Citations de Åke Edwardson (178)
Quand on vole une bagnole, on la considère comme son bien.
Un puzzle pouvait être constitué d’une série de petites énigmes en chaîne, formant autant de pièces.
La parole, c’est l’homme dans ce qu’il a de plus grand, mais les mensonges ont perturbé la communication, songea-t-il. Personnellement, je suis un taiseux. Je préfère utiliser le langage des signes et fermer ma gueule. Peut-être que dans le futur, pour économiser du temps, les gens cesseront de parler autrement qu’avec des signes.
Malgré tous les efforts d’imagination. On ne pouvait qu’être vivant ou mort. Pas de situation intermédiaire... On ne pouvait être à demi mort.
L’eau peut être verte ou noire. Bleue, parfois. Blanche. De toutes les couleurs, mais au fond de la mer, elle est noire. Là-dessous, il n’y avait pas d’autres couleurs. Mais le noir n’est pas une couleur, c’est le contraire. De même que le blanc n’est pas une couleur, mais le contraire de toutes les autres couleurs.
Les politiciens n’étaient peut-être pas si bons menteurs, même s’ils avaient encore plus de problèmes à dire la vérité.
Les gens mentaient, dissimulaient plus difficilement sous la lumière du jour.
On peut aimer de nombreuses manières.
C’est sûr, si on ne fait rien, on ne court pas le risque de se faire critiquer. Autant ne rien faire.
Voilà comment on reste jeune. L’entraînement physique, c’est une obligation professionnelle chez nous. Où en serait-elle, ma bedaine, sans ça ? Bientôt soixante ans. Je serais sans doute mort, ou mourant, avec mes habitudes alimentaires et mon penchant pour l’alcool.
Le passé tel un manteau qui vous pèse sur les épaules. Qu’on doit porter par tous les temps. Peu importe comment l’horreur vous est tombée dessus. Peu importe que vous soyez responsable ou pas. Mon Dieu, pas moyen de revenir sur le passé.
L’aube est impitoyable, personne n’échappe au jour.
Il n’y a pas de mort sans temps certains disent que la mort s’est arrachée au temps mais ils se trompent tous ceux qui disent ça se trompent.
J'ai parfois sacrément mal au crane.
Planter une croix. Planter un pistolet. S'ils devaient suivre le plan, il leur fallait maintenant draguer le lit du fleuve. Ils suivirent le plan. Le lendemain, Winter se tenait sur la Jetée 4 et contemplait les eaux noires du centre-ville.
comme l'a écrit Nirvana10 dans sa critique, j'ai moi aussi eu beaucoup de mal à rentrer dans ce roman dont je découvrais le héros principal puisque je n'ai pas lu les précédents romans du même auteur (et d'ailleurs, cela ne gêne absolument pas à suivre le fil de l'histoire)...bref, j'ai réussis à m'intéresser à l'intrigue mais moyennement aux personnages que je n'ai pas trouvé très "humain" ni très attachant ! je suis arrivé au bout du roman en attendant avec impatience la chute...intéressante...mais bon pas suffisante pour que ce roman reste dans mes favoris, loin de là ! par contre, je retiendrais de ce roman une description impeccable, voire "chaude" si je peux me permettre ce jeu de mot un peu facile (!!!), de la canicule qui sévit sur la ville durant toute l'histoire : les odeurs, les sensations, les images...et même la transpiration !
Nous sommes sur une scène. Quelqu'un se tient hors de portée et nous observe. On fait partie d'un tout. On commet sans arrêt des erreurs. C'est comme ça qu'on apprend.