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Critiques filtrées sur 4 étoiles  
J'ai longtemps été réticent à me plonger dans les écrits de Jane Austen, craignant d'avoir à ingurgiter des pages de romances mièvres et d'ennuyeuses descriptions d'une société anglaise inintéressante. (Mea culpa pour cet a priori infondé)
J'ai pourtant été bien avisé, lorsque j'ai déniché ce court roman dans une boîte à livres et que j'ai laissé libre cours à ma curiosité.
J'avoue avoir été agréablement surpris par le style de Jane Austen, que je trouve plein de charme.
Bien sûr, il pourra paraître à certains quelque peu démodé et posséder des tournures qu'on jugerait inhabituelles de nos jours.
Pour autant, c'est avec élégance et une ironie toute britannique que Jane Austen dénonce certains traits de la "bonne société" anglaise au travers d'une histoire somme toute assez banale.
La peinture qu'elle en fait s'avère représentative des travers de ce début de 19ème siècle, marquée de snobisme, d'hypocrisie et de futilité.
A lire.

Challenge saisonnier : L'été 2022
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Catherine Morland n'est pas la plus connue des héroïnes de Jane Austen, mais ça ne veut pas dire qu'elle ne soit pas digne de dévorer les pages où elle se débat dans toute la naïveté de sa jeunesse entre son imagination et la réalité. La pauvre Catherine n'a pas toujours l'esprit très vif, comme dans ses amitiés par exemple où il lui faudra un certain temps pour distinguer entre les protestations d'amitiés farouches de certaines personnes, peu suivies d'actes ou alors pas des bons, et l'amitié plus saine, plus calme offerte par d'autres.
J'avoue ne pas l'avoir trouvée très sympathique. Pas pour sa naïveté, qui pourrait vraiment reprocher à une jeune fille de seize printemps élevée à la maison à une telle époque, mais pour son indiscrétion! Je m'explique: la voici invitée à Northanger Abbey, ancienne abbaye et lieu de résidence d'amis qu'elle vient de se faire. Et donc, emplie de rêveries glanées dans les romans gothiques, elle s'imagine passages secrets, double fonds dans les meubles, voire membres de la famille tenus au secret depuis des années...Et donc la voici qui fouille les terroirs de la chambre où elle dort, s'introduit dans des appartements où elle n'a pas été invitée!
C'est assez léger, ça manque du piquant de Lady Susan par exemple, mais c'est néanmoins très agréable à dévorer. Peut-être pas le Jane Austen à relire, mais tout de même un agréable moment de lecture.
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Après mon coup de coeur pour Orgueil et préjugés, il était temps que je poursuive mon aventure avec Jane Austen. Si je connaissais déjà l'intrigue de Northanger Abbey (grâce au téléfilm de la BBC, que j'avais d'ailleurs adoré), j'avais pour autant hâte de me plonger dans cette lecture. Nous y retrouvons bien sûr la plume ironique et mordante de l'auteure. J'ai à nouveau été conquise, même si… ce roman n'est assurément pas mon préféré de Jane Austen. L'héroïne se montre en effet plutôt sotte, de par son manque de connaissance du monde, et je vous avoue l'avoir très souvent trouvée agaçante. Heureusement, son caractère rêveur et ses divagations autour de l'abbaye m'auront fait beaucoup rire et sourire. Et puis il y a Henry Tilney… S'il ne possède ni le charisme ni le caractère ombrageux d'un Darcy, il se montre doux et prévenant. En bref, on le laisserait bien nous faire la cour. ;-) Aussi, si je n'ai que moyennement réussi à apprécier l'héroïne, j'ai beaucoup aimé découvrir Tilney et sa soeur, Eleanor. Ils se montrent tous deux extrêmement attachants. Pour résumer : un roman sympathique qui est loin de détrôner, selon moi, Orgueil et préjugés mais qui réserve quelques surprises. Et quoi qu'on en dise, Jane Austen reste et restera Jane Austen. Pour notre plus grand plaisir.

