Grisha, tome 1 : Les Orphelins du Royaume

J'ai beaucoup aimé ce premier tome !

J'ai bien aimé les personnages que j'ai trouvé très bien construits !
Quand à l'univers, il est très bien construit, très riche et complet !

L'intrigue est bien construite et prenante, vraiment addictive !
C'est un roman qui se lit très facilement !

Cette chronique ça fait des mois et des mois que je dois l'écrire! Pour tout vous dire, j'ai lu ce premier tome de Grisha en Février ou en Mars… c'est pour vous dire le retard que j'ai! On ne dira rien, c'est pas grave mieux vaut tard que jamais comme on dit! A chaque fois je me disais qu'il fallait que je l'écrive pour ensuite lire le second tome mais à chaque fois ce fut un échec! Mais ce mois ci j'ai mis le tome 2 dans ma PAL, au moins ça me force à l'écrire et voilà!

Plus besoin de présenter cette saga, ni cette auteure depuis le temps! L'univers du Grishaverse est devenu un incontournable de la fantasy. Je dois vous avouer qu'au début j'ai eu peur de me lancer. Je ne sais pas vous, mais pour ma part quand j'entends énormément parler d'une saga sur Bookstagram, quand je vois tout le monde aimer un roman ou une saga, j'ai peur de la lire. En effet, j'ai tellement d'attente sur le livre en question avec tous ces avis que j'ai peur d'être au final énormément déçue.

Ici ce ne fut pas le cas. En effet, ce fut même un petit coup de coeur. J'ai vraiment adoré l'univers de Grisha et je l'ai vraiment dévoré. J'ai enfin pu découvrir la plume de Leigh Bardugo avec ce premier opus. Je suis vraiment fan de sa plume. Elle est fluide et addictive. Elle est très plaisante à lire et on tourne les pages sans même s'en rendre compte. Elle a vraiment fait un travail monstrueux et encore je n'ai lu que le premier tome de Grisha et aucun autre roman issu du Grishaverse. Mais l'univers qu'elle propose est vraiment remarquable, on sent bien le travail de dingue derrière. J'avais un peu peur d'être perdu au début. Et ce fut le cas, j'ai eu un peu de mal à me faire au vocabulaire imaginaire qu'elle utilise et qui est très présent mais au final on s'y fait vraiment très vite. D'ailleurs, avant même de commencer la lecture, on a droit à un petit récapitulatif qui explique quelques notions et je trouve ça vraiment cool.

Concernant l'intrigue, mon dieu que dire? L'univers est si complexe et si complet qu'il y a vraiment énormément de choses à dire sur ce premier tome. On va suivre le personnage d'Alina, une orpheline apprentie cartographe. Elle a été déclarée normale lors de l'examen qu'on pratique sur chaque enfant. Et pourtant, alors qu'avec son régiment elle doit traverser le Fold, une sorte de brume qui sépare le pays. Malheureusement, son régiment se fait attaquer par des créatures pour le moins étrange et son véritable pouvoir se révèle au grand jour. Elle est en fait une Grisha, une Grisha très spéciale puisqu'elle s'avère être la solution au problème du Fold qui divise le pays…. Elle qui d'habitude ne se démarque pas, elle devient tout à coup un être exceptionnel.

J'ai beaucoup aimé le personnage d'Alina. Elle est vraiment touchante pendant tout le long du roman. Elle a beaucoup de doutes à cause de son nouveau rôle, pas mal de faiblesses aussi. Mais plus on tourne les pages, plus elle devient forte. Son caractère se renforce, elle apprend beaucoup d'elle même et à la fin, je trouve, que nous n'avons plus la même Alina devant nous. On a deux personnages masculins qui se démarquent. On a tout d'abord Mal, le meilleur ami d'enfance d'Alina. Un personnage que j'ai beaucoup aimé. La relation entre Mal et Alina m'a vraiment beaucoup plu même si Mal m'a fait levé les yeux plus d'une fois! LE deuxième n'est nul autre que le Darkiling. Mon personnage préféré de ce premier tome. le Darkling est le chef des Grisha, c'est le personnage le plus puissant et tout le monde le redoute. Dès son apparation, j'ai tout de suite adoré ce personnage. Il est sombre, intriguant, fascinant à découvrir. Rien qu'en lisant, on se rend compte de l'aura qu'il dégage, moi même j'avais l'impression d'être sous son emprise. Ce personnage est vraiment incroyable, c'est le genre de personnage détestable mais qu'on aime par dessus tout. C'est pour moi LE personnage de ce roman.

