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Critiques de Éléonore Devillepoix (406)
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La ville sans vent, tome 1

J’ai été complètement transportée par l’univers créé par l’auteure et j’ai aimé découvrir les différents personnages. Je les ai trouvés intéressants et bien travaillés, sans qu’ils soient trop complexes. J’ai néanmoins trouvé l’univers assez dense pour un roman Young Adult.



De nombreux complots politiques se mêlent à la magie et à la quête d’Arka, jeune fille de 13 ans qui n’a pas froid aux yeux. Je trouve qu’elle est la force du roman. Elle amène beaucoup de dynamisme et d’humour.



Des thématiques fortes sont abordées, telles que l’inégalité sociale et la place de la femme dans la société, entre autres. J’ai aimé retrouver ces sujets importants dans ce roman.



De rebondissements en rebondissements, nous arrivons sur une fin qui donne très envie de lire la suite, ce que je pense faire prochainement ! J’ai dévoré ce premier tome et ai passé un très bon moment.
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La ville sans vent, tome 1

Nouvelle lecture dans la cadre du PLIB2021.



Je l'avais présélectionné, d'abord attirée par sa couverture magnifique, avec ses reflets dorés, et intriguée par le résumé.



J’avais un peu peur d’avoir comme personnage principal une jeune fille de 13 ans, Arka, mais elle a un tel tempérament et elle est si attachante que ça passe très bien. Elle a vécue des épreuves, malgré son jeune âge, a réussi à survivre à un incendie, à une guerre.

Lastyanax, autre personnage principal, est un jeune homme prometteur et studieux, plutôt enfermé dans ses livres que vivant dans l'action, mais qui par la force des choses va être appelé à des hautes fonctions, et à agir. Il essaye d'être un bon mentor, sans aucune expérience, avec sa disciple novice, naïve, avec son franc-parler mais très intelligente.

Ils sont différents, mais complémentaires. Un réel lien va se nouer entre eux, au fil des pages, dépassant la simple relation disciple/mentor.



Le destin les pousse l'un vers l'autre, qu'il soit présent dans une course de chevaux ou sur le choix d'un questionnaire, mais est-ce vraiment une coïncidence ou une manipulation?



On alterne avec leurs points de vue, ce qui donne du rythme au roman.





Le monde créé est très riche, avec cette cité à étages. Bienvenue donc dans l'Hyperborée, ville mystérieuse construite sous un dôme, entourée de neige, aux codes bien établis constitués de 7 niveaux, bien distincts. Je m’y projette tellement.

L'auteur fait appel à l'imagination, ce qui rend plaisante cette lecture (j'adore les tortues, moyen de locomotion entre les étages). Le côté dépaysant est accentué par les noms des personnages, peu communs.



J’aime également l’humour des personnages, accentué par la franchise d'Arka, qui est parfois en décalage par rapport aux personnes autour d'elle.

Mais cela n’empêche pas d’aborder des sujets importants (et plutôt surprenants pour un roman jeunesse) : les « castes » (les petits niveaux qui vivent dans un univers délabré et l'élite avec les mages au 7ème niveau), les mafieux et le trafic de drogue, les politiques véreux et corrompus qui manipulent un système pervers pour celui qui n'a pas les codes, le rôle des femmes et leur place au sein de la Cité, les colonies et le regard sur les "étrangers".



La ville est pleine de complots politiques, sous couvert de magie et de lutte de pouvoir.

C’est un roman en deux tomes, ce qui peut expliquer quelques longueurs parfois... mais quelques rebondissements tiennent le lecteur en haleine jusqu'au bout.



Un roman très bien écrit, riche en description, avec un univers fantastique complet. La magie est présente, mais elle n'est pas l'élément central de l'histoire. De gros rebondissements sur la fin, tout s'enchaîne sans temps mort, j'ai hâte de découvrir la suite (quelle frustration de s'arrêter là).
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La ville sans vent, tome 1

--- Cette année, je participe au PLIB ! ---



Il s’agit d’un prix littéraire dédié aux œuvres francophones de l’imaginaire et décerné par les booktubers et blogueurs. À l’ouverture des inscriptions, j’ai eu envie de tenter l’aventure et ai eu la chance d’intégrer l’édition 2021.



Afin de déterminer quels seraient mes favoris, j’ai décidé de lire certains des titres sélectionnés, et tout particulièrement ceux déjà en ma possession. Parmi ces derniers se trouve La Ville sans vent, livre ô combien prometteur. En effet, les échos qui me parvenaient étaient tous élogieux, vantant un univers original et une intrigue captivante.



Bref, j’ai commencé ma lecture avec beaucoup d’attentes. Et puis… j’ai pris peur ! Malgré des débuts prometteurs, je ne parvenais pas à rentrer dans l’histoire, sûrement parce que je ne voyais pas où l’auteure voulait en venir. Mais, mais, mais… Après 150 pages, un miracle s’est produit. J’ai accroché, vraiment accroché. Impossible pour moi de lâcher ce roman tant j’étais curieuse de connaître la fin !



