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Critiques de Éric Neuhoff (160)
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(Très) cher cinéma français

Bien, encore une fois au-dessous des attentes. Ça m’apprendra à ne pas avoir regarder la note sur babélio (2.4). Alors de quoi s’agit-il d’une critique en règle du cinéma français et son déclin inexorable. Je m’attendais à plus d’argumentation sur

- l’autosuffisance des réalisateurs et des acteurs.

- sur la nullité des comédies type « Grand bain » ou « Intouchable » truffés de clichés, (c’est normal quand on ne connait pas la vraie vie et que l’on s’obstine à vouloir en faire des films).

- Sur les subventions qui permettent la réalisation de navets, quasiment à la chaine, peu importe tout le monde sera payé même avec un nombre d’entrées dérisoires.

En fait non, c’est écrit quasiment en écriture automatique, sur un ton rageur, avec un arrière-gout de « c’était mieux avant », en fait avant ce n’était pas beaucoup mieux. En 45 ans de vie de spectateur de cinéma, mes meilleurs souvenirs au cinéma restent des films américains.

Et enfin, pourquoi ce prix RENAUDOT, il faudra que l’on m’explique, serait-ce du copinage par hasard ?

Heureusement que j’ai acheté ce livre sur momox à 3 balles car il ne valait pas beaucoup plus.

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(Très) cher cinéma français

Quelle raclée, mais quelle lucidité. Version cinématographique de “Qui aime bien châtie bienˮ. Armé de sa grand culture cinématographique le chroniqueur du Figaro et du “Masque et la plumeˮ se livre à un dézingage en règle de la vacuité du cinéma français des récentes années. Avec lui, on effectue un voyage mémoriel et mélancolique dans les grandes heures du cinéma français avec ses grands maitres, connus ou plus modestes. Sous sa plume, le lecteur un peu au courant de la chose cinématographique sourit aux clins d’œil, allusions glissées dans le texte comme des œufs en chocolat dans les jardins le jour de Pâques, grappille ça et là quelques pépites. A côté de l’insignifiance de la production (qui va en salle voir les navets, hormis quelques végétariens incorrigibles ou punis ?), il démonte les mécanismes, les copinages de la clique cinématographiques CNC, avance sur recette… qui aboutissent à des générer des fonctionnaires de la pellicule assurés de manger à la soupe du fonctionnariat. Réjouissant mais un peu désespérant.
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(Très) cher cinéma français

Après des années de félicité, le cinéma français n’est-il plus que l’ombre de ce qu’il a été ? La question mérite certainement d’être posée ! Où se cache la relève des réalisateurs d’hier et d’avant-hier, quelle est la nouvelle génération d’acteurs fédérateurs ? Pourquoi les producteurs exhibent-ils une frilosité bonne à peu de choses ? Eric Neufoff tire à boulets rouges sur le septième art en ne cachant pas son exaspération. Nostalgique des productions des années 60 et 70, il déplore un changement d’habitudes en matière de création. Les films actuels ne font plus rêver, ne poussent pas à la réflexion et la plupart d’entre eux s’engoncent dans une sorte de léthargie lénifiante. Bien sûr, son livre se veut avant tout un pamphlet pour un retour à la qualité et le droit à l’évasion, bien plus qu’un simple coup de gueule. Pour lui, les valeurs cinéphiliques foutent le camp ! Enfoncer le clou n’a d’autre but que de rappeler qu’on peut faire mieux … beaucoup mieux !
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(Très) cher cinéma français

Cet essai constate à juste titre le déclin du cinéma français depuis 30 ans. Il épargne , à tort , la bande de GUILLAUME CANET qui n en finit pas de nous relater ses vacances d'adolescent avec ses copains qui n'oublient pas de lui renvoyer l ascenseur .Pas de quoi nous faire oublier la nouvelle vague et la décennie SAUTET et autres qui a suivi. L'exercice peut être taxé de has been mais s'il permet de réveiller des créateurs, cela

nous éviterait les daubes qui sortent au rythme infernal de 15 par semaine.
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(Très) cher cinéma français

Ecrit d’une plume plus que vive par un cinéphile averti, comme un immense coup de gueule nostalgique d’un vieil acariâtre ressemblant à Clint Eastwood dans Gran Torino.
Lien : https://www.francetvinfo.fr/..
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(Très) cher cinéma français

Pamphlet ronchon et nostalgique dans son abord le plus doux, ce petit livre coulé d’une traite râpe assez pour transpirer la colère en sus de la seule mélancolie. l’ensemble-patate des regrets est suffisamment meuble pour contenir Claude Sautet et mai 68, les salles des Champs et Deneuve qui fume et ne grimace pas quand elle souffre, mais aussi tout un temps où le cinéma français n’était pas encore devenu une raison sociale. Les cinéastes d’aujourd’hui, les acteurs d’aujourd’hui, les critiques d’aujourd’hui, et les enfants qu’ils font les uns avec les autres, en prennent méthodiquement pour leurs grades : «leurs films ressemblent à des appartements témoins».



