AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Critiques de Éditions Gallimard (122)
Classer par:   Titre   Date   Les plus appréciées


Mon cher Papa...

Une compilation de quinze textes courts, extraits d'une oeuvre plus importante : le plus ancien nous vient d'Homère ; les plus récents du début des années 2000 ; le plus célèbre est le fameux poème "If" De Rudyard Kipling, traduit en français par "Tu seras un homme, mon fils".

Trois chapitres structurent ce petit livre qui se lit rapidement :

1. Tu seras un homme, mon fils.

2. Est-ce que tu m'aimes, Papa ?

3. Mon père, ce héros au sourire si doux.

Du futur père, pendant la grossesse, au père devenu un vieil homme, l'ouvrage illustre différentes étapes de la condition paternelle. Il montre aussi une large palette des qualités d'un père. Comme toute compilation, l'ensemble est parfois inégal, mais il ne se lit pas sans une certaine émotion, soit qu'on s'y retrouve soi-même, soit qu'on y retrouve la figure de son propre père.

Commenter  J’apprécie          20
Mon cher Papa...

Petite anthologie agréable qui nous fait découvrir des textes et des auteurs de toutes les époques depuis l'Antiquité grecque jusqu'à nos jours. On y retrouve Homère, Diderot, Tourgueniev, Maupassant, Gide, Sarraute...

Lecture agréable.
Lien : http://araucaria20six.fr/
Commenter  J’apprécie          210
Mythes et légendes extraits des Brahmana

Jean Varenne présente des extraits des Brâhmanas. Ces textes qui accompagnent ceux du Véda insistent sur le rituel qu'impliquent les sacrifices, les gestes et les paroles qui en garantissent l'efficacité et qui renvoient à un système complexe de mythes et de dieux. la parole y prend donc des accents magiques, de chants et d'incantations, voire de simples paraboles et évoque l'Atman et le Brâhman, l'âme individuelle et l'âme du monde, la puissance contenue en chaque être.
Commenter  J’apprécie          262
Naples à Paris : Le Louvre invite le musée de C..

Quand une exposition démontre, si besoin était, que les œuvres d'art dialoguent entre elles.



Le Musée du Louvre déroule le tapis rouge à son homologue Napolitain, il museo di Capodimonte, l’une des plus importantes pinacothèques d’Europe.

Ce dernier qui doit fermer pour travaux, à accepté de prêter pas moins de 60 de ses plus grands chefs-d’œuvre qui prennent place sur les cimaises du Louvre

Et l'on assiste dans la Grande Gallerie, Salon carré et salle Rosa , la salle de la Chapelle et salle de l'horloge à un dialogue puissant et fécond entre les œuvres,

les tableaux semblent correspondre, créant un écho pictural, fait de regards croisés et complices.

Car la particularité de cette exposition est que ce n'est pas une exposition "à part", comme c'est souvent le cas, mais bien une intégration complète au sein des collections du musée français.

Et quoi de plus époustouflant, voire émouvant, que d'être spectateur de cette communication invisible entre  :

La Flagellation de Caravage, La crucifixion de Masaccio, la Danae du Titien, l'Atalante et Hippomène de Guido Reni, La Transfiguration de Giovanni Bellini,

Les trois des plus magnifiques tableaux de Parmigianino, dont la célèbre et énigmatique Antéa, et la mystérieuse Lucrece ou Judith décapitant Holopherne d'Artemisia Gentileschi qui trône face au tableau de son père Orazio avec leurs homologues de la collection de peintures italiennes du Louvre....



Pour s'y retrouver au milieu de tant de chefs-d’œuvre, le visiteur est invité à une sorte de jeu de piste, à la recherches des cartels rouges.

Rouge comme la passion, qui sied à cette ville volcanique, capitale trimillénaire pompéienne et baroque ; 

Rouge comme le carton donné au football dans cette ville où ce sport est élevé au rang de religion ;

Rouge comme le o'curniciello (la corne Napolitaine) , qui symbolise la victoire sur les ennemis et le sang, le symbole de la vie elle-même ;

Rouge comme le sang car certains tableaux regorge de violence.



Le catalogue de l'exposition est de toute beauté, à l'image de l'exposition. Toutes les œuvres exposées y sont reprises. S'ajoute à cela des textes magnifiques d'Erri de Luca qui raconte entre autre sa découverte, de la crucifixion de Masaccio...

