Quand il est entré dans le magasin de fleurs de Rokka, le secret et hagard Hazuki est tout de suite tombé sous le charme de sa propriétaire. Après avoir été embauché chez la fleuriste, il ne lui a pas encore exprimé ses sentiments. Il va faire une bien curieuse rencontre en la personne du défunt mari de Rokka, devenu fantôme, et qu'il est le seul à voir et à entendre. Qu'à cela ne tienne, Hazuki tient à redonner le goût de l'amour à Rokka, et ce n'est pas un mari encombrant qui l'en empêchera. Mais difficile de s'imposer ainsi à ses côtés quand on a un mari constamment dans les parages...
C'est le premier manga des éditions Komikku que je lis. Et c'est une histoire pleine de sensibilité et de délicatesse que Les fleurs du passé, ou la difficulté pour un couple d'envisager de vivre l'un sans l'autre, séparés par la frontière de la vie et de la mort. Les cases bien grandes permettent de valoriser les illustrations et rendent la lecture vraiment agréable. Cette série se termine en 4 tomes.
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Hazuki, un jeune homme d'une vingtaine d'année, s'éprend éperdument de Rokka, une jeune femme de 30 ans, déjà veuve. Pour se rapprocher d'elle, il se fait embaucher comme fleuriste dans le magasin qu'elle tient. Toutefois, il tarde à lui dévoiler ses sentiments et quand il est invité chez elle pour fêter le départ de leur collège, il découvre qu'il peut voir et entendre son ex-mari, pourtant décédé, qui habite toujours chez elle et refuse de laisse sa place.
Ce titre aborde un sujet délicat, traité tout en finesse. Économe en mots, il suggère plus qu'il ne dit la difficulté de vivre une nouvelle aventure sentimentale après le décès de l'être aimé. le fantôme du mari "matérialise" ainsi efficacement l'attachement qui perdure.
Les personnages inégalement développés dans ce premier tome. Si l'on cerne aisément Rokka, cette femme prise entre sa fidélité à son défunt mari et sa volonté de vivre quelque chose de nouveau, le personnage d'Hazuki est beaucoup plus énigmatique. A moitié dépressif, on ne sait rien de lui et de son passé.
Le graphisme est plutôt décevant quoique relativement neutre. Les décors ne sont absolument pas travaillés. Cela renforce l'aspect épuré du manga mais l'appauvrit aussi, malheureusement.
Un titre intéressant, donc, sans être exceptionnel. On attend le deuxième tome pour voir comment les personnages évoluent.
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Fleuriste, Rokka est veuve. Son employé, Hazuki est amoureux d'elle. Alors qu'il lui déclare enfin sa flamme, il se trouve dans un drôle de triangle amoureux.
Bon, je pense l'avoir déjà dit, le shojo, ce n'est pas ma tasse de thé. Heureusement, pour une fois le triangle amoureux est un peu original et intéressant. Cependant, pas assez pour que je m'attache aux personnages et à leur histoire pour me pencher sur le tome 2. de plus les dessins sont assez inégaux (mais par chance, pas caricaturaux)
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Voici un josei comme je les aime : humain, touchant, qui fait dans la douceur et qui est reposant.
Bien que les dessins soient assez inégaux (et même parfois plutôt moches !), l'histoire et l'émotion remontent largement le niveau des Fleurs du passé. Bien que d'abord d'apparence froid, distant et énigmatique, Hazuki, le personnage principal, dévoile rapidement ses sentiments et on s'attache à lui. S'installe alors un triangle amoureux entre trois personnages... que je ne décrirai/citerai pas car le manga étant dépourvu de tout résumé, il sait alors créer l'effet de surprise.
On plonge la tête la première dans ce manga ; on se demande où on va mais on suit volontiers les aventures de ces trois personnages touchants par leur humanité.
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En parfaite harmonie avec l’ambiance délicate du récit, le dessin au trait doux et expressif d’Haruka Kawachi s’attarde volontiers sur les visages, les postures et les regards des personnages pour transmettre au mieux leurs émotions.
Lire la critique sur le site : BDGest
Les personnages ne virent pas dans le pathos et grâce à quelques touches humoristiques distillées avec soin se révèlent plutôt attachant.
Lire la critique sur le site : ActuaBD
Un sujet douloureux, traité de manière très subtile pour un excellent premier tome à l'atmosphère originale et douce.
Lire la critique sur le site : BullesEtOnomatopees
Pour la première fois, j'ai eu une petite envie de meurtre. Mais le concerné n'est plus de ce monde.
Peux-tu me prêter ton corps juste une fois ?