Je regrette de n’être pas suffisamment cinéphile pour suivre tous les regards et pour goûter une sur trois des allusions et références, mais je n’ai pas boudé mon plaisir à certaines méchancetés crasses voire à certaines promesses d’acharnement gratuit. Le trait est forcé pour rire et de toute façon les oreilles qui sifflent ça ne fera pas des acouphènes à Isabelle Huppert et François Ozon.
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(Très) cher cinéma français

Lorsque ce petit livre a eu l’impudence de se voir couronner par le Prix Renaudot catégorie Essai en 2019, plusieurs voix de professionnels se sont élevées pour hurler au scandale. Néanmoins, dixit l’auteur, au lieu de brailler, ils auraient peut-être mieux fait de regarder beaucoup plus près les titres qui sortent des studios. Toujours selon ses critères, hormis quelques créateurs de talent, la majorité des produits se rétament dans une vacuité abyssale. Le conseil à suivre serait donc celui-ci : si on se trouve en présence d’un navet, on quitte son siège et on se barre. Un réflexe, il me semble, que la majorité des spectateurs adoptent actuellement : ça ne me plaît pas, donc je zappe !
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(Très) cher cinéma français

Si on peut souscrire en parti au propos on ne peut que constater que le livre est écrit par dessus la jambe. La démonstration est assez pauvre, on aimerait plus de détail sur le système de financement du cinéma français et son histoire. S'il est vrai qu'il s'agit d'un monde en vase clos qui s'appauvrit de plus en plus on peut aussi considérer que son exact contraire le cinéma américain n'est guère plus engageant. Je préfére ecouter mr Neuhoff au masque et la plume, là ça n'a que peu d'interêt et le propos est très redondant au fil des pages. Considérant que la chose a aussi obtenu le prix Renaudot essai il y aurait matière à ouvrage sur le sujet de la crise des prix littéraires français.
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(Très) cher cinéma français

Eric Neuhoff, voilà typiquement un des critiques que j'écoutais dans le "Masque et de la Plume" de ma jeunesse, même s'il a du y participer bien après que je commence à écouter cette émission, vers la fin des années 90, si je ne dis pas trop de bétises....



Neuhoff, je le connaissais d'ailleurs au départ plutôt en tant que romancier, car j'avais notamment lu "La Petite Francaise", prix Interallié 1997, joli roman décrivant la passion d'un journaliste un peu blasé ( faisant bien penser à Neuhoff lui même) et une jeune fille fraiche et pimpante, surnommé Bébé....



Je m'étais alors dit que le type avait vraiment une belle plume, entre ironie et finesse, qu'il prolonge la plupart du temps dans le Figaro où il officie comme critique de cinéma.



Mais si en tant que romancier Neuhoff parvient à me toucher encore régulièrement c'est moins le cas en tant que critique de cinéma, et si on parle de son dernier livre "Cher cinéma français" qui a fait beaucoup parler de lui en cette rentrée . et qui figure même sur la liste des 6 finalistes du prix Renaudot essai (voilà un mystère total pour ma part à part une sombre histoire de copinages ) c'est même pire que cela...critique à lire en intégralité sur le blog...
Lien : http://www.baz-art.org/archi..
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(Très) cher cinéma français

Volontairement orienté du côté du brûlot, cet essai ne craint ni la répétition ni la démagogie. la thèse défendue par l'auteur est pesante (pour ne pas dire chiante). Dans le viseur de l’auteur, un cinéma français qui depuis une trentaine d’années s’est endormi dans ses certitudes et refuse de se réveiller. Décrépite sans s’en rendre compte, notre cinématographie nationale refuserait de mourir sans pour autant chercher à se réinventer. Ce constat prend sous la plume de l’auteur la forme d’une fatalité que nos plus éminents auteurs tragiques n’auraient pas désavouée. Tout y passe, et personne n’est sauvé. Réalisateurs, actrices et acteurs, scénaristes, chef-opérateurs, critiques, et institutions sont, selon Neuhoff, tous coupables de la dégradation continuelle du cinéma de l’Hexagone. Le hic est que l'auteur n'apporte pas de vraies solutions. Il harangue, peste et démolit. On attend la formule idoine pour redorer ce qui doit l'être !
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(Très) cher cinéma français

Certes, pour apprécier cet essai (transformé, l'essai) il vaut mieux connaître le cinéma depuis ses débuts car l'auteur a un parti pris sur celui des 20 dernières années et on ne peut pas le blâmer.

on traverse les époques sur la pellicule, on retrouve de vieilles connaissances, acteurs, titres de films, auteurs, un brin nostalgique d'une époque où moi-même allait au cinéma plus de 3 fois par semaines.

