Il n'aurait pas fallut que ce texte soit plus long. Il faut jouer du cerveau à chaque fois pour savoir bien quel jour on est, le récit étant tout sauf chronologique. Cependant il ne manque pas d'intérêt, et son écriture est superbe! J'avoue cependant, après avoir gardé mon souffle une quinzaine de pages, avoir expiré à la dernière phrase (celle-ci étant d'ailleurs une bonne fin).
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Les souvenirs sont des plaies cruelles que la mémoire s'amuse à creuser. Combien de fois me suis-je réprimandé !
Interview de Pierre Léauté dans le podcast Double Vie