L'histoire du musée entre forêt et volcan par son directeur actuel, l'origine et l'histoire des collections du XVe siècles, comment l'art et le pouvoir se mêlés au sein notamment de la famille Farnese (dont deux tableaux de Raphaël sont également exposés .

Autres sujets du livre le regard actuel sur les porcelaines de la Naples des Bourbons, le temps de Caroline Bonaparte et le rêve de Joachim Murat, Naples capitale européenne de la musique au XVIIIe siècle, des réflexions sur la collection des peintures italiennes du Louvre.

Et la conclusion revient à Dominique Fernandez grand amoureux de Naples devant l'éternel dans un texte magnifique, dont lui seul a le secret : "comment on devient Napolitain", tout un programme.

Et enfin comme tout catalogue d'exposition, on y retrouvera une notice des œuvres exposées.



Bref un livre à s'offrir ou à offrir et pour reprendre la tradition du o'curniciello qui doit être reçu en cadeau et au moment du cadeau, le destinataire est invité à ouvrir la paume et piquer le centre avec le bout de la corne.

De plus, la personne qui a reçu le cadeau doit réciter la célèbre phrase de Totò (acteur, poète napolitain) :

"Ce que tu veux pour moi, je te le souhaite deux fois plus"

Et en refermant ce musée de papier on ne peut souhaiter que 2 fois plus ce genre d'exposition....
Commenter  J’apprécie          162
Papeterie - Carnet : ''Du domaine des Murmu..

En 1187, le jour de son mariage, devant la noce scandalisée, la jeune Escarmonde refuse de dire "oui": elle veut faire respecter son voeu de s'offrir à Dieu, contre la décision de son père , le châtelain régnant sur le domaine des Murmures. La jeune femme est emmurée dans une cellule attenante à la chapelle du château, avec pour seule ouverture sur le monde une fenestrelle pourvue de barreaux. Mais elle ne se doute pas de ce qui est entrée avec elle dans sa tombe...

Loin de gagner la solitude à laquelle elle aspirait, Escarmonde se retrouve en résonnance mystique avec les chevaliers partis en croisade vers Jérusalem la Sainte, avec son père qu'elle a envoyé expier ses fautes.

Carole Martinez , très connue et récompensée pour le Coeur cousu et la Terre qui penche, fait ici le portrait d'une magnifique Vierge à l'enfant, objet de dévotion populaire, dans un style poétique, où le Moyen-Age et ses superstitions médiévales, son amour courtois, ses fantasmagories prend vie sous nos yeux. Très beau, une plume très originale.
Commenter  J’apprécie          21
Pourquoi l'eau de mer est salée et autres con..

Ces contes se lisent facilement et leur lecture est plaisante même si ils sont souvent cruels et ne pratiquent pas le happy end. Beaucoup expliquent des phénomènes naturels. Ce que j'ai regretté personnellement c'est que je n'ai pas ressenti spécialement que ces contes étaient coreens, ils ne portaient pas la marque de leur pays ce qui m'a frustrée car je les avais choisis pour m'initier à la littérature coréenne

Commenter  J’apprécie          10
Pourquoi l'eau de mer est salée et autres con..

"Découvrez l'humour facétieux et la légèreté enchanteresse des fabulistes de Corée."



Alors soyons clair, carrément pas. Ce livre est intéressant, original, il nous donne des explications fantaisistes de faits naturels, mais il n'est pas drôle. Quasiment aucune nouvelle ne se finit bien, il y a un tigre qui ressemble au loup du chaperon mais il mange morceau après morceau la mère après l'avoir poussée à se déshabiller petit à petit, puis il mange le bébé et ça croque comme des chips puis...je vous laisse découvrir ce qu'il arrive aux deux autres enfants.

Des images bien effrayantes mais tout de même une ou deux nouvelles drôles. Certains aspects thriller ne passeront pas auprès des plus jeunes. Un style un peu trop orale par contre.
Commenter  J’apprécie          10
Pourquoi l'eau de mer est salée et autres con..

