Ici, quand une femme prend les armes, ce n’est pas pour détruire mais pour créer. Chez Murièle Camac, les armes sont des vêtements, des couleurs, des odeurs, des listes de noms d’oiseaux, des chants de vie et de mort, des danses aux noms changeants — « la danse de l’enfant, de l’animal, de l’arbre ou de l’herbe ».
Dans Une femme c’est un Indien, elle nous invite à « un voyage, une quête, une Amérique ». Empruntant les codes du Western pour nous placer...
>Voir plus