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3,78

sur 163 notes
Une enquête à l'ancienne bien sympathique (même si elle se déroule à notre époque) ; un peu dans le genre d'Agatha Raisin. Il s'agit apparemment d'une série de romans avec ces personnages enquêteurs et je lirai une autre de leurs aventures avec plaisir. Ce n'est pas mon style littéraire de prédilection mais cette auteure ajoute une touche de feelgood, de romance... qui forment un mélange agréable à découvrir. Une jolie découverte !
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Je connaissais déjà la plume de Sylvie BARON, pour avoir lu “Le cercle des derniers libraires”, que j'avais beaucoup apprécié.
Celui ci est également très bon roman, tout en étant un plus vif et piquant.

C'est l'histoire de 2 femmes fortes, Nina, la nièce, volcanique et directe, qui veut innocenter le père des ses enfants, et Joséfa, la tante, une Miss Marple plus posée, avec un vif sens de l'observation, analysant et cernant rapidement le caractère de chacun des suspects.
J'ai aussi beaucoup aimé la façon dont Josépha prend soin, avec tendresse, de ceux qui ont été le plus malmené par la vie.

Avis donc aux amateurs d'histoires de famille, de liaisons amoureuses et de secrets industriels...
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Second roman moi de cette auteure, que j'ai découverte avec le cercle des derniers libraires.
A nouveau une belle découverte.

Sylvie Baron semble aimé situer ces romans dans le centre de la France, j'ai eu plaisir à découvrir ce p'tit coin où j'irai bien passer quelques jours de vacances.

Ici, nous suivons l'enquête de Nina et Joséfa au sein de la famille Vitarelle.

Jacques, s'est suicidé en prison, accusé du meurtre de belle-mère, qui était également son employeur et sa maîtresse. Oui, oui, tout ça à la fois.
Nina, tient absolument à blanchir son Jacky, non pas qu'elle soit sa femme et fille de Mme Vitarelle, non, loin de là, elle était également une des ses nombreuses maîtresses. Mais si elle tient tant à la blanchir, ce n'est pas par amour, elle ne fait plus d'illusion depuis longtemps, non, c'est qu'il est le père de ses enfants....

Le décor planté, nous pénétrons dans l'univers des parapluies, de luxe les parapluies.

Le clan Vitarelle à fonder sa fortune sur ce produit et Mme Vitarelle à élevé ses enfants afin de prendre sa succession.
Dans la compétition, dans l'humiliation, dans les brimades.

Tous avait une raison de l'assassiner mais qui a fait le coup?

Nous avons accès au moindre pensée de chacun des personnages, aucun détail ne nous échappe afin d'enquêter avec Joséfa qui n'en ai pas à sa première enquête visiblement.

Et pourtant, le dénouement est plus que surprenant.

Il y a également de l'amour dans l'air, mais les tourtereaux arriveront-ils à mettre de cotés leur passé et leur ressentiment face aux mensonges, non plutôt au non dits?

