C'est à partir de ces mois-là qu'on a commencé à fusiller des troupiers pour leur remonter le moral, par escouades, et que le gendarme s'est mis à être cité à l'ordre du jour pour la manière dont il faisait sa petite guerre à lui, la profonde, la vraie de vraie. La scène se passe quatre semaines après le début de la guerre et c'est Louis-Ferdinand Céline qui la raconte (Voyage au bout de la nuit, 1932). A l'époque, personne n'ignore la vérité. Mais, depuis Bardamu, ... >Voir plus