Catherine Morland a tout juste 17 ans lorsqu'elle quitte sa famille, et la campagne anglaise, pour la première fois de son existence. le but de la manoeuvre ? S'installer à Bath et faire de nouvelles connaissances, et ce grâce à l'invitation des Allen qui se proposent de lui faire découvrir la ville et de l'héberger. Catherine y fera très vite la connaissance d'Isabelle Thorpe qui l'enchantera de par sa vivacité et sa connaissance du monde ; se fera courtiser par Henry Tilney qu'elle rencontrera lors d'un bal et… par John Thorpe, frère d'Isabelle.

Mes passages préférés demeurent assurément le tout début du roman (l'arrivée de Catherine à Bath) ainsi que le séjour à Northanger. Par l'intermédiaire de l'héroïne et de son engouement pour la lecture et les romans gothiques, Jane Austen glisse de nombreuses références. Je dois dire que depuis, j'ai très envie de lire Les mystères d'Udolphe d'Ann Radcliffe ! (J'ai donc beaucoup aimé cet aspect-ci). de même que j'ai adoré suivre le déroulement des idylles diverses et leurs quelques rebondissements… J'ai pour autant été étonnée par le fait que dés que Catherine rencontre Tilney, on se dit que c'est quasiment du tout cuit, qu'on connaît déjà la fin. Finalement (et heureusement), la suite de l'intrigue nous prouve le contraire, et la fin du roman ne sera même dévoilée que dans les toutes dernières lignes… J'ai par contre trouvé les ficelles un peu grosses concernant le changement d'attitude du général à l'égard de Catherine. Ceci doit pourtant illustrer les dures réalités de l'époque. Heureusement, pour moi la fin est tout simplement parfaite.