J'ai beaucoup aimé cette première découverte de contes coréens. Il est toujours super intéressant de voir ô combien on peut retrouver les mêmes schémas narratifs, et les mêmes symbolismes dans des contes provenant du monde entier. J'ai trouvé qu'il y avait plus d'humour dans ces contes, et j'ai apprécié ceux qui expliquent l'origine de certains animaux ou autres éléments naturels. J'ai été un peu surprise par certains choix de traduction, je serais curieuse de voir les textes d'origine. J'ai trouvé le registre très familier surtout lors des dialogues notamment celui du singe et du crabe. Une très belle découverte.

Commenter  J’apprécie          50
Pourquoi l'eau de mer est salée et autres con..

J'aime souvent les histoires simples et en particulier les contes. Parmi les contes, j'ai une faiblesse pour ceux qui expliquent le monde. Loués soient les auteurs qui les ont créés, dans la nuit des temps ou à l'époque moderne : je pense aux "Histoires comme ça".

Ce petit recueil en contient plusieurs, et c'est vrai que je n'avais jamais été convaincu par les explications scientifiques de la salinité de la mer (j'en rajoute un peu). Si vous voulez savoir pourquoi les grenouilles coassent, pourquoi les singes ont les fesses rouges, précipitez-vous, venez vous instruire.

Je suis aussi frappé par l'universalité de certains thèmes : au milieu du conte qui explique la création du soleil et de la lune on retrouve des pages qu'on dirait sorties de ce conte sur le loup et les biquets (dont le titre habituel m'échappe, et dont la phrase qui me revient, admirable dans un disque de mon enfance, est : "je suis caché dans l'horloge").

L'intérêt des récits est inégal, aureliestrega souligne que le dernier texte est à la limite du thriller, c'est vrai qu'il est étrange pour un conte, peut-être a-t-il subi des mutations modernes sous l'influence de films de kung-fu ou des histoires de fantômes chinois (film que je n'ai pas vu, paru bien après la première édition de ces récits). La qualité de narration est aussi inégale, mais je pense qu'il s'agit de tradition populaire livrée brute, pas de Perrault.



Une des caractéristiques de la langue coréenne est l'abondance de mots formés sur des onomatopées avec des syllabes répétées. Quelques mots sont donnés en translittération mais peu sont intéressants de ce point de vue.



Sans grand espoir, ce livre devant être difficile à acheter en France, je signale une autre version non biblique du récit de la création du soleil et de la lune : http://www.babelio.com/livres/Lee-Le-frere-soleil-et-sa-soeur-la-lune/695135 dont le texte (ou sans doute la traduction) est plus faible, mais avec des dessins poétiques qui me charment. L'histoire est identique ou presque à celle de ce volume, confirmant qu'il s'agit bien de tradition populaire.
Commenter  J’apprécie          101
Proust-Monde : Quand les écrivains étrangers li..

Blanche Cerquiglini est responsable des collections "Folio classique" et "Folio théâtre" chez Gallimard après avoir été secrétaire de rédaction de la revue Critique aux Editions de Minuit et travaillé pour la Bibliothèque de la Pléiade. A ce titre, elle est spécialiste de littérature classique. En parallèle, elle est aussi critique littéraire depuis 2009, publiant principalement des articles sur le roman français contemporain. Ses essais questionnent la société à partir de la littérature.

Proust-Monde - Quand les écrivains étrangers lisent Proust vient de paraître en poche. Il s’agit d’un recueil de 83 textes, dont 20 dans une première traduction, rédigés par des écrivains étrangers. J’ai bien dit écrivains et non critiques ou universitaires. J’ai conscience que cet ouvrage ne va pas intéresser tout le monde mais pour tous ceux qui placent Marcel Proust très haut dans leur panthéon littéraire, sachez que parmi la masse de livres parus cette année sur l’écrivain, à l’occasion du centenaire de sa mort, ce bouquin mérite largement d’être lu.

