L'euro n'est pas - et ne peut pas être - une objet économique. Il n'est même pas un objet politique. Il est devenu une obsession, un fantasme, celui qui dévoile, en réalité, ce grand désir de nombreux responsables et dirigeants politiques de se fondre dans une masse indifférenciée pour échapper à leurs responsabilités, et poursuivre, en toute impunité, un but d'enrichissement personnel.
L'euro fut donc vendu aux populations (et aux électeurs) sur la base de mensonges répétés, mensonges enrobés dans un discours se donnant pour scientifique, mais qui en l'était nullement.
L'euro, il faut le savoir, pousse, aujourd'hui, au suicide des milliers de personnes; l'euro est un tueur de pauvres gens.
On est entré dans le domaine du religieux dès que l'on évoque une sortie de l'euro.