--- C’est dans les détails que se cachent les meilleures idées ---



L’univers imaginé par Éléonore Devillepoix est pour ainsi dire unique. S’il emprunte à d’autres sagas, ne serait-ce que par l’incontournable école de magie et le clivage entre riches et pauvres, il se distingue par une multitude de détails. Bien entendu, je ne vais pas tous les énumérer, mais chaque fois que l’auteure dévoilait un nouveau pan de ce monde incroyable, j’étais un peu plus émerveillée. Aujourd’hui, je n’ai qu’une envie : gravir chaque niveau d’Hyperborée, cette ville où il n’existe pas un seul souffle de vent, pour en percer tous les secrets !



Notez que l’écrivaine ne nous noie pas sous un flot d’informations superflues, elle préfère nous présenter son univers avec parcimonie entre deux chapitres. Nous apprenons ainsi les fondements de la magie lors d’une leçon en compagnie d’Arka et découvrons la clef de la longévité du Basileus – le souverain d’Hyperborée – lors d’une visite en prison, Bref, ce fut un réel plaisir que de plonger dans cet imaginaire foisonnant !



--- Un scénario entre apprentissage et complots ---



Bien qu’accessible aux plus jeunes, l’intrigue n’est ni simpliste, ni linéaire. Et quel bonheur ! L’histoire est tel un imbroglio que les personnages tentent de démêler, mais sans trouver des réponses à leurs questions. Quoique… L’auteure nous laisse des indices au fil des pages, titille notre curiosité mais se refuse à tout dévoiler. Résultat : La Ville sans vent se révèle particulièrement addictif !



Moi qui suis friande des conspirations, j’ai été plus que conquise par ce premier tome qui voit les meurtres se multiplier, les enquêtes piétiner et les mystères s’épaissir !



--- Un duo peu ordinaire ---



Déjà, ce n’est pas un (futur) couple. Dès lors, point de romance niaise prévue au programme !



En vérité, Lastyanax et Arka entretiennent plutôt une relation maître/élève. Certes, cette configuration est également classique, néanmoins nos héros dépassent, inversent même, les rôles très régulièrement. Mature pour son âge, Arka n’hésite pas à enquêter contre l’avis de son Maître, tandis que Lastyanax se laisse déborder par sa condition de ministre nouvellement acquise. Bref, c’est un duo qui fonctionne ! D’ailleurs, leur rencontre nous permet de mieux les comprendre par le regard de l’autre.



Pour tout vous dire, au début de l’histoire, je m’intéressais très peu à Arka, qui paraissait être une tête brûlée à la chance inouïe – elle est tout de même rentrée dans Hyperborée sans la moindre difficulté ! Lastyanax me semblait plus impénétrable, mais j’aimais le suivre lors de ses premiers pas dans les hautes sphères du pouvoir. Mais que ce soit pour l’un ou pour l’autre, j’ai fini par voir au-delà de leur carapace !



Éléonore Devillepoix a également créé une galerie de personnages secondaires que l’on prend plaisir à aimer ou à détester. Même si certains d’entre eux frôlent la caricature, ils finissent toujours par s’en détacher, ce que j’ai particulièrement apprécié.
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La ville sans vent, tome 1

S’il n’avait pas fait partie de la sélection pour le PLIB, je ne l’aurais jamais fait entrer dans le Fantasy Cards Challenge et donc ne l’aurais sans doute jamais lu. L’illustration est certes magnifique, mais le résumé ne m’interpellait pas plus que ça, surtout alors que je venais de lire Bordeterre de Julia Thévenot avec lequel j’avais l’impression qu’on pouvait faire de nombreux parallèles.



Eleonore Devillepoix nous propose de suivre deux personnages à tour de rôle : Arka et Lastyanax.

Arka est une jeune Amazone de 13ans qui débarque dans la ville sans vent, à la recherche de son père, un mage. Lastyanax vient lui, de passer sa soutenance et est le plus jeune mage (19 ans) à accéder au Ministère, prenant ainsi la place de son ancien maître, tout juste assassiné.

Pendant une bonne grosse centaine de pages, les deux héros avancent en parallèle dans la ville sans vent, sans même se croiser ; mais dès lors qu’Arka passe les sélections pour commencer l’apprentissage magique, on sait sans aucune surprise, de quelle façon les deux seront réunis.

Leurs deux quêtes – celle du père pour Arka, celle de l’assassin qui court en ville pour Lastyanax – semblent n’avoir aucun lien mais évidemment, vous vous en doutez, tout est plus ou moins lié et chaque pièce du puzzle se met en place au fil des pages.



Le suspense est bien mené d’un bout à l’autre – j’ai même été assez positivement surprise par la « complexité » de celle-ci – et l’explication finale est très satisfaisante. Je me suis laissée prendre au jeu et j’avais envie d’en savoir plus, notamment sur le passé d’Arka.