Pour vous donner une idée de son contenu, le mieux est de vous en donner les titres des principaux chapitres : Traduire Proust (« La complexité de la phrase proustienne, si souvent soulignée par les lecteurs, est redoublée dans la traduction ») Ses premiers lecteurs (Rainer Maria Rilke, Edith Wharton, Stephan Zweig…), Grandeur et longueur de Proust (Yukio Mishima, Vladimir Nabokov…) Anti-Proust, Pastiches et réécritures, Proustophilie (Roald Dahl, Haruki Murakami, Umberto Eco…), Ecrire après Proust ? (Virginia Woolf, Kazuo Ishiguro, Milan Kundera…)

A la lecture de ces titres, vous constatez déjà qu’un minimum d’objectivité assure un bon niveau au bouquin puisque même ceux qui n’aiment pas l’auteur, sont cités (Jorge Luis Borges, D.H. Lawrence, Aldous Huxley…) et ça ne manque pas de sel. Et si on y ajoute le casting du générique que je viens d’esquisser, vous comprenez que c’est tout le gratin mondial de la littérature qui est passé par Proust, qui l’a disséqué, analysé, commenté.

Un bouquin qu’on peut lire en piochant selon son humeur ou comme moi, en allant d’abord directement voir ce qu’en disent vos écrivains préférés. Un excellent document.

Commenter  J’apprécie          30
Que je vous aime, que je t'aime ! : Les plu..

Ce livre est différent de ceux que j’ai l’habitude de lire. Il s’agit d’un recueil d’extraits de romans, de pièces de théâtre ou de poèmes sur le thème de l’amour. On y trouve des déclarations d’amour écrites par Shakespeare, Verlaine ou encore un extrait de Cyrano de Bergerac ou de la Princesse de Clèves.

Des genres et styles différents, des époques et auteurs variés se côtoient dans ce recueil, il y en a pour tous les goûts. Les amoureux des mots sauront apprécier ces extraits d’œuvres.

On peut lire ce recueil d’une traite ou l’ouvrir au hasard de temps en temps pour lire une déclaration d’amour.

J’ai apprécié la beauté de ces textes classiques et de ces déclarations d’amour d’un autre temps.

Commenter  J’apprécie          00
Que je vous aime, que je t'aime ! : Les plu..

Ce petit livre est très agréable à lire et constitue un excellent cadeau pour les amoureux de littérature. Les sources sont divers : on passe d'Ovide à Aragon, en passant par La Princesse de Clèves. Tout y est : poésie, roman, théâtre.

Toutefois, puisque c'est un petit livre, il a fallu faire un choix, les textes ne peuvent donc ne pas plaire à tout le monde et l'on peut estimer que la sélection n'est pas idéale à son goût.
Lien : http://metamorphoses-de-psyc..
Commenter  J’apprécie          20
Que je vous aime, que je t'aime ! : Les plu..

Non, ils n’ont pas gazouillé sur twitter, n’ont pas publié de selfie sur Facebook… 


Encore plus, ils n’ont même pas utilisé le stylo-bille ou la machine à écrire !



Mais l’amour existait alors…

Comme il existe encore aujourd’hui !



Un petit recueil de poèmes et d’extraits de romans ou de théâtre, un cadeau à s’offrir pour la fête des amoureux… (ou pour tout autre moment !)



« Les plus belles déclarations d’amour »… d’un autre siècle !

Commenter  J’apprécie          320
Que je vous aime, que je t'aime ! : Les plu..

Plus concise, cette anthologie est divisée en deux parties seulement, les déclarations à l’être aimé et celles à un tiers lorsque l’amour est caché. Les extraits proviennent cette fois d’œuvres du 16e au 19e siècle (une seule de l’Antiquité et une du 20e), ce qu’on peut considérer comme dommage pour un recueil qui s’annonce sur la quatrième de couverture comme un « manuel de la déclaration d’amour » en quelque sorte :



Avec le Cid et Chimène, Pâris et la belle Hélène, Juliette Drouet et Victor Hugo ou Cyrano et Roxane, apprenez à déclarer votre flamme…



Aussi beaux que soient ces textes, certains n’en ont pas moins mal vieilli au niveau des mentalités et les présenter comme des modèles à suivre n’est pas une si bonne idée d’après moi.