Aux nouveaux prodiges de la caméra française, je leur préfère les allemands, les polonais, les russes (si on me l'avait dit dans les années 70-80 je ne l'aurais pas cru).

Outre ces quelques infidélités cinématographiques, j'ai préféré lâcher la pellicule pour encore plus de papier.

le titre donnait à penser que l'auteur allait entrer de plain pied dans une diatribe sur les financements et autres subventions, il ne fait que les survoler au regard de ce que nous coûte le cinéma actuel.
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Cher cinéma français

Éric Neuhoff clashe fort le cinéma français d'aujourd'hui et clame tout aussi fort son amour du cinéma d'hier.

C'est sans concession, bien vachard, souvent drôle, souvent juste, parfois quand même bien injuste (pauvre Isabelle Huppert).

En tout cas on ne peut que reconnaître que le cinéma, les artistes, les producteurs ont changé et que, sans jouer l'air de la nostalgie, il y avait du bon avant. Vincent, François, Paul, Max, Rosalie et les autres, REVENEZ !!!
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Cher cinéma français

Eric Neuhoff est en colère contre le cinéma français actuel et le fait savoir vertement dans cet essai au titre ironique. 



Je l'avoue, je suis assez friande des pastilles blasées de ce critique lors du festival de Cannes. Le politiquement correct et la langue de bois, il ne pratique pas, et c'est rafraîchissant. Il a un vrai talent d'écriture et ce qu'il faut de culture pour se le permettre. 

Quand on a découvert le cinéma dans les années 70, je peux comprendre que celui d'aujourd'hui paraisse bien fade. Les films et les réalisateurs français de mon panthéon datent eux aussi de cette époque, et c'est un plaisir de lire les souvenirs de spectateur de Neuhoff.



Si je suis globalement d'accord avec le fond, la forme est d'une mauvaise foi parfois amère, souvent foutraque. Mais toujours drôle. On est loin des critiques nombrilistes et misogynes de François Forestier.

Monsieur Neuhoff, puisse le cinéma français vous lire et renaître de ses cendres !
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Cocktail de saison

Voici des récits autour du cinéma et de quelques figures légendaires de cet art. Une balade dans ce monde avec des anecdotes inédites et un amour criant pour le cinéma.

A lire d'une traite ou au hasard des titres. Les deux vous régaleront.



##Cocktaildesaison #NetGalleyFrance
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Cocktail de saison

Quelle meilleure façon de se remettre des libations du 31 décembre que de se pencher sur les Cocktails de Saison, d'Eric Neuhoff ??



De page en page, entre bulles de champagne et effluve boisé de pur malt, se rencontrent les fantômes d'Hemingway, de Romy Schneider, de Paul Morand ou de Denis Tillinac. Eric Neuhoff dresse le portrait d'une époque révolue, celle de la France artistique et littéraire des années 70, des starlettes sur la Croisette aux cocktails du Goncourt. Son style inimitable, entre mélancolie pour un passé doré et acidité sarcastique, nous laisse percevoir une pointe de regret teinté de tendresse : qu'il devait faire bon vivre en ce temps-là ! Alors, on se pose confortablement dans un fauteuil club, et on se laisse entraîner à sa suite entre Paris et la Riviera, des chambres du Belles Rives aux salons des livres de France et de Navarre.



Je reconnais bien franchement qu'une (grande) partie des noms qui parsèment cet ouvrage m'était inconnus : journalistes, éditeurs, acteurs, auteurs même parfois... Je me suis promenée dans ces chapitres comme dans une exposition, passant de tableau en tableau pour découvrir ici un eff de style, là un portrait particulièrement touchant. Et j'avoue que j'ai beaucoup apprécié le voyage !!!



"Les récompenses littéraires de printemps réclame de grands hôtels, du champagne et du snobisme. C'est à cela qu'on reconnaît qu'on est en France."

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Cocktail de saison

Un livre qui m’a rendue nostalgique même si je ne suis pas encline à l’être. Je suis de la même génération que l’auteur et il en résulte que beaucoup de faits qu’il raconte ont fait partie de ma vie !



Il a su me replonger dans l’ambiance de ces jeunes années où tout était quand même plus facile que maintenant où nous étions plus libres et peu confrontés à de graves problèmes !



A travers ses mots nous voyons revivre des écrivains vieillissants tout comme des étoiles montantes des arts et c’est un autre angle de vue que de les voir à travers ses souvenirs.