Les Amazones sont les grandes ennemies de la ville depuis qu’une poignée d’entre elles ont assassiné les enfants du Basileus, quelques centaines d’années plus tôt. Notre héroïne doit donc garder son identité secrète mais, bagarreuse, fonceuse et tête brûlée, ses exploits à cheval et en duel mettent la puce à l’oreille.

Y a-t-il un rapport entre les Amazones et le meurtre de plusieurs mages ? A qui profitent ces crimes ? Quel est le but de la manœuvre ? Voilà qui me donnait envie de tourner les pages pour découvrir le fin mot de l’histoire.



L’intrigue et le rythme, vous l’avez compris, m’ont convaincue. En revanche, j’ai eu plus de mal avec les personnages auxquels je ne me suis jamais attachée.

La personnalité d’Arka m’a paru être un peu en décalage avec son âge (elle n’a que 13 ans !) et même si elle possède un côté badass sympathique, je n’ai pas ressenti énormément d’empathie pour elle. Quant à Lastyanax pour lequel j’imaginais une évolution positive – un peu à l’image de Tristan dans Bordeterre – je l’ai finalement trouvé fade d’un bout à l’autre. Il ne se réveille – et ne se révèle – jamais vraiment, restant en retrait, derrière l’adolescente qui prend toute la place. Avec lui non plus l’empathie n’a pas fonctionné. Dommage.



Mais peut-être que mon absence d’implication auprès des deux héros vient également du fait que j’ai eu du mal à me plonger véritablement dans cette histoire et donc à la vivre avec eux. Oui, j’étais curieuse de suivre l’intrigue mais jamais je n’ai réussi à m’imaginer le monde créé par Eleonore Devillepoix. Les descriptions ne m’ont jamais permis de visualiser les décors et scènes de l’histoire ; ou même à comprendre et concevoir la magie mise en place dans cette duologie. Je suis donc restée à distance des héros et de leurs émotions.



Objectivement, je reconnais que La Ville sans vent de Eleonore Devillepoix est un titre Young Adult rempli de qualités – notamment en terme d’écriture et de rythme – mais je n’ai pas été sensible aux personnages et aux décors proposés ; je suis restée au bord du chemin. Pas une lecture désagréable donc, mais pas de “Waouh” pour moi. Dommage.
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La ville sans vent, tome 1

Nous sommes ici dans une très bonne histoire de Fantasy young adult qui mêle complot politique, magie, aventure, et recherche de ses origines.



Pas de temps mort, des personnages principaux et secondaires attachants et bien construits que l’on prend plaisir à suivre et qui vont évoluer au gré de l'avancement de l'histoire.



L'univers, quant à lui, est riche et très intéressant avec des idées originales et une intrigue vraiment bien ficelée ainsi qu’une dose d'humour qui tombe toujours parfaitement au bon moment.



Je vous recommande vivement de découvrir ce premier tome de cette duologie dont je lirai la suite (déjà disponible) avec plaisir.
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La ville sans vent, tome 1

J'ai eu un peu de mal à entrer dans l'univers de la ville sans vent, mais une fois la chose faîte j'ai été TOTALEMENT emportée !

J'ai vraiment hâte de lire la suite.

L'univers est très dense et les personnages complexes, un vrai régal !
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La ville sans vent, tome 1

Habituellement assez frileuse face aux critiques dithyrambiques, je dois reconnaître que pour une fois ce livre jeunesse bien vendu vaut sa promotion.

Un monde tout en étages, riche et original mais simple à imaginer, de la politique, une histoire de famille, des meurtres et une enquête menée par deux héros improbables, Lastyniax jeune mage de 19 ans, brillant mais maladroit et Arka, gamine bagarreuse de 13 ans qui se retrouve par accident son apprentie.

Après un début calme où nous découvrons la ville et son fonctionnement par les yeux d'Arka l'étrangère et de Lastyniax fraîchement propulsé dans la politique, les mystères se dévoilent par petites touches, puis les péripéties s'enchaînent rendant le livre impossible à lâcher. Le style est agréable, le rythme prenant, les caractères manquent peut-être parfois un peu de nuance mais sont cohérents pour un livre jeunesse.

Un premier tome qui apporte pas mal de réponses déjà dans cette trilogie (je crois) et donne envie de connaître la suite des aventures de ce duo inhabituel mais savoureux.

Une très chouette lecture.

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La ville sans vent, tome 1

Eleonore Devillepoix nous offre un voyage comme aucun autre dans « La ville sans vent« .

Déjà, la couverture est sublime, et mes yeux ne se laisse pas de le regarder.

Le livre est très bien construit, et c’est tout un univers à appréhender, ce qui n’est pas forcément facile au départ.

Les noms des personnages, le nom de la ville, etc.

N’oubliez pas que vous avez un glossaire à la fin pour vous aider également à vous resituer.



Le seule problème pourrait être la fin du livre qui est assez magistrale elle aussi. Avec Eleonore, nous avons plein de surprises.

