"Du 14, avenue Arnaud-Bemard, à Toulouse, au 14, rue Saint-Julien- le-Pauvre, à Paris, des bords de la Garonne aux rives du Congo, d'Uzeste à New York, du Lapin agile au Zénith, de Piaf à Miles Davis, deLocomotive d'or à L'île Hélène en passant par Dansez sur moi!, 192 paragraphes pour célébrer le parcours du coeur battant de mon seul chanteur de blues."
Un jour d'été, Barbara se prit d'affection pour un petit garçon de six ans. C'était Gabriel, le fils de Jérôme Garcin. Ce fut le début d'une affinité élective entre la chanteuse et l'auteur. Jérôme Garcin a hésité avant d'accepter de la raconter à travers ce portrait intime.
Pas un roman, pas une fiche de police, mais un vagabondage entre les mots de RENAUD, entre ses mots de toujours et ses maux d'aujourd'hui, dans les jardins de l'enfance, les forêts ombragées de l'adolescence, les plaines et les peines d'une vie éclairée par un soleil au zenith.
Une plongée subjective et profonde dans l’univers Brassens, qui a tant influencé la chanson française, suscité tant de vocations, et marqué tout autant l’histoire littéraire et musicale française.
Léo ferré , anar dans l'âme , n'a jamais appartenu aux instances qui décident des reconnaissances institutionelles . Il est cependant l'un es plus grand poètes français du 20° siècle.
Récit biographique des trois dernières années de la vie de Jacques Brel aux îles Marquises, où le chanteur cherche, loin de la Belgique, à retrouver le paradis perdu de l'enfance.
Une nuit d'insomnie, rythmée par les gorgées de whisky comme un métronome. Cabaret intime.
Une femme, Madame Pervenche, se prend pour la grande chanteuse réaliste Fréhel.
Fréhel était une grande vedette, mais qui la connait encore ?
Mars 2010. Après Brassens, Brel et Ferré, disparaissait le quatrième mousquetaire de la chanson française : Jean Ferrat, né Jean Tenenbaum huit décennies plus tôt. Mars 2020 : deux artistes associent leurs talents pour conjurer l’absence de celui « qui aurai[t] pu vivre encore un peu. » L’un est peintre, l’autre écrivain. Ensemble ils redonnent vie à l’homme qui détestait les interdits et chantait les poètes.
" Libérer le territoire, visuel et mental. Réoccuper l'espace, gagner du terrain. Toujours la politique bérurière : ne rien tenir pour acquis, pour normal, pour acceptable. Il est question ici de symbole, de rapport de force, de territoire, de guérilla. [...] Virginie Despentes
Entre rêve et réalité, Bernard Lavilliers a plus d'une vie. II existe en conséquence plusieurs manières de le raconter. On peut s'enfoncer avec lui au plus profond de la jungle amazonienne, se ganter de boxe, croupir dans d'infâmes geôles, se la jouer Borsalino... Ou, plus sagement, retrouver les traces d'un jeune homme dont l'ambition n'a d'égal que son talent.