Neuf siècles de relations contradictoires entre les monarques et leurs sujets s'achèvent par une condamnation à mort d'un souverain plutôt bon enfant, respectueux de ce peuple qu'il ne méprisait pas, mais auquel il ne savait guère s'adresser directement.
Plutôt pacifiques et obéissants, les différents peuples vivant sur le territoire du royaume de France espèrent toujours que le souverain entendra leurs souffrances, qu'il sera plus juste, qu'il renverra les mauvais ministres responsables de tous leurs maux. Le roi ne peut être mauvais, puisqu'il tient son pouvoir de Dieu.