Seulement, où est la suite ? Il va falloir attendre. Si nous avons répondu à un certain nombre de questions, il en reste encore énormément.



Tout au long de ce livre, le lecteur est amené à vivre de multiples aventures, et à faire sien tout doucement ce monde.



Nous sommes donc à Hyperborée, la ville sans vent (oui ça de l’importance). Une ville régit par tout un système, où la magie existe.

Il est intéressant de voir comment cela fonctionne, ce qu’il se passe, et là aussi le lecteur a de quoi être bien étonné par moment.

Notamment quand il en apprend un peu plus sur le Basileus, celui qui règne sur le tout.



Nous y allons lentement mais sûrement, de quoi faire connaissance. Nous découvrons donc Lastyanax, un jeune mage prometteur de 19 ans.

Il va passer la dernière étape de sa formation. Un jeune homme intelligent, rigoureux, qui a dû beaucoup se battre pour avoir cette place, et défier le système.

Il n’avait pas sa famille pour l’aider, et pour accéder au niveau où se passe l’attribution ce fût compliqué aussi.



Les voyages se font à dos de tortues. Le lecteur aimerait sans doute y faire un petit tour aussi.



Lastyanax se retrouve en lice pour une promotion, et pas des moindres, notamment suite à la mort de son mentor, ce qui libère le poste, mais ce n’est que le début d’une terrible énigme à résoudre.



Arka arrive à Hyperborée, sans rien connaître de cette ville sous un dôme, de cette ville sans vent. Elle a déjà vécu pas mal de choses, et semble se débrouiller pas mal, surtout qu’elle n’a que 13 ans. Son passé reste un mystère qui se dévoile à nous au fur et à mesure.

Elle est très vite attachante, par contre elle n’est pas du tout amie avec l’orthographe XD.

Elle est également à la recherche de son père, qu’elle sait mage.



Par un concours de circonstances, ces deux personnes qui n’avaient rien vraiment de leur côté pour avoir accès à la formation de mage vont faire connaissance, et même s’attacher l’un à l’autre.

Arka va nous faire vivre de grandes aventures. Elle n’a pas la langue dans sa poche, et elle ose.

Elle va tout défier et se retrouver dans l’attribution, un peu par hasard. L’attribution était le concours pour être sélectionner pour la formation de mages.



Le style d’écriture, ainsi que l’univers sont très plaisant, intéressant, et font que le lecteur se retrouve pris dans l’histoire.

La construction est également très intéressante et semble bien pensée, jusqu’au bout des ongles.



L’air de rien est abordé pas mal de choses : la lutte des classes, la corruption, la place de la femme, …



La place de la femme est notamment abordé à travers Arka, mais également Pyrrha, qui est une collègue très douée de Lastyanax. D’un côté, on voit que cela les dérange de confier du pouvoir aux femmes, de les reconnaître comme égales aux hommes.

Et de l’autre Arka et Lastyanax symbolisent ce côté lutte des classes, égalité des chances, vu qu’ils ne viennent pas d’une grande famille de mages, ni même du niveau où sont les mages.

De surcroît Arka est une étrangère.

Et nous avons également le côté corruption politique, drogue, vouloir garder le pouvoir à tout prix.



J’ai eu un coup de coeur pour l’univers, la plume.

Une très bonne lecture.

Si vous aimez la fantasy, c’est un livre que je vous conseille, qui en plus aborde pas mal de thématiques.

Par contre, la fin risque de vous frustrer. Ce sera une duologie. En commençant, je croyais que c’était un tome unique d’ailleurs.

Je pense que par contre la dernière partie a de quoi vous tenir en haleine jusqu’à la dernière page et vous coupez le souffle.



Les chapitres ont un sous-titre

Puis à l’intérieur des petites parties avec le prénom de la personne du point de vue de laquelle on va se placer.

Petits détails sympathiques :

-> la façon dont est écrit le titre, surtout le mot « sans »

-> La jolie façon de présenter le titre du chapitre et du personnage du point de vue duquel on se place

-> Des morceaux de texte en italique



Cela peut demander quelques efforts d’appréhender l’univers, et de s’habituer aux noms des personnages, de la ville, etc.

Mais c’est un investissement qui vaut le coup, et un univers totalement à part, même s’il peut avoir des inspirations.



Nous avons donc différents points à éclaircir : le mystères des origines d’Arka, et la mort mystérieuse du mentor de Lastyanax.

Oui, nous avons même des airs de thriller.



Ses mots de remerciement sont aussi sympathiques où elle parle de sa passion et la magie qu’à dégager Harry Potter, mais rassurez vous si cela peut être inspiré c’est positivement, de manière innovante avec ses propres codes.

Elle parle aussi de toute la chaîne du livre, y compris les lecteurs qui permettent aux livres de vivre, d’être découvert.



Le petit truc en plus. Si vous n’êtes toujours pas convaincu ou curieux, mais c’est à vos risques et périls .



Merci à Netgalley et Hachette pour ce beau voyage.

Dès que j’ai pu, je me suis mise dessus.