Un petit côté “catalogue” m’a fait enlever 1 étoile, là où j’aurais apprécié un peu de développement ou d’anecdotes plutôt qu’une liste de moments et d’événements ! J’ai bien aimé le petit côté “ronchon” de l’auteur mais je ne veux pas me laisser prendre, comme lui, au piège du “c’était mieux avant”, qui empêche de profiter de ce qui se présente !



Agréable à lire mais je pense que ce livre ne s’adresse pas aux jeunes adultes, sauf s’ils ont de la curisioté our cette époque qui était celle de la jeunesse de leurs parents.



#Cocktaildesaison #NetGalleyFrance



Challenge 50 Objets 2022/2023
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Cocktail de saison



Éric Neuhoff fait partie des écrivains au style immédiatement reconnaissable. Ce n’est pas la moindre de ses qualités.



Alors c’est entendu, il est grognon. Il ne s’en cache d’ailleurs pas, il en rajoute même. Il est nostalgique et réac. Il est convaincu que tout était mieux avant. Tout : le ciné, la cuisine, les livres, les actrices, les fringues, la musique, Paris, New York, la Costa Brava - et même le jour, et surtout la nuit.



Aujourd’hui, on a fait nos jeux, il a fait les siens et rien ne va plus. Aucune de ses idoles n’est plus là, les dernières ont disparu quand il devenait un homme. Il aime le grand large, les grands écrans, les grands sentiments - Truffaut et Fitzgerald, Ava et Marlon ; il déplore que l’époque

les ait réduits aux dimensions d’un écran de Smartphone, aux séries de Netflix, aux recettes sans gluten. Peut-on lui donner tort ?



De toutes façons, il est de ce genre à toujours naître à la mauvaise époque, Neuhoff. Il se trompe parfois (il est le premier à le savoir mais il sera le dernier a le reconnaître) mais il le fait avec un chic qui sent le tweed, l’encre fraîche et le pur malt. Ses chroniques, qui ont la précision de naturelles à la corrida, exécutées entre sol y sombra, ne sont pas loin d’être ce qu’il sait faire de mieux.



Cocktail de saison ? Garçon, remettez-nous ça !

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Cocktail de saison

Un livre d'Eric Neuhoff, c'est un ton, une ambiance, la nostalgie d'une époque révolue ... 



Cocktail de saison est un ensemble de chroniques nostalgiques qui nous entraîne dans les années 70, sous la présidence de Giscard, au fil de la nationale 20, embouchonnée mais bien plus pittoresque que l'A20, trop rapide, qui l'a supplantée au début des années 2000. 



Il repasse les films de son adolescence, ses lectures, ses rencontres dans le saint Germain des près où croisaient les fantômes d'Ernest Hemingway, Paul Morand ou Denis Tillinac, et les ombres vieillissantes de Philippe Sollers, Jean d'Ormesson, Philippe Labro .



Il revisite les lieux de son adolescence attardée, dont seul le café Rouquet subsiste, les autres ayant disparu, soit totalement soit convertis en hôtels, boutiques de fringues ou de téléphonie ... 



Il a vu défiler les années s'accrochant à sa jeunesse, et, là, dans une soixantaine bien enclenchée il se demande où toutes ses années ont glissé, sans bruit emportant avec elles tant de figures amies, écrivains, cinéastes ... 



Un ouvrage qui fait revivre et se côtoyer François Truffaut et Walt Disney, Romy Schneider et Antoine Blondin, Françoise Sagan et Paul Morand, Sharon Stone et Jean-Luc Godard, David Niven et Patrice Leconte, Joan Didion et Claude Zidi ... 



Un ouvrage qui a la nostalgie du temps où les voitures roulaient plus vite sur des routes qui ne le permettaient pas, où le monde était en couleurs vives, où la culture suintait sur les trottoirs parisiens, un monde de l'adolescence qui dure ...



Le vrai monde d'avant ! 



Je remercie NetGalley et les Editions du Rocher qui m'on adressé cet ouvrage en amont de sa publication.  



#Cocktaildesaison #NetGalleyFrance
Lien : http://les-lectures-de-bill-..
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Comme hier

Un très joli texte autobiographique. On y découvre les étapes cruciales de la vie de l'auteur né dans les années 60.
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Costa Brava

A travers le récit des ses vacances annuelles à la Costa Brava, d abord enfant puis adolescent et jeune adulte, l auteur semble avoir cherché à nous faire passer un message. Le souci est que je ne vois pas très bien lequel, à part la nostalgie de la fuite du temps, et donc la nécessité de vivre le temps présent. Sans cet éclairage, ïl reste un roman bien écrit, fait de phrases affirmatives. Pas de chapitre. Tout cela se lit bien, mais n est pas vraiment entrée en résonnance avec ma propre histoire. Dommage.
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