Dans ce contexte théorique, l'usage que Pier Paolo Pasolini fait de cette notion ne peut que surprendre. Il marque cette singularité par l'emploi d'italiques et favorise la consonance française bien que d'origine italienne, du terme qui se pare d'une singularité immédiatement plurilingue. Pasolini n'hésite pas à qualifier ses oeuvres de pastiche et à utiliser cette notion de façon extrêmement constructive pour décrire les jeux de mixité stylistiques et linguistiques qu'il retrouve chez d'autres artistes.