Je rêve d’en voir une adaptation

La suite semble très prometteuse également.



Coup de coeur pour l’univers
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La ville sans vent, tome 1

Non seulement Lastyanax vient de décrocher son diplôme de mage, mais il obtient quelques jours plus tard un siège au ministère d'Hyperborée. Une position enviable ? Pas vraiment quand les ministres commencent à disparaître les uns après les autres. Lastyanax et Arka, sa disciple atypique, vont devoir s'allier pour découvrir la vérité et sauver leur peau !

Un univers fantastique très original teinté de suspense et d'humour, bien décrit et bien écrit, plongez vite dans cette nouvelle série très prometteuse !

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La ville sans vent, tome 1

Nous suivons deux personnages complètement différents :



Arka, une jeune guerrière âgée de 13 ans, essaye de rejoindre la ville d'Hyperborée afin de retrouver son père disparu depuis sa naissance. Arka semble cacher beaucoup de secrets sur son passé et on sent qu'elle a vécu plus d'événements tragiques qu'elle ne peut supporter.



Lastyanax est âgé de 19 ans et il devient le plus jeune ministre de l'histoire. Après la mort, brutale et suspecte de son Maître, il décide de se consacrer à la politique de la ville d'Hyperborée tout en enquêtant secrètement sur l'assassin de celui qui lui a tout appris. En tant que ministre, Lastyanax est obligé de choisir un disciple et c'est là qu'Arka fait une entrée fracassante dans sa vie.



Ce roman fantasy est très bien construit. La magie est riche et pleine de surprise, au fur et à mesure que l'on avance dans l'histoire, on découvre des failles et des ruses qui apportent toujours plus de suspens.

Le duo Lastyanax/Arka fait des étincelles dès les premières minutes où ils se rencontrent, mais des liens très forts vont se créer et leur amitié va les aider à surmonter les épreuves les plus difficiles.



Un suspens prenant, construit astucieusement dès le premier chapitre et qui nous tient en haleine jusqu'aux dernières pages. Une ville où se trament les pires complots et les pires ruses en secret par les mages, dans le but de gagner toujours plus de pouvoir. Excellent !
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La ville sans vent, tome 2 : La fille de la..

J'ai pris beaucoup de plaisir à retrouver Arka et Lastyanax dans ce second volet rempli d'action, de révélations et de retournements de situations 💣



Une grande partie du récit de déroule dans la forêt des Amazones, lieu où a grandi Arka et j'ai beaucoup aimé en apprendre plus sur les us et coutumes de ce matriarcat ♀️Les alternances du passé et du présent à travers l'apparition notamment des serpents 🐍 comme messagers du passé m'a captivé !



J'ai également beaucoup aimé l'alternance de point de vue entre Arka et son ancien maître, Lastyanax qui lui nous renseigne sur le devenir de Hyperborée. En effet, nous avons laissés les hyperboréens après le prétendu coup d'état orchestré par des Amazones. On découvre très vite qu'il n'en est rien et que les plans du maître du lémure pour asseoir le pouvoir de Lemyscre sur la capitale ont été mûrement réfléchis !



J'ai beaucoup aimé les intrigues du pouvoir et les divers complots mis en oeuvre entre les multiples prétendants à ce dernier. J'ai également apprécié de découvrir les habitants de Napoca et leur rôle au sein de l'élection du nouveau président d'Hyperborée ainsi que dans la révolte contre les Témyscriens.



C'est un tome qui clôt en apothéose cette saga réellement attrayante et intéressante en raison de nombreuses raisons.



Tout d'abord la place des femmes est revalorisée et la critique du patriarcat et de la misogynie prenne une place encore plus prégnante dans ce deuxième tome.



Ensuite l'aspect identitaire et la transmission de malédiction entre génération est bien développé et permet aussi une réflexion sur le dépassement des carcans familiaux 👨‍👧‍👦



Enfin, l'on ne s'ennuie jamais dans ce second tome où l'on est inscrit dans une véritable course contre la montre ⏲️
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La ville sans vent, tome 1

Ce roman est une belle découverte; j'ai bien accroché à l'intrigue et c'est un véritable plaisir à lire! L'écriture de l'autrice est bien travaillée sans être "lourde"; la lecture reste donc très agréable et fluide.

Cela m'a pris quelques pages pour rentrer complètement dans l'histoire dû au vocabulaire très spécifique à l'univers et qui peut être déroutant au départ. J'ai vu un peu plus tard qu'il y a un glossaire (caché tout à la fin du livre dans le format poche), qui est très utile et m'a pas mal aidé pour m'y retrouver.

J'ai beaucoup aimé l'univers; il est riche, bien construit et vraiment bien trouvé.

Les inégalités sociales et hommes/femmes y sont très marquées; j'ai énormément apprécié qu'elles soient bien montrées et dénoncées.

J'ai eu un peu peur au départ par rapport à la présence importante d'enjeux politiques car ce n'est pas vraiment ce vers quoi je suis attirée en règle générale mais cet aspect est vraiment bien passé au final.