Comme je le dis un peu plus haut, j'ai adoré l'univers créer par l'auteure. Les paysages inspiré de la Russie du 19ème siècle sont remarquables. Je me suis vraiment retrouvé plongé au coeur de la Ravka aux côtés de nos personnages. Une immersion complète dans le monde des Grisha, ces magiciens au service du royaume. Un royaume que l'auteure à travailler à la perfection. Vraiment tout dans ce roman est pour moi incroyable. le travail derrière est vraiment monstrueux. Et son immagination est vraiment sans limite.

Ce premier tome de Grisha m'a clairement envoûtée. Tout m'a plu, la plume de l'auteure fantastique, les personnages fascinants, l'univers tellement original et incroyable. Je comprends mieux maintenant le pourquoi du comment, pourquoi tout le monde en dit que du bien, pourquoi tout le monde aime. Je rejoins clairement leurs avis. J'ai plus que hâte de me plonger dans le deuxième tome mais également me plonger dans les autres romans du Grishaverse. Six of crows ou encore King of Scars j'ai tellement hâte de vous lire!


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J'ai, comme beaucoup en ce moment j'imagine, acquis les volumes de "Grisha" suite à mon visionnage de la série adaptée par Netflix (qui mélange allègrement les temporalités avec "Six of Crows" et "Grisha", mais passons).
Je pense qu'il est utile que je détaille avant comment j'en suis venue à les lire, car cela a très certainement conditionné un tant soit peu mon état d'esprit pour cette lecture.
Lorsque Netflix a proposé cet ajout à son catalogue, mon mari et moi pourtant friands de fantasy, avons fait la moue : ça avait l'air tellement ado, tellement manichéen... mais quand même, ces jolis manteaux brodés ont fait mouche sur nos esprits réceptifs aux beaux costumes, et nous avons sauté le pas. S'il est vrai que la trame est très classique et le méchant (renommé "Ténébrous" par mon cher et tendre) caricatural au possible et visible à des kilomètres, le traitement n'était pas aussi gamin et simpliste que ce à quoi nous nous attendions de prime abord.
Une assez bonne surprise, qui m'a fait acheter par curiosité, les romans correspondants.
J'ai tout d'abord lu "Six of Crows", qui se passe après, mais que j'ai réellement aimé, avant de me lancer dans "Grisha" (peut être aussi pour me laisser le temps de flouter mes souvenirs afin de ne pas être trop tentée de comparer la série aux romans toutes les 2 phrases).
Si l'on relève quelques éléments différents par rapport à l'adaptation télévisée ( le livre est réellement mieux, comme souvent), la trame globale est assez similaire.
Je ne suis pas du tout, mais alors pas du tout, cliente des histoires d'élu qui sauvent le monde, cela a tendance à m'exaspérer très rapidement et je ne trouve dans ces lectures aucun plaisir, uniquement des soufflements nasaux réguliers et des crispations de mâchoire intempestives.
Cependant dans Grisha, il y a une ambiance, un petit quelque chose, qui vous suit tout du long et fais que j'ai tellement apprécié ma lecture, que j'aimerais être en train de continuer le second plutôt que d'écrire cette review.
J'ai vu que les termes russes déplaisaient à certains lecteurs sur la toile, et pourtant cela permet d'insuffler dans l'esprit du lecteur un visuel global de Ravka, le pays où se situe l'action, sans se perdre dans des descriptions sans fin et faisant appel à des références que l'on n'a pas forcément.
Il est à noter que les autres pays qui apparaissent dans le récit ont chacun un archétype différent, aussi je pense pour ma part qu'il y a une réelle utilité justifiée à l'utilisation de ces termes exotiques pour nos yeux et nos oreilles français.
A contrario, les termes anglais non traduits m'ont bien plus dérangée (le Little Palace par exemple, nom bien trop commun parmi les hôtels du monde entier par ailleurs) .
Il y a de la romance (un peu), une quête initiatique (tout le long), et même Ténébrous m'a fait un petit quelque chose malgré sa théâtralité d'opérette.
L'héroïne est certes une ado avec des problèmes d'ado, et par conséquent on ne peut lui en vouloir d'avoir des réactions d'ado. de plus, c'est comme souvent dans ce genre de récit, elle est à la base complètement lambda et invisible, et va devoir apprendre à faire avec son nouveau statut.
Elle a un cheminement de pensée adolescent, évidemment, mais pas forcément bêta : elle pense à elle d'abord, tout en étant embêtée par un patriotisme naissant et de nouveaux amis, mais quoi de plus normal?
Il n'y a au contraire rien de pire que le personnage qui n'était rien au début et qui d'un coup se découvre une droiture de fer et une foi inébranlable dans un dessein plus grand que lui. Là est la vraie bêtise à mon sens, et donne naissance à des réactions qui ne sont pas plausibles pour deux sous.
Les personnages doivent être vivants, plausibles selon l'âge qu'on leur donne, et pour moi, Grisha déroule honnêtement ce qu'il promet, avec ce petit quelque chose qui le fait passer de "correct" à "mémorable".

