses que je ne comprends pas, comme par exemple pourquoi Suwa Yorishige, un prêtre accompagnant le protagoniste, possède le pouvoir de voir l’avenir ou pourquoi certains êtres-vivants peuvent devenir des démons grace au « jeu du démon de Nanboku-chô », comme l’a fait Godaiin Muneshige, l’oncle de Hojo Tokiyuki.



En bref, c’est un bon manga mais il y a des choses pas très bien expliquées.

J’avais eu un peu de mal a apprécié le premier tome de part son côté fouillis. Du moins, ce n’est que mon avis et il n’engage que moi. Mais comme je ne m’arrête jamais au premier tome, j’ai continué avec le second tome. Bien que ça ne sera pas mon manga préféré, j’ai quand même pris plus de plaisir à lire le second que le premier. On est loin du coup de coeur mais tout de même ce second tome rehausse mon opinion. J’ai trouvé que c’était mieux même si ce n’est pas encore non plus totalement convaincant pour moi.



Dans ce second tome, le gouverneur de la province de Shinano traque les survivants du clan Hôjô et s’invite dans la partie de tir au chien du sanctuaire de Suwa. Tokiyuki est contraint de le défier au tir à l’arc, discipline dans laquelle le gouverneur excelle…



Comme je le dis juste au dessus, j’ai pris plus de plaisir à lire ce second tome comparé au premier. J’ai trouvé que c’était déjà beaucoup moins fouillis que le tome précédent. Alors que dans le premier tome, j’avais l’impression qu’il se passait beaucoup de choses en même temps, ici c’est plutôt l’inverse. Il se passe des choses mais les unes après les autres. Ce qui nous permet de ne pas s’emmêler les pinceaux. C’est beaucoup plus agréable à la lecture. Mais après comme je l’ai déjà dit, mon avis n’engage que moi. J’ai un peu de mal avec les personnages, j’attends encore de voir vraiment qui ils sont pour me faire un véritable avis. Je ne suis pas vraiment fan de l’humour présent dans ce manga. Ou du moins ces tentatives d’humour, je ne sais pas, je trouve que ça n’a pas sa place ici.



Après un début difficile à apprécier, on est sur une suite qui reste tout de même plus agréable à lire. J’ai quand même envie d’en savoir un peu plus, ma curiosité est clairement piquée pour le coup. J’ai quand même hâte de découvrir le prochain tome, histoire de voir si l’histoire prend un véritable tournant et qui sera encore plus agréable à découvrir. J’attendais avec impatience ce manga, j’en ressors tout de même un peu déçue… Mais peut être que la suite saura me surprendre!
Lien : https://enairolf.home.blog/2..

Dans ce neuvième tome d’Assassination Classroom, les élèves, en particulier Nagisa, doivent faire face à un ancien antagoniste. Un combat se profile, qui semble ne laisser aucune chance au garçon, mais Nagisa, sous sa frêle apparence et son manque d’expérience, a plus d’un tour dans son sac.



Apres un excellent tome 7 et un tome 8 décevant, celui-ci était sympathique. Je m’attendais à ce que le face à face annoncé occupe plus de place, il se conclut en fin de compte assez vite, mais il est tout de même intéressant à suivre. Il révèle de nouvelles facettes des personnages, notamment de Koro qui, réduit à l’impuissance, doit se résigner à certains recours pour protéger ses élèves. Il y a une vraie tension dramatique, là où le tome précédent ne parvenait jamais vraiment à atteindre cet objectit.



En fait, ce volume semble corriger les torts de son prédécesseur. Je pense surtout aux tueurs professionnels, qui m’avaient laissé une impression ridicule, et qui parviennent contre toute attente à dévoiler beaucoup de charisme en un nombre de pages réduit.



Mlle Pouffe, elle, continue d’apparaître sous son meilleur jour. Après avoir fait étalage de ses compétences, elle montre un aspect plus sensible et attachant de sa personnalité, et un véritable lien se crée entre elle et ses élèves. À l’inverse, Karasuma est toujours… désespérément Karasuma.



Pour ce qui est de l’humour, je crois bien que c’est que le tome qui m’aura le plus fait rire jusqu’à présent. Même si cela n’apporte pas grand-chose à l’intrigue, je ne me lasse pas de voir Koro dans son rôle de grosse commère, et désormais d’entremetteur. Fous rires garantis !



Enfin, la guerre semble officiellement déclarée entre la classe A et la classe E. Là encore, j’aurais aimé que l’auteur s’attarde un peu plus sur ce rebondissement, comme sur le combat de Nagisa, mais aucun doute qu’il ne restera pas sans conséquences. J’ai hâte de les découvrir !
Lien : https://leslecturesdecyrligh..

J'ai voulu découvrir le monde des Mangas avec assassination classroom.

Malheureusement, je trouve que les dessins font trop enfantins. L'histoire n'est pas géniale non plus. Il y a tout de même un peu d'humour pour relever tout ça mais dans l'ensemble c'est assez moyen je trouve.

Voilà, les mangas on accroche ou pas.

Je vous conseille donc de tester et de voir par vous même !

Le match de baseball se poursuit dans ce cinquième tome d’Assassination Classroom. M. Koro et le principal encouragent chacun les joueurs à leur manière, en se basant sur leurs compétences individuelles. Dans les deux équipes, la soif de victoire s’intensifie.



Encore une chronique qui ne changera guère des précédentes. C’est toujours drôle, c’est toujours sympa, c’est… toujours la même chose. L’humour fait que je ne me lasse pas (au contraire, j’ai envie de continuer à rire avec Koro et sa classe), mais on prend les mêmes scènes, et on recommence.



Par exemple, Karasuma voit une connaissance faire irruption dans la classe E pour le remplacer en tant qu’instructeur, et il est amené à prouver sa valeur. Super, cela permet de découvrir un nouvel aspect de sa personnalité, moins rigide qu’il n’a paru l’être jusqu’ici, sauf que… Cette mini-intrigue rappelle quand même pas mal celle que Mlle Pouffe a eue juste avant.



Mlle Pouffe qui, après avoir été présenté sous son meilleur jour, est cette fois réduite à la gourdasse de service (ou au rang de toile humaine, au choix…). Du côté des élèves, ce sont essentiellement Nagisa et Karma qui se démarquent (une fois de plus), ainsi que Sugino et Sugaya. Tous les autres demeurent en retrait, et je ne parle même pas de Ritsu qui, comme je m’y attendais, a presque disparu et se limite à de minuscules caméos.



En conclusion, même si les sous-intrigues de Nagisa et Karasuma sont intéressantes (en particulier pour le développement et la psychologie de ces deux personnages), le scénario stagne dans l’ensemble et recycle les mêmes ficelles. C’est un manga à lire pour son humour, mais qui privilégie un peu trop les « à-côtés » à son fil conducteur, selon moi.
Lien : https://leslecturesdecyrligh..