Convoquant tour à tour les parques, le roi Lear ou se réclamant de
Pirandello.
Marc Agapit entraîne son lecteur, trop confiant, tout au long d'un récit en forme de poupées gigognes.
Les femmes y sont réduites aux rôles des parques : donneuses de vie, décidant de l'avenir de l'homme et enfin, lui infligeant la mort.
Fatales le plus souvent, elles incarnent chez l'auteur la fatalité, le destin impitoyable auquel l'homme ne pourra échapper qu'en de pitoyables pirouettes et convulsions.
Edifiant et... angoissant !