J'espère vous donnez envie de découvrir cet univers.
Bonne lecture!
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À Vic-sur-Cère, dans le Cantal, la villa Médard en impose par son élégance, ses secrets bien gardés, ses vies forgées autour de l'industrie du parapluie et... d'une femme d'affaires exceptionnelle au tempérament violent, Hélène Vitarelle. Son assassinat est un coup de tonnerre.
Tout accuse son gendre, Jacques Naucelle, mais la seule à être persuadée de son innocence est sa maîtresse, Nina. La jeune femme ne voit qu'une personne capable de faire éclater la vérité : sa tante Joséfa, qui se laisse convaincre d'entrer au service de la famille Vitarelle pour mener sa propre enquête.
Fine mouche sous ses rondeurs avenantes, Joséfa va mettre à nu les rouages d'une diabolique machination.
J'ai beaucoup apprécié ce roman et ses personnages.
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Mon premier livre de cette auteure et visiblement pas le premier des aventures de Joséfa 😉. Pas de soucis toutefois à ne pas lire dans l'ordre il me semble, je ne me suis pas sentie passer à côté de quelque chose d'essentiel. Au mieux les notes de bas de page pour expliquer la référence à un autre tome peuvent donner envie de les lire.
La lecture n'était pas désagréable. Je n'ai pas accroché beaucoup au style de description de Sylvie Baron mais ça ne m'a pas déranger de trop. Pour mon goût personnel, je la classerais dans les auteurs que je peux lire mais il y en a bien d'autres que je préfère qui passeront avant.
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Je me suis encore faite avoir ! Je m'explique : l'année dernière j'avais acheté le cercle des derniers libraires de la même autrice, pour son titre, sa couverture et son intrigue d'enquête. J'avais été déçue car j'avais trouvé que l'intrigue était plus centrée sur une amourette que sur l'enquête en elle même, laquelle se dénoue comme par magie à la fin, beaucoup trop de dialogues qui n'apportent rien, et j'en passe.
J'ai voulu laisser une deuxième chance à l'autrice avec le parapluie de la discorde et sa couverture à la cosy mystery. Grand bien m'en fasse ! Je l'avoue, je ne suis pas allée au delà de deux chapitres. Je n'aime pas l'écriture, les trop longues descriptions inutiles et l'ambiance. Tant pis, on ne m'y reprendra plus.
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Une fabrique de parapluie dans le Cantal, des meurtres/suicides, des histoires de famille ...le décor est planté. de nombreuses références sont faites aux livres précédents de l'auteure mais en ce qui me concerne, celui-ci étant le premier, ça ne m'a pas du tout dérangée. L'ambiance ressemble à celle des romans de Françoise Bourdin ou Janine Boissard, mâtinée d'une touche d'Agatha Christie.
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Un roman sans prétention mais un roman "vrai", une histoire pourtant machiavélique mais aux allures d'histoire champêtre.
Ce coin de parapluie fait du bien, il décrit avec justesse les affres d'une famille dominée par la matriarche. Une entreprise familiale qui peut broyer ses membres. On découvre des personnes haut en couleurs comme Josepha et Nina (surtout par sa chevelure !) mais également des êtres fragiles, brisés, durcis par la vie qu'on leur a imposé. Un très doux moment de lecture avec les paysages auvergnats en toile de fond.
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La lecture « terroir » ne fait absolument pas partie de mes habitudes. Depuis que j'ai eu un coup de coeur pour l'un des romans de Sylvie Baron (Le cercles des derniers libraires), je reçois chaque année son nouveau roman.
Direction le Cantal, en compagnie de Joséfa et Nina qui vont mener l'enquête (en amatrices et de façon incognito) sur la mort d'une grande industrielle de la région : Hélène Vitarelle. Si les deux femmes ont décidé de partir à la chasse de la vérité, c'est parce que l'ancien amant de Nina est soi-disant le coupable. Pendant que la première devient la gouvernante de la famille, la seconde est l'aide jardinière.
Grâce aux deux femmes nous allons vivre le quotidien de cette famille : les secrets de famille, la guerre entre le frère et la soeur pour savoir qui va gérer l'entreprise de parapluie mais aussi les voir se redécouvrir peu à peu.
Côté enquête, je ne l'ai pas vraiment trouvé passionnante. La fin est assez inattendue et je pense, totalement introuvable par le lecteur.
Une lecture en demi-teinte puisque si j'ai apprécié les personnages, les secrets de famille et la plume de Sylvie Baron, j'ai parfois eu le sentiment de longueur qui ne me donnait pas spécialement envie de retrouver mon livre.
Lien : https://mabiblio1988.wordpre..
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Il est assez rare qu'après la lecture d'un livre mon avis soit assez mitigé. Malheureusement, c'est ce qui est arrivé avec cette histoire. Donc, je ne vais pas trop m'étendre.

Malgré une intrigue alléchante proposée par l'auteure, l'enquête menée par Joséfa tarde trop à venir à mon goût. Il y avait quelques longueurs et notamment sans doute est ce dû à la grande quantité de descriptions sur l'entreprise de parapluie que tient la famille Vitarelle. L'histoire du parapluie n'a plus de secret pour moi. Parmi les personnages, Joséfa et Nina ont retenu mon intérêt.
Je suis passée à côté de ce cosy mystery et c'est dommage.

Ceci n'est que mon avis, je vous laisse vous en faire votre propre opinion.

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