L'intrigue démarre doucement mais monte en puissance au fil du roman. Il se passe beaucoup de choses pendant le dernier quart.

Vivement que je découvre la suite!
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Brussailes

Bienvenue à Brussailes, territoire des oiseaux en tous genres ! Ces derniers s'inquiètent : nombre d'entre eux se sont vus voler un œuf. Qui est responsable de ces crimes ? Pour lutter contre ce fléau qui prend de l'ampleur, le Parlement des oiseaux décide de missionner 3 volatiles, et de les envoyer enquêter chez les perruches, les principales suspectes. Jaboterne le pigeon, Sept la corneille et Chantperdu le rouge-gorge vont devoir s'allier pour résoudre cette énigme, qui n'est pas sans danger...



***



Un roman jeunesse inventif et trépidant, dans lequel trois oiseaux que rien ne prédestinait à jouer les héros vont devoir faire preuve de courage et de discernement. Que ce soit Jaboterne, le pigeon qui n'a pas confiance en lui, méprisé par ses congénères car c'est un pigeon, donc "domestiqué" pour les autres, Sept, la corneille hautaine qui cache un douloureux secret ou même Chantperdu, le rouge-gorge impétueux, frondeur et parfois kamikaze, nos trois héros ne manquent pas de panache, et chacun s'illustre à sa manière, prouvant ainsi que chaque personne possède sa propre valeur.



J'ai beaucoup aimé prendre de la hauteur avec eux et voir la ville d'en haut, ainsi que le message de cet ouvrage : dépasser les préjugés et accepter les différences. Ostracisation d'une partie de la population, moqueries, élitisme, préjugés, on retrouve les travers de notre société dans le monde brussailois, et nos trois héros doivent composer avec leurs propres a priori et leur passé pour résoudre cette affaire.



Complots, trahisons, mais aussi solidarité, sacrifice... ce roman jeunesse est bien construit, plein d'humour - les notes qui accompagnent la lecture sont un régal - , et un champ lexical des oiseaux omniprésent. C'était une très chouette lecture, un récit que je vous encourage à découvrir si vous ne l'avez pas lu !
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Brussailes

Le moins que l'on puisse dire, c'est que cette lecture a été une sacrée aventure !



Pour vous situer Brussailes, il s'agit d'un polar, doublé d'un roman initiatique, dans le milieu aviaire qui se partage Bruxelles. Des crimes odieux ont été commis. Le parlement des oiseaux réclame réparation. Un trio d'enquêteurs aussi improbable qu'inexpérimenté, qui réunit une corneille, un pigeon et un rouge-gorge, est chargé d'éclaircir toute l'affaire... C'est du team building ou je ne m'y connais pas !



Je crois que je n'avais pas lu de fable animalière depuis celles de Jean de la Fontaine dans ma tendre enfance... Le roman de Eleonore Devillepoix remporte la palme de l'originalité pour ce qui est de mes découvertes 2022 !



J'ai d'abord jeté mon dévolu sur l'objet livre, absolument magnifique. L'édition est d'une beauté ! Le tenir en main est déjà un sacré kiff de lecteur. L'ouvrir est un plaisir pur.



Je peux vous dire qu'il vous est impossible de vous attendre à ce que vous allez lire. L'auteure a réussi le tour de force de déployer tout un lexique propre aux oiseaux, qui fourmille de détails passionnants, et qui met en perspective le vocabulaire dédié au genre humain avec beaucoup d'humour.



Les rebondissements s'enchaînent à chaque chapitre, entre drôlerie (largement appuyée par les annotations dans les marges) et drame. Car l'auteure nous dépeint une société tout aussi impitoyable que la nôtre (le dernier tiers est assez effroyable). Il y a de quoi en prendre de la graine !



C'est une fantastique découverte, une petite claque que ce roman jeunesse qui se lit à tire-d'aile ! Je vous le recommande plus que vivement !
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La ville sans vent, tome 1

J’ai bien aimé. L’univers est intrigant, on se retrouve dans un univers de Fantasy avec une nette inspiration byzantine que ce soit en termes de noms de fonctions ou même de personnages. L’univers est relativement bien développé, le fonctionnement de la ville aussi.

L’intrigue met quand même un certain temps avant de décoller vraiment. L’enquête sur le meurtre des ministres est un peu bizarre et je ne pense pas avoir compris tous les tenants et aboutissants des meurtres.

En ce qui concerne les 2 persos principaux, j’ai deux approches différentes. Les 2 sont réalistes et j’arrive à y croire, mais Lastyanax me gonfle un peu pendant une bonne moitié du roman. Il est froid, désagréable et ne m’inspire aucune empathie (ce n’est pas un problème en soit, mais on va reparler de ce sujet plus tard.) Par contre, j’aime beaucoup Arka qui est très attachante. Elle n’est pas très maligne, mais son histoire et son humour font que je l’apprécie beaucoup.