Personnellement, j’ai préféré lire cette anthologie en tant que telle, sans y voir une quelconque visée pédagogique, et ai beaucoup apprécié la plupart des textes présentés. Le premier est la déclaration d’amour de Pâris à Hélène selon Ovide : il fait selon moi partie avec Le Roman de la momie de Théophile Gautier des extraits qui ont assez mal vieillis. Vous apprécieriez, vous, qu’un homme vous dise que vous êtes obligée de l’aimer parce qu’il l’a décidé, secondé par la déesse de l’amour ? Excepté ce détail, il faut avouer que Pâris, sous la plume d’Ovide, ne manque pas d’éloquence et qu’on comprend aisément la faiblesse de son amante. J’ai néanmoins préféré dans cette première partie de l’anthologie les poèmes aux extraits de roman ou de la correspondance de Juliette Drouet et Victor Hugo : la poésie de Verlaine exerce toujours son charme sur moi et celle de Shakespeare ne me laisse guère indifférente non plus.



On revient à la prose et au romanesque dans la seconde partie consacrée aux amours cachés, dont l’extrait de La Princesse de Clèves est tout à fait emblématique : bien que je n’aie pas gardé un souvenir exceptionnel de ce texte, j’ai trouvé la scène choisie – celle où Nemours est caché dans le jardin et regarde la princesse qui se croit seule et pense à l’être aimé – magnifique et très touchante. De même, le chagrin d’Ourika ou de Cyrano de Bergerac est émouvant et transparaît particulièrement bien dans les passages sélectionnés.



Une très belle lecture, d’un amour à l’autre.
Lien : http://minoualu.blogspot.be/..
Commenter  J’apprécie          60
Que je vous aime, que je t'aime ! : Les plu..

Il y a eu de très belles déclarations d’amour mais je ne m’attendais pas à ça. Je pensais que ce serait uniquement des lettres ou de la poésie. Je trouve plutôt l’ensemble des textes tragiques. Déclarations d’amour souvent malheureuses, Juliette Drouet est triste de sa passion comme La princesse de Clèves et Miss Catherine qui souffre de ne pas épouser l’homme qu’elles aiment ! Après c’est difficile de trouver un ensemble de textes qui parlent à tout les lecteurs



Il y a des belles déclarations et des moins bonnes ou plutôt qui me parlent beaucoup moins.



Commenter  J’apprécie          00
Que je vous aime, que je t'aime ! : Les plu..

Cette anthologie sur le thème de la déclaration d’amour est divisée en deux parties, entre affirmation et dissimulation. Elle mêle des textes de l’Antiquité à nos jours, même si le XIXe siècle est très présent. Quant aux genres, le thème choisi permet de ne pas en tenir compte, si bien que les extraits sélectionnés proviennent aussi bien d’une lettre que d’un roman ou d’une pièce de théâtre. Pas de monotonie donc, mais des textes savoureux (même si certains passages m’ont fait grincer des dents) et parfois originaux, comme la trop peu connue mais surprenante comédie de Jean Tardieu, Finissez vos phrases !, qui clôt en beauté cette anthologie au thème moins rebattu qu’il n’y paraît.

Commenter  J’apprécie          20
Que je vous aime, que je t'aime ! : Les plu..

D'Ovide à Verlaine, en passant par Shakespeare, ce sont de merveilleux extraits d'amour que ce petit recueil nous offre! A mettre entre toutes les mains au cœur romantique!
Commenter  J’apprécie          60
Que je vous aime, que je t'aime ! : Les plu..

Que je vous aime, que je t’aime ! : les plus belles déclarations d'amour est un petit recueil de textes classiques au sujet fort et beau qu’est celui des déclarations d’amour.

...

Article complet : Cliquez sur le lien ci-dessous !!!
Lien : http://bibliotheca.skynetblo..
Commenter  J’apprécie          00
Romanciers libertins du XVIIIe siècle, tome 1

plaisirs parfois désuets, souvent longuet, mais si délicieusement évocateurs
Commenter  J’apprécie          20
Russie-Belarus-Ukraine

Pas ma collection préférée pour les guides de voyages, à la fois trop complet donc difficile a lire en voyage, ou avant ou après. De très belles photos.
Commenter  J’apprécie          00




Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Éditions Gallimard (1131)Voir plus

Quiz Voir plus

Qui suis-je ? Les auteurs en A

J'ai écrit Le grand Meaulnes. Je suis mort au Sud de Verdun durant la première guerre mondiale. Qui suis-je ?

Jean Anouilh
Alain-Fournier (de son vrai nom Henri-Alban Fournier)
Guillaume Apollinaire
Marguerite Audoux

7 questions
37 lecteurs ont répondu
Créer un quiz sur cet auteur

{* *}