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L'Afrique du Sud sur deux périodes.
La 1ère en 1901 lors de la 2ème guerre des Boers. Les Anglais pour briser la résistance des paysans afrikaners, les Boers, adoptent une politique de la terre brûlée. Il s'agit de faire plier les hommes qui ont quitté leur ferme pour prendre le maquis en s'appropriant leurs biens, tuant leurs bêtes, brûler les fermes et parquer leurs femmes et leurs enfants dans les 1ers camps de concentration de l'histoire.
Mrs Sarah van der Watt tient un journal secret qu'elle destine à son mari Samuel. Elle y raconte presque au jour le jour, l'attente des Anglais dont on perçoit la progression aux panaches de fumée qui parsèment l'horizon depuis leur ferme du Mûrier, les déprédations commises, leur arrivée au camp de Bloemfontein, son inquiétude quant à leur survie : la sienne mais surtout celle de son petit Fred, 5 ans.
La 2ème partie se déroule de nos jours (en gros). On suit le jeune Willem, 16 ans, qui, sous prétexte qu'il n'est pas exactement comme les autres ados de son âge, trop rêveur, pas assez viril, se retrouve encaserné à l'initiative de sa mère et de son beau-père dans une espèce de camp d'entrainement pour jeunes gens visant à en faire des hommes, des vrais. Mais cet endroit est tout sauf une colonie de vacances.
C'est lors de cette partie que l'on découvrira ce qu'il est advenu de Sarah et du petit Fred.
Ces deux histoires sont bien cruelles. Les liens entre elles sont tenus mais permettent de donner tout son sens à l'absurdité de la situation que devra affronter Willem.
J'ai trouvé que c'était bon récit, bien écrit mais il m'a surtout intéressé car il revient une période historique méconnue pour moi de l'histoire sud-africaine qui explique en partie la construction du système de l'Apartheid.
C'est aussi un très bon récit car il montre une fois de plus la dangerosité de tous les fanatismes.
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Une fois de plus, c'est un romancier qui m'aura fait découvrir les atrocités dont son capable nos semblables.
Il s'appelle Damian Barr, il est écossais et dans son roman Tout ira bien, c'est en Afrique du Sud qu'il nous entraîne.
Tout d'abord en 1901, en pleine guerre anglo-boer (la deuxième pour être plus précis, la première ayant eu lieu quelques années avant, seulement).
L' armée britanniques chasse les fermiers pour s'approprier leurs territoires.
On brûle les fermes et on emmène femmes, enfants, vieillards et serviteurs dans des camps.
De véritables camps de concentration.
Ils seront 116 000 à y être parqués.
Un quart y mourra, pour la plupart de moins de 16ans.
Sarah van der Watt et son fils Frédérick sont conduit au camp de Bloemfontein, c'est au travers du journal intime de la jeune femme que nous allons découvrir l'horreur.
En 2010, Willem, 16 ans tout juste, est envoyé par ses parents dans un camp d'entraînement, pour se forger, pour devenir un homme. Tu verras, tout ira bien lui dit-on.
Deux histoires, totalement différentes, sans lien apparent.
Mais, sur une même terre, une terre de souffrances, et même plus d'un siècle après, tout a-t-il été effacé ?
Sarah et Willem, deux vies, qu'un lien invisible uni.
Barr m'a ému avec son roman, il m'a interrogé.
Une lecture qui vous amènera, sans aucun doute, à découvrir la terrible histoire de Lizzie van Zyl, cette fillette de 7 ans, véritable symbole, dont la photographie deviendra célèbre, de même qu'Emily Hobhouse, cette infirmière britannique dont les terribles révélations sur les conditions de détention aboutiront à la fermeture de ces camps.
J'ai découvert cet auteur qui fait là un excellent travail, il va au-delà du roman, il ouvre les yeux des lecteurs sur un passé méconnu,  j'adore ce genre de lecture que je conseille fortement.






 
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Quelle lecture difficile....
Afrique du Sud. Deux histoires à un siècle d'écart. 1901 la guerre des Boers. 2010 la version de nos jours dans une Afrique du Sud "arc-en-ciel" aux extrêmistes et suprémacistes blancs.

L'histoire de Sarah épouse d'un fermier Boer qui va être enfermée avec son fils de 6 ans dans un camp de concentration anglais. Je savais que les Anglais étaient les "inventeurs" du concept de camp de concentration. Par contre je n'avais jamais réalisé que les fermiers Boers combattant les Anglais, étaient enfermés dans ces camps uniquement les vieux, les femmes, les enfants. le livre parle d'une photo d'une petite fille. J'ai eu le malheur de chercher la photo en question. Sans légende on pense aux camps nazis.... Ces camps ont énormément tué.... plus que les combats, et donc surtout des vieux, des femmes, des enfants (presque la totalité des enfants enfermés en fait).

Et l'histoire de Willhem, à notre époque, garçon trop sensible, envoyé par ses parents dans un camp afrikaaner pour faire de lui un homme, un vrai.... chez des mecs très sympa, habillés de kaki, qui ne supportent pas les Noirs, qui brûlent le nouveau drapeau sud-africain, se voient comme le peuple élu.... j'en passe et des meilleures...