La révélation de l’enquête m’a semblé un peu bizarre et je me suis perdu pendant le climax qui part dans tous les sens. Je ne pense pas avoir compris le fonctionnement des lémures qui sont quelque chose de très important pour l’histoire et la révélation de l’identité du père d’Arka m’a laissé pantois.

Un autre bémol qui n’engage que moi et qui n’est pas vraiment un problème, j’ai trouvé les chapitres beaucoup trop longs et ça ralentit le rythme.

Voilà, en conclusion, c’est un bon roman de Fantasy, mais que je n’ai pas trouvé incroyable non plus. La fin s’ouvre pour le Tome 2 que je n’ai pas spécialement l’intention de lire. Peut-être dans quelques années…

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Brussailes

Parfait roman jeunesse mais pas que, grâce aux notes de bas de page, pleines d'humour.

On suit ici le Parlement des oiseaux, confronté à des tueries d’œufs. Une délégation d'enquêteurs est envoyée pour investiguer sur le compte des perruches, suspectes n°1.

Et c'est un régal de suivre ici le pigeon, la corneille et le rouge-gorge fonctionner en trio bancal mais très attachant.

A la fois, enquête, récit d'apprentissage, récit animalier ... c'est très complet, bien écrit et en plus très joliment mis en page.
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Brussailes

Temps pluvieux, lecture heureuse Aujourd'hui je viens vous parler de ma dernière lecture Brussailes d'Éléonore Devillepoix aux éditions hachette jeunesse. Paru tout récemment le 12 octobre.



Un trio d'oiseaux improbables pour un joli moment de lecture.



Venez avec moi, je vous emmène à la découverte de trois drôles de zozios !

Tout commence dans la charmante ville de Brussailes, avec un sordide fait divers. Les vols d'œufs qui disparaissant des nids ! Mais comment cela est-il possible ? Cela va chambouler tout le quotidien du peuple aviaire, qui est frappé par cette tragédie. De divers, le fait devint politique et se retrouva à l'ordre du jour du parlement des oiseaux. Pour ce faire, le parlement décida donc de mener son enquête. Ils confient et missionnent trois oiseaux, Jaboterne, un pigeon à l'ouest manquant d'assurance, Sept, une corneille acariâtre et futé et enfin Chantperdu, un rouge-gorge aphone, mais obstiné. Une alliance, me direz-vous, improbables, elle va mener son enquête sur les mystérieux voleurs d’œufs…



Tout d'abord compliments pour le travail sur le livre. Un livre comme je les aime Relier, une couverture rigide et avec des ornements dorés. Une très sublime mise page Le livre contient également un signet, très agréable, permet de faire une pause (même pas besoin de marque page) même si je l'ai lu d'une trotte. Les illustrations par Katarina Boudriot Bazantova son splendide, un magnifique travail. Un livre édité avec beaucoup de délicatesse, Une jolie pépite

J'ai beaucoup aimé la multitude de petites notes en marge de l'autrice, ça souligne le texte avec une dose d'humour.



La plume de l'autrice est enivrante, riche de détails, une imagination débordante. Il y a de bons rebondissements, du suspens et on ne s'ennuie pas une seule seconde !

Un joli conte où fables animalières. Les personnages sont attachants, une recherche sur chaque espèce et leur caractère et un langage, vocabulaire spécial oiseau. Il y a plusieurs thèmes abordés comme la tolérance, l'amitié, l'influence d'autrui, l'effet de masse, le pardon et une dose d'humour avec une jolie touche de fraîcheur

Une lecture très agréable, j'ai passé un bon moment.



Brussailes Le titre est un mignon petit clin d'œil à la ville de Bruxelles. (À mon avis)



Un grand merci aux éditions hachette jeunesse ainsi qu'à Babelio pour ce service presse.

Je remercie chaleureusement l'autrice @eleonoredevillepoix



Un chouette trio qui séduira les petits comme les grands !
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La ville sans vent, tome 2 : La fille de la..

J'ai mis du temps mais me voilà revenu à l'univers si dépaysant d'Eléonor Devillepoix, une autrice qui a su imaginer ici un monde aux inspirations antiques et mythologiques passionnant.



Nous avions quitté notre héroïne en pleine déroute après une sorte de coup d'état raté pour elle, mais réussi pour ses adversaires, nous la retrouvons pour un tome pétri d'actions et de rebondissements qui se lit sans faim. J'ai beaucoup aimé retrouver la plume toujours aussi fournie de l'autrice. Celle-ci est riche et offre de belles descriptions, de belles métaphores voire juste des phrases riches et complexes qu'il est agréable de retrouver ici, ce qui n'est pas toujours le cas. La couverture est d'ailleurs à l'aune de cela, je trouve, avec ce superbe paysage en miroir qui dit tout.



Cependant, j'ai trouvé ce second volume peut-être un peu moins abouti que le premier. J'ai trouvé que l'autrice manquait de finesse en nous offrant un univers tout en noir et blanc et des personnages soit gentils soit méchants. Je n'ai pas trop senti de nuances malheureusement. Tout était dit et tout était prévisible du coup, un peu comme dans une tragédie grecque qu'on lirait en connaissant le dénouement tragique.