Lire Jane Austen est pour moi toujours un enchantement. Dés que j'ai besoin d'un roman doudou, je sais que je n'ai plus qu'à piocher parmi ses quelques titres, et je compte poursuivre mon tour d'horizon de ses écrits. Si Northanger Abbey n'est peut-être pas idéal pour une première immersion dans l'univers austenien, il n'en demeure pas moins agréable à lire.
Lien : http://labibliothequedebened..
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J'ai continué à découvrir Jane Austen avec L'Abbaye de Northanger.
Un roman plus court que ceux que j'ai lu précédemment.
Le style du départ m'a beaucoup plu, dynamique et plein d'humour, malheureusement à partir du chapitre III, je l'ai perdu.
J'ai aimé le fait que Jane Austen s'adresse au lecteur comme je l'avais apprécié chez Stendhal.
L'héroïne est intéressante, très différente de celles des romans lu précédemment dans lesquels elles sont toutes très belles, très cultivées...
Autre élément original, L'Abbaye de Northanger (le titre du livre) n'est évoquée qu'à plus de la moitié du livre, et c'est d'ailleurs à peu près à ce moment que l'on voit venir la fin qui, du coup, est vraiment trop prévisible.
On perçoit tout au long de cet ouvrage une volonté de défendre les romans en général, considérés à l'époque comme un genre littéraire de second ordre.
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Northanger Abbey est le dernier roman de Jane Austen qu'il me restait à lire et certainement celui sur lequel j'avais le plus de réticences. Présenté comme une parodie de roman gothique je n'en attendais pas grand chose. Finalement il s'avère que c'est le roman d'Austen que j'ai préféré. J'ai trouvé le ton très léger et le style bien plus accessible que dans ses autres livres. L'auteure se moque ouvertement de ses personnages et de son intrigue, de tous les clichés véhiculés par le style gothique. Je ne pensais pas qu'un roman de Jane Austen pourrait un jour me faire rire. Ça a pourtant été le cas ici. le personnage principal hyper naïf m'a cependant parfois fait soupirer d'exaspération. Plus que l'intrigue c'est vraiment le style qui m'a fait dévorer Northanger Abbey. J'ai adoré.
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Parmi mes nombreux projets de lectrice , me tenait à coeur d'embrasser la courte mais dense oeuvre de Jane Austen en l'abordant par une approche chronologique .
Relire Orgueil et préjugés , Emma , Mansfield Park ne sera que bonheur . Découvrir les moins connus aussi .
A commencer par Northanger Abbey : toute première oeuvre . Donc pas la plus aboutie ,mais peut-être bien la plus irrévérencieuse , jeunesse audacieuse , frimousse au vent et plume grinçante joyeusement .
Alors oui , la jeune Austen , dans sa volonté de s'affirmer et d'épingler le petit monde auquel elle appartient s'en donne à coeur dans les déclinaisons facétieuses toutes plus outrancières les unes que les autres !
Jusqu'où ira-t'elle dans le trait caricatural ?
Rien ne l'arrête , et finalement ce roman tout de fanfreluches dehors , est avant tout une immense farce , parodie du roman gothique en vogue à l'époque ( appelé aussi roman noir ) , parodie aussi du roman sentimental à quatre sous dont s'abreuvaient les jeunes filles de l'époque , prétexte aussi pour dénoncer l'ordonnance de cette société fin XVIII , début XIX dans les campagnes "bourgeoises" anglaises , cette "Gentry" sans équivalence en France ou ailleurs, où l'esprit semble bien à l'étroit dans le carcan d'une éducation vierge de toute forme d'émancipation : Jane Austen ouvre la porte à une forme de rébellion par une verve ironique , toute insolence déployée vers le grand vent de la liberté ,un souffle de féminisme qui ne revendique encore rien mais porte juste un regard étonnamment pointu sur les moeurs de son époque .
Quant à l'histoire de ce roman , les résumés sur le net font légion , je m'en ferai donc l'économie . du reste , afin de conserver toute la saveur à cette lecture franchement jubilatoire , il serait dommage que je la déflore par un résumé . L'histoire n'a de richesses et d'intérêt que dans son jus , sa forme unique et résolument novatrice pour l'époque .
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Catherine Morland est une héroïne attachante, malgré son esprit romanesque. Toute une gamme d'émotions la traversent tout au long du roman: espoirs, craintes, envies, joies, frustrations. Jane Austen nous décrit ses états d'âme, avec une grande finesse.

Le hasard fait bien les choses, à Bath, elle fait la connaissance d'un jeune homme: Henry Tilney, dont elle semble apprécier la compagnie. Peu à peu, elle se rapproche de sa famille.
Catherine se lie également d'amitié avec Isabella Thorpe. Malheureusement, toutes les relations ne sont pas forcément destinées à durer. Question d'intuitions et de sentiments.

Je n'ai peut-être pas éprouvé autant de plaisir à la lecture qu'avec Orgueil & Préjugés, cependant, j'ai passé un bon moment à Bath, puis à l'abbaye de Northanger, à suivre l'évolution des relations de la jeune femme.

J'ai également apprécié le petit clin d'oeil aux romans gothiques, avec "Les Mystères d'Udolphe", cité à plusieurs reprises et qui semble influencer profondément l'affect de Catherine.

Ce roman abrégé devrait permettre aux plus jeunes de découvrir Jane Austen et son écriture vraiment unique.
Lien : http://www.lelivroblog.fr/ar..
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Parlons peu mais parlons clair, les romances, ce n'est vraiment pas ma tasse de thé, d'ordinaire. Or, j'ai vraiment beaucoup aimé ce roman. Il faut dire qu'il n'a, dans le fond, rien d'une romance "classique".
Car la romance ici n'est que le prétexte de Jane Austen à décrire une société bourgeoise qu'elle connait bien, manifestement. Et quelle description ! Ironique, acide, corrosive, ô mon dieu, mais quel plaisir à lire ! Quel style, quelle classe !