Je ne sais pas trop écrire à propos de ma lecture, un bon moment mais je n'ai ni vraiment apprécié ni détesté. Je n'ai pas trouvé l'histoire très original par rapport à d'autres livres et je n'ai pas accroché avec les personnages peut être parce que j'avais déjà vu et apprécié la série.
C'est la première fois que je préfère une adaptation série ou film au livre lui même. Je vais donc attendre la saison 2 plutôt que de lire la suite.

En voyant toutes les annonces pour la série tirée de ce livre, j'ai foncé sans hésiter à la bibliothèque pour emprunter ce roman intriguant.
Et ce fut un coup de coeur immédiat.
J'ai dévoré cette aventure sombre et palpitante en une soirée, retardant allègrement l'heure du coucher.
L'univers est bien construit, les enjeux captivants et les personnages attachants, même s'ils mériteraient à être plus développés.
Malgré un style parfois un peu répétitif, j'ai apprécié la narration et le fait d'être dans les pensées d'Alina. La narration en première personne est, je trouve, un bon moyen d'immerger le lecteur dans un univers nouveau, car la familiarité du protagoniste avec son environnement permet d'éviter des interminables passages d'exposition.
J'attends avec impatience d'aller chercher les deux tomes suivants à la bibliothèque et de me replonger dans les aventures d'Alina.

Volume introductif, ce premier tome met en place les personnages principaux et la situation géographique et politique d'un pays divisé. Alina Starkov et Malyen/Mal Oretsev sont amis depuis l'enfance, ils viennent de rejoindre la Première Armée, principale armée du Roi composée de ravkans non grisha. Alors qu'ils traversent le Fold pour la première fois, leur vaisseau subit un attaque volcras à laquelle ils n'en réchappent que grâce à une puissante lumière qui émane du corps d'Alina. Ce pouvoir dont elle ignorait l'existence fait d'elle une grisha et surtout, l'Invocatrice de Lumière tant attendue. Devenue importante aux yeux de tous, elle est placée sous protection par le Darkling, le plus puissant grisha au monde.

Si le début et la fin du roman sont très intéressants à lire, j'ai trouvé le milieu assez long et vide. Alina arrive à la capitale pour suivre une formation grisha. Elle fait face à l'hostilité de certains et peine à s'intégrer. Rapidement, on sent combien il lui est difficile d'accepter ses pouvoirs et de les laisser sortir, elle semble trop souvent plus intéressée par ses toilettes et ses sentiments que par le destin qu'on lui promet. le principal intérêt de cette partie centrale est de pouvoir découvrir le Darkling. Décrit comme très séduisant, il n'est pas surprenant de voir rapidement se former un triangle amoureux. Personnage énigmatique et mystérieux, il semble détenir un pouvoir énorme et il est difficile de le cerner tant son comportement est déroutant la plupart du temps. Ami ou ennemi? Ce volume tend à nous le présenter sous différents aspects créant un certain attachement entre lui et Alina, lui et le lecteur, nous faisant douter de lui et de ses qualités même quand il se montre cruel.
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C'est parce que j'ai adoré l'adaptation Netflix « Shadow and Bone » que j'ai voulu tester les livres dont elle s'inspire. Quelle mésaventure !

Un royaume envahi par les ténèbres. Une élite magique qui se bat sans relâche contre ce mal. Des citoyens envoyés en pâture aux créatures qui peuplent le Shadow Fold. Parmi eux : Alina Starkov. L'avenir de tous repose sur les épaules de cette orpheline qui ignore tout de son pouvoir. L'Invocatrice de lumière. Voilà donc le synopsis de ce premier volet !

La particularité de l'adaptation est qu'elle se base sur une trilogie (Grisha), et deux duologies (Six of Crows et King of Scars), toutes évoluant dans le même univers. du coup, elle multiplie les personnages, le contexte est riche, on assiste à des sauts temporels, les personnages se rejoignent… Bref, c'est génial ! Tout le contraire de ce que j'ai ressenti pour le récit…

L'auteure n'exploite pas assez, à mon goût, son univers dans ce premier tome, les tirades adolescentes n'en finissent pas, et une certaine redondance m'a lassée. 337 pages qui m'ont parue une éternité. Et quel dommage ! Il y avait tant à dire, tant à construire ! Par exemple, si je n'avais pas vu la série, jamais je n'aurais compris que Leigh Bardugo s'inspire des tsars et fait évoluer ses personnages dans une version fictionnelle et fantastique de la Russie. Allez oui, pardon, on peut le deviner. Mais rien n'est exploité ! Je suis déception.

