Comme le suggère le titre de ce second opus, l'histoire va rebondir et les rôles vont s'inverser. Surtout, on se rend compte qu'un esprit malfaisant manipulait tout le monde depuis le début : c'est alors le début des rebondissements, jusqu'à la redistribution complète des activités mafieuses et clandestines de du quartier.
Si je ne suis pas tombé sous le charme de la série, je pense qu'elle mérite d'être lue.
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L'univers du Paris des années 50 est bien rendu ainsi que les relations entre le monde de la nuit et la pègre.
on retrouve l'ambiance des polars des années 50 avec ses personnages forts en caractère.
Le graphisme est très pur, on peut penser à certains décors de Trauner.
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Un bon petit polar qui remplit le cahier des charges du genre.
Lire la critique sur le site : BDGest
Robert Le Roux :
Te voila enfin, Para de mes deux !
Marc :
La circulation est difficile avec le nouvel an chinois.
Robert Le Roux :
J'ai un contrat pour toi à Paris. Bien payé. Ca peut aider ton retour à la vie civile.
Marc :
Un homme à abattre ?
Robert Le Roux :
C'est ce que tu fais le mieux, non ?
Marc :
Pourquoi moi ? A Paris, ce ne sont pas les tueurs qui manquent chez votre associé Saint-Napi.
Robert Le Roux :
Exact. Sauf que c'est justement Saint-Napi qui doit mourir.
Dans le 128e épisode du podcast Le bulleur, on vous présente Le petit frère, album que l’on doit à Jean-Louis Tripp, édité chez Casterman. Cette semaine aussi, on revient sur l’actualité de la bande dessinée et des sorties avec :
- La sortie de l'album Carnets de campagne que l'on doit à Mathieu Sapin, Kokopello, Morgan Navarro, Louison, Dorothée de Monfreid et Lara et c'est co-édité chez Dargaud et au Seuil
- La sortie de l'album Chroniques décalées d'une famille ordinaire et vice-versa que l'on doit à Séverine Tales et aux éditions Payot Graphic
- La sortie de l'album Année zéro que l'on doit au scénario d'Ana Roy, au dessin de Mademoiselle Caroline et c'est édité chez Delcourt
- La sortie de Gertrude Stein et la génération perdue que l'on doit au scénario de Valentina Grande, au dessin d'Eva Rossetti et c'est édité au Seuil
- La sortie de l'album Orson Welles, l'inventeur de rêves scénarisé que l'on doit au scénario de Noël Simsolo, au dessin d'Alberto Locatelli et c'est édité chez Glénat
- La sortie en intégrale d'Une semaine sur deux, un album que l'on doit à Pacco et aux éditions Fluide glacial
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