C'est juste jouissif. Ses personnages sont admirablement brossés, dans le ridicule, surtout, depuis la vieille pie bête uniquement préoccupée de robes (Mrs Allen), en passant par la fausse amie hypocrite à mort qui ment éhontément (Isabelle) pour faire un mariage le plus intéressant possible pécuniairement parlant, son frère lourdaud, bête, même tant il est égocentrique, au vieux riche obséquieux uniquement préoccupé de s'enrichir un peu plus par les mariages de ses enfants (Le général Tilney).
Une galerie de portraits peu flatteurs et réjouissants ! Bon, ce roman fait "critique" assez ouvertement, car il y a régulièrement des remarques personnelles de l'auteur, ce qui est un peu perturbant quand on le lit "comme un roman", au départ. Mais on s'y fait facilement.
Bref, pour un genre qui n'est pas à l'origine "ma tasse de thé", j'ai beaucoup apprécié et me suis bien amusée en lisant cette satire sociale de l'Angleterre de l'époque !
Catherine est mon personnage préféré ! Si elle est innocente et ignorante des usages du monde où elle débarque à Bath, elle n'en est pas moins centrée, et elle n'est ni bête ni naïve. Elle a un excellent jugement quand les gens se dévoilent, et si elle a une fâcheuse tendance à se fustiger durement, elle se pardonne facilement aussi et se fait confiance, c'est une jeune fille "bien", comme on dit, venant d'une famille "bien" également. Un très joli personnage féminin assez loin de l'oie blanche que j'ai vu décrite ailleurs... La preuve, elle mène parfaitement sa barque jusqu'au but qu'elle s'est clairement fixé dès le début, épouser Henry ! Arf !

"Jane Austen est charmante et féroce, bien élevée et impitoyable." (le monde, quatrième de couverture). C'est exactement ça ! Je voulais connaître au moins une de ses oeuvres, c'est fait, et je ne regrette pas une seconde mon choix, je pense d'ailleurs avoir choisi le meilleur en fonction de mes goûts !

Le petit moins : force est de constater que par moments, quand même, je me suis un brin ennuyée... J'ai passé certaines descriptions d'endroits assez vite...
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Tandis que j'ai vu et revu bien des fois toutes les adaptations possibles et imaginables de Jane Austen sur grands et petits écrans, c'est loin d'être le cas des romans d'origine. Alors j'aime profiter des belles rééditions françaises que nous proposent les éditeurs. J'ai ainsi relu Orgueils et Préjugés, le plus connu, ainsi que Persuasion, mon chouchou, mais je ne l'avais pas fait pour Northanger Abbey, peut-être le titre le plus singulier de la bibliographie de l'autrice.

Je parle de titre singulier car Northanger Abbey contrairement aux autres titres de l'autrice ne met pas vraiment en avant une romance entre deux jeunes gens que l'on suivrait avec avidité. Dans ce roman, écrit parmi les tout derniers par l'autrice, celle-ci, de sa plume simple et plaine d'allant, nous compte plutôt les mésaventures d'une jeune fille confrontée à la société de ses pairs lors d'un voyage à Bath. C'est plus cet angle satirique de la société que la romance que j'ai eu l'impression de voir développé, d'où ma légère déception car ce n'était pas ce que j'avais en mémoire.

Cependant, grâce à la belle plume de l'autrice, j'ai trouvé que ce roman d'un peu plus de 300 pages se lisait fort facilement sans la langue ampoulée que l'on peut retrouver dans les mêmes situations dans d'autres de ses premiers écrits comme Amour et amitié et Orgueils et Préjugés. Ici, bien qu'écrit à la même période et bien qu'expérimentant plusieurs styles, ambiances, elle a une plume plus légère, plus directe et plus drôle et incisive aussi.