Moralité ? Pour une fois, je vous conseille mille fois la série dont je n'ai pas retrouvé la richesse dans ce premier tome. D'habitude, le livre regorge de détails et l'adaptation n'y fait pas honneur. Ici, c'est tout le contraire. le visuel porte le récit, le sublime. S'il n'avait pas été une sorte de support pour moi durant ma lecture, je l'aurais abandonnée…

Mais après tout, il s'agit de sagas young adult, alors que la série est, selon moi, tout public. Et c'est avec mes espoirs de lectrice adulte que je chronique ce premier tome…

C'est avec impatience, mais avec un peu d'appréhension, j'attendais de lire ce premier tome de la saga Grisha. J'ai beaucoup aimé l'ambiance de ce roman, tout comme le monde Grisha. le personnage d'Alina m'a plu, malgré de nombreuses critiques qui disent d'elle que c'est un personnage superficiel et d'une naïveté pure. Je l'ai trouvée attachante. le Darkling est un autre personnage qui m'a intriguée malgré le fait qu'après cette première lecture, je le considère comme le stéréotype du beau méchant ténébreux.
Ce qui m'a déplu c'est l'abondance des termes russes. Je suis plutôt attirée par tout ce qui touche à la mythologie slave, mais dans ce roman, le texte est parsemé de mots russes sans qu'on nous donne la moindre explication (même pas en bas de page) et j'ai trouvé cela très frustrant.
Je déplore également que la vie à l'orphelinat de Alina et Mal ne soit pas davantage décrite (est-ce que cela se fera dans les tomes suivants ?), je trouve que cela aurait apporté de la profondeur à la relation que partage les deux personnages.
Je vais lire le tome 2, mais principalement parce que je suis restée sur ma faim et que j'espère que l'univers créé par Leigh Bardugo gagnera en complexité dans les 2 tomes suivants.

Après avoir vu nombre de critiques positives et coups de coeur pour ce roman issu d'une trilogie, je me suis lancé tête la première... Vous savez bien qu'il ne faut jamais plonger la tête en avant s'est bien connu, le sol est parfois plus prés qu'on y paraît.

Un début qui commence mal en constatant dès les 30 premières pages que ca n'allais pas me plaire... J'ai senti la lourdeur employé au passé simple, et les répliques un peu raide des personnages.

En fait, je n'ai pas vraiment apprécié ce roman qui commence par : il était une fois l'histoire d'une orpheline qui va se découvrir envers et contre tous le plus grand pouvoir jamais connu.

Elle devra accomplir une importante mission, celle de sauver le monde entier des griffes d'un terrible et séduisant despote qui a soif de pouvoir. Il est absolument narcissique, un poil bipolaire, mais c'est bien connu, on est forcément attiré par les mecs ténébreux sur qui ont ne sais pas sur quel pied danser.

L'héroïne devra affronter son destin par la densité de son pouvoir si grandiose soit-il, qui est jalousement convoité, ce qui lui vaudra quelques tours de force... le tout en étant une vrais drama queen, mais qui rumine que dans sa tête, qui essaye d'être humble et courageuse, mais qui manque de maturité.

Rajoutons ce que je déteste le plus : de la romance dans un speudo triangle amoureux son coeur balance. Fort heureusement que la chance est de son coté, car j'ai trouvé que tout son périple est largement prémédité.

Je ne jette pas la pierre a ceux qui ont aimé, mais la suite se passera de moi... La série TV est déjà beaucoup mieux cependant!

Je n'ai pas plongé dans l'univers de Leigh Bardugo, le Grishaverse, par le commencement. J'ai d'abord découvert ce monde de magie en lisant Six of crows.
Shadow and Bone est le premier tome de la trilogie. Il raconte l'histoire d'Alina et de Mal, deux orphelins qui deviennent soldats du roi de Ravka. Jusqu'au jour où, par accident, le pouvoir d'Alina se révèle. Et il s'agit d'un pouvoir hors du commun parmi les Grisha. Elle est alors emmenée au palais du Darkling, le Grisha le plus puissant du pays, pour y recevoir une formation et développer son pouvoir.

Intrigue à la cour, magie, un soupçon de romance, et de créatures mystérieuses, ce premier tome coche à peu près toutes les cases pour être une vraie réussite. C'est un vrai bonheur de plonger dans le monde de Leigh Bardugo, et son écriture est fluide et imagée (d'autant que je lis ce roman en V.O.).