Je ressors mon vieux CD de The Doors pour vous écrire, avec modération, cette ardeur qui habite encore le poète. Dans son paisible Băile Govora, il chante, depuis tant d'années son Alabama Song et nous interpelle : "Well, show me the door/ to the next whisky (qu'il écrit à l'américaine whiskey [p. 49] lorsqu'il évoque cette bouteille transmise en héritage presque) bar /Oh, don't ask why/ Oh, don't ask why ." Presque une centaine de poèmes pour autant de réponses détournées possibles.
Valentin Dolfi évoque les USA là un
Daniel Marcu par exemple, dénonce la mondialisation en partant de la feuille d'érable canadienne. Les hommes s'accommodent comme ils peuvent de leur solitude. Ainsi, dans le poème Gabriela, Gabriela (p.80), celle-ci est absente de cet anniversaire où elle ne vient plus allumer quelque feu que ce soit. Et face à la tristesse (ici un autre son de cloche) c'est vers
Sylvia Plath (p.55) que le poète se tourne alors, au point de me demander de lui procurer le The Unabridged Journals of
Sylvia Plath. But is this the end ? À Băile Govora il y a bien encore des découvertes à faire.