Dans les points positifs, j'ai également beaucoup aimé les propos féministes qui se glissent parfois dans les conversations. C'était très intéressant, pour ne pas dire révolutionnaire de voir une autrice célibataire du début XIX évoquer la place volontairement réduite de la femme dans l'histoire, la littérature et au sein des couples.

L'ambiance gothique et l'intérêt général pour les romans de cette mouvance, fut aussi l'un des éléments qui m'a le plus plu ici. J'avais adoré cela dans l'adaptation de la BBC et j'ai trouvé ça chouette de le retrouver ici, même si soyons honnête ce fut un peu trop ténus à mon goût et que je m'attendais vraiment à ce que ce soit LE truc en plus de ce titre par rapport aux autres de l'autrice.

Globalement, j'ai trouvé la première partie du récit pleine d'entrain grâce à l'engouement premier de l'héroïne qui découvre la vie en bonne société à Bath, sauf que c'est vite devenu long et cela s'est essoufflé. Même si c'était bien fait, je n'ai pas accroché à l'idée de centrer l'histoire sur la vie en société, les apparences, les mensonges et le paraître à Bath. Il y avait bien trop de personnages détestables, manipulateurs, dominateurs et toxiques même parfois. J'ai également trouvé à plusieurs reprises des répétitions, notamment avec ces fameux Upper Rooms, lieux où il faut être vu, dont elle n'arrêtait pas de parler. Mais bien sûr, c'est avant tout une question de goût car l'autrice croque très bien les déviances de ce trait de la société d'alors et s'en moque avec mordant.

J'ai donc eu espoir de trouver la seconde partie plus intéressante dès que l'héroïne, Catherine, se rend chez les Moreland loin de Bath. Les Moreland sont un frère et une soeur de qui elle s'était rapproché et qui n'entraient pas dans le jeu des autres gens détestables de Bath. C'était donc une bouffée d'air frais que ce séjour à la campagne. C'était en plus le passage de l'oeuvre dont je me souvenais le plus et qui devait m'offrir les scènes gothiques que j'attendais. Il y a bien eu quelques scènes inquiétantes au début où l'imagination de l'héroïne, à cause des romans gothiques qu'elle lit, lui joue des tours. J'ai trouvé ces brefs passages, trop brefs à mon goût, vraiment drôle et savoureux, avec une petite dose de loufoquerie bienvenue pour dénouer cette ambiance un peu plombante depuis les débuts. Mais ensuite, l'autrice s'enlise dans trop de non-dit et on repart sur cette fameuse haute société toxique rencontrée à Bath. On tourne un peu en rond.

Ainsi moi qui ai toujours lu Jane Austen pour ses histoires d'amour, comme celle-ci fut très très discrète et liée surtout à une satire de la société qui place l'argent avant tout, je n'ai pas trop accroché à cette histoire. Je pensais que l'aura gothique du titre serait ce qui me raccrocherait mais ce fut bien trop ténu. L'absence de romance (ou presque) m'a dérangée parce que je sais qu'elle sait tellement bien les écrire et qu'elle m'a souvent fait rêver avec. Ainsi même si c'est très bien écrit et que la critique de cette société des apparences et de ses ravages est bien faite, je n'ai pas été comblée. Heureusement, je me suis consolée avec la superbe édition de Milady - Hauteville qui tient toute ses promesses avec ses jolies reproductions de gravures d'époque et sa belle couverture blanche toilée complétée de dorures. Une merveille !
Lien : https://lesblablasdetachan.w..
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Un très bon Jane Austen mordant et incisif. le portrait de la société anglaise de l'époque est toujours aussi bien retranscrit et passionnant. L'histoire racontée, plaisante, est surtout là pour servir le message que souhaite transmettre l'auteur à ses lecteurs et cela fonctionne tout particulièrement. Une nouvelle belle lecture de l'auteur qui, même si elle a été écrite au XIXe siècle, reste très moderne dans son propos.
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