La question du genre se distingue de celle de la classe sociale. Quelle que soit leur pauvreté, les hommes ne perdent pas leurs privilèges d'hommes, quand bien même ils ne jouissent pas des privilèges procurés par la richesse.
I have chosen to no longer be apologetic for my femininity. And I want to be respected in all of my femaleness. Because I deserve to be.
But by far the worst thing we do to males—by making them feel they have to be hard—is that we leave them with very fragile egos. The harder a man feels compelled to be, the weaker his ego is. And then we do a much greater disservice to girls, because we raise them to cater to the fragile egos of males.
What if, in raising children, we focus on ability instead of gender? What if we focus on interest instead of gender?
The problem with gender is that it prescribes how we should be rather than recognizing how we are. Imagine how much happier we would be, how much freer to be our true individual selves, if we didn’t have the weight of gender expectations.
S’il est vrai que notre culture ne reconnaît pas l’humanité pleine et entière des femmes, nous pouvons et nous devons l’y introduire
Nous apprenons la honte à nos filles. Croise les jambes. Couvre-toi. Nous les persuadons qu'elles sont coupables simplement parce qu'elles sont de sexe féminin. aussi, en grandissant, deviennent-elles des femmes incapables d'exprimer leur désir.
Le vocabulaire du mariage est souvent un vocabulaire de possession, non un vocabulaire d'échange.
Nous apprenons aux files à se diminuer, à se sous-estimer.
Nous leur disons : tu peux être ambitieuse, mais pas trop. Tu dois viser la réussite sans qu'elle soit trop spectaculaire, sinon tu seras une menace pour les hommes.
On va prendre une pizza d'abord, a-t-il dit. C'est quelque chose qu'il faut aimer, en Amérique. (p. 32)