J'ai également trouvé le décor moins séduisant. Le premier tome était celui de la découverte de cette ville sous dôme qui m'avait fascinée lors de plusieurs descriptions. Ici, nous allons d'abord à la rencontre de la forêt des Amazones dont l'autrice livre peu de descriptions, puis à la reconquête d'une ville martyre qui n'a donc plus le charme des débuts. C'est plus terre à terre, plus guerrier aussi.



Le tome se concentre uniquement sur le renversement de celui qui a pris le pouvoir à Hyperborée : Alcandre, et tout le reste n'est que prétexte pour conduire à cet événement. On enchaîne donc les péripéties, certes avec plaisir car elles sont écrites avec plein d'allant, mais on sent bien que ce sont des étapes obligées. Le charme opère moins sur moi, je vois plus les ficelles derrière.



Cependant, l'autrice m'a fait plaisir en alternant à ce point les points de vue, rendant son récit très vivant et j'ai aimé entendre la voix de chacun, voir le caractère de chacun car ils sont tous très différents. Cela m'a permis de ne pas avoir qu'Arka comme héroïne à suivre, mais également son mentor Lasyanax, son rival Alcandre et parfois d'autres comme Phréton, Pyrrha ou Python, qui prennent part eux aussi à l'aventure. J'ai aimé cela car Arka était un peu trop l'archétype de la jeune héroïne tête brûlée et que je lui préférais ses aînés.



L'aventure fut également au rendez-vous avec de belles scènes d'action écrites par l'autrice qui rendait celle-ci bien vive et percutante, que ce soit pour s'enfuir, voler au secours de quelqu'un ou se battre. L'aide de tous ces artefacts et de la magie sont un gros plus dans l'écriture de ces scènes bien sûr et la teinte steampunk de l'oeuvre rappelant La Passe Miroir ou Le château des étoiles, m'a vraiment fait voyager dans ces moments-là quand je m'imaginais ces scènes.



L'histoire néanmoins est classique et prévisible du début à la fois. Je n'ai pas forcément été touchée par le destin d'Arka. J'ai préféré la lutte de ses aînés pour l'indépendance de leur ville, cela faisait plus sens pour moi. Les voir chercher à renverser la situation par la politique et la voix du peuple m'a plu. Les voir tenter une mission de sauvetage vis-à-vis de leurs confrères prisonniers m'a plu. C'était intense. A l'inverse, j'ai trouvé le final un peu trop rapide et facile. Il ne me restera pas en mémoire, j'en suis sûre et navrée à la fois. L'autrice a voulu aller trop vite et cela a manqué d'impact, on ne retiendra qu'un facile retour à la normale avec désormais une nécessité de mieux intégrer tout le monde et de dialoguer. Bof bof, c'est un peu léger et cliché.



J'ai mis du temps mais j'ai pris plaisir à revenir dans l'univers de la Ville sans vent. Ce fut une bonne lecture fort divertissante où j'ai aimé le décor antique et mythologique choisi par l'autrice avec ses amazones et ses artefacts. Malgré une plume riche, j'ai juste le regret que l'histoire, elle, soit restée fort simple et manichéenne dans l'ensemble. Je m'attendais à plus que cette résolution bien trop rapide et un peu fade. Je retiendrai donc plus le plaisir pris à la lecture et l'immersion dans ce monde dépaysant.
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La ville sans vent, tome 1

Enthousiasmant !



La Ville sans Vent, c'est la littérature ado qui plaira aux adultes : la plume est fluide, bien ciselée, amusante. L'univers est original, et révèle au fil des pages sa richesse. Les personnages sont attachants... tout en étant parsemés de sacrées têtes à claques (mais qu'on aime détester). Si le rythme est un peu lent au début, l'intrigue prend de l'ampleur et l'on passe d'un rebondissement à l'autre, sur fond d'enquête politique, magique et familiale, qui vous cloue au roman.



Ce n'est sans doute pas un roman qui me marquera, de ceux qui vous hantent longtemps après leur lecture. Mais c'est un excellent divertissement, au sein d'un univers inventif et intelligent. Je signe pour le second tome.
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La ville sans vent, tome 1

Je suis sur le cul.



Ce livre est un coup de coeur monumental. (Et je suis avare en coup de coeur !!)



Tout est parfait à mes yeux : univers riche et original, personnages bien construits et attachants, intrigue stupéfiante, rythme prenant, style d'écriture sublime... Rien n'est laissé au hasard, pour mon plus grand bonheur !!



Ce livre concentre tout ce que j'adore dans les romans fantasy, et tout ce à quoi j'aspire écrire un jour !!



En résumé : je cours de ce pas acheter le 2e tome (et tant pis pour ma résolution de fin de mois haha) et je suivrais de près Eléonore Devillepoix pour tous ces prochains romans !
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