Un livre très dur qui a l'avantage de nous rappeler (faire connaître ?) la guerre des Boers, les atrocités commises à cette époque. Et puis en petites touches on découvre l'Afrique du sud d'aujourd'hui. Petites touches parfois effarantes pour l'Européenne que je suis.
Un livre marquant. Que j'ai déjà conseillé à mon mari et ma fille aînée....

Ah le titre "Tout ira bien", c'est ce qui est dit à Sarah et à Willhem quand ils sont entrés dans leur camp respectif (concentration/entraînement).... un oxymore bien sûr....
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« Tout ira bien », mais ce n'est qu'une apparence, des promesses.
1901, seconde guerre des Boers, les soldats britanniques, brûlent, pillent, et soumettent les fermiers afrikaans. Sarah van der Watt, son fils Frédéric et des milliers d'autres habitants sont emmenés dans des camps de concentration. Insalubre, rationnement plus que minime et des soldats abusifs.
Le combat d'une mère pour la survie de son fils commence.
2010, Willem jeune collégien solitaire, ne rêve de vivre que de livres, avec son chien et sa grand-mère. Mais lorsque Irma, sa mère, croise le chemin de Jan, celui ci en décide autrement et l'envoie dans un camps. « L'aube nouvelle » formateur des hommes de demain.

Deux histoires, deux époques. Un lien les lie.
On ne ressort pas indemne d'une guerre. Il y a toujours des cicatrices. Visible ou non.

Tout ira bien de Damian BARR
L'auteur nous emmène en Afrique du Sud. Sur les traces du passé. de 1901 à aujourd'hui. de la seconde guerre des Boers, en passant par l'élection de Nelson Mandela à la déségrégation. Ce roman est une perle.
Une histoire captivante, des personnages charismatiques, une ambiance dense. On apprend beaucoup de choses.
Ce roman historique est original, captivant.
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Ma liseuse en panne, il était hors de question de partir sans munitions . J'ai pioché quelques livres de poche qui attendaient sagement leur heure dans une sorte de PAL de secours. Bien m'en a pris.
Damian Barr n'est pas très connu. Son essai autobiographique sur les difficultés d'être un écossais gay pendant l'ère Thatcher(Maggie & Me) n'a pas été traduit en français. Je ne savais donc pas trop quoi en attendre.
Mais Tout ira bien. Ok,ok, tout ira bien....
Mais non, bien sur, en fait tout ira très très mal dans cette histoire inspirée de faits réels.
Cet excellent premier roman est une petite merveille.
L'auteur réussit un tour de force peu commun en réécrivant 2 pages de l'histoire sud-africaine et en faisant l'hypothèse que l'une découle de l'autre. Tant sur le plan historique, généalogique , sociologique que sur le plan romanesque...
Comme dit l'autre, "On ne va pas se mentir": je ne connaissais l'histoire "sudaf" qu'à travers les polars de Déon Meyer (j'ai honte), le rugby et l'épopée mandélienne.
J'avais vaguement entendu parler des 2 guerres des boers.
L'hypothèse que les crispations identitaires des afrikaners d'aujourd'hui puissent leurs racines dans la profonde maltraitance dont ils ont été les victimes en 1900/1901,m'a littéralement scotché.
Les anglais adoptent une stratégie de terre brulée pour combattre les farouches indépendantistes du Transvaal et de l'Etat libre d'Orange et enferment femmes et enfants, noirs et blancs dans les premiers camps de concentration de l'ère moderne. Damian Barr décrit l'univers du camps de Bloemfontein où Sarah van der Watt, sa jeune héroïne ,va être enfermée avec son fils Fred.
20 à 30 000 civils vont y périr.
Mais la boucle narrative commence par un étrange prologue: le 1er octobre 2010 Willem Brandt,16 ans, est conduit dans le bush au camps d'Aube Nouvelle pour un séjour de "conversion". Lui aussi sera enfermé dans la folie concentrationnaire.
Toute l'histoire va se déplier entre ces 2 moments(1901/1910), ces 2 camps de détention, ces 2 groupes victimaires.

Damian Barr a une écriture exceptionnellement fluide qui ne masque rien de la complexité des personnages et des situations et qui joue sur le tempo, sur le rythme .
C'est passionnant de bout en bout mais c'est parfois éprouvant.
L'horreur nous guette au coin de la virgule.
La question de l'apartheid sera évidemment omniprésente mais, narrativement, comme une sorte de liant des fondus enchainés .
Et puis on devine, en négatif, des spéculations sur l'origine des fachosphéres. Et là Damian Barr mouille le maillot, nous invite à réfléchir sur le poids anthropologique des traumatismes de masse et de la colonisation, dilué dans une sorte d' impensé sociétal parce qu'il faut malgré tout "faire nation".

Pour en revenir au roman: Mention spéciale pour le personnage de Willem, finement croqué....et, j'imagine, assez proche de l'auteur...

Vive les livres de poche!!


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1900, en Afrique du Sud. Les Britanniques pratiquent la tactique de la terre brûlée pour récupérer les possessions des Boers qui malgré tout, résistent. Les familles des paysans résistants sont alors enfermées dans des camps qui préfigurent les camps de concentrations nazis. Sarah van der Watt et son fils Fred voient leur maison brûler, leurs terres rendues incultivables et sont parqués dans un camp où ils meurent de faim et de privations. Au travers du journal de Sarah qu'elle cache soigneusement, rien n'est occulté des terribles conditions de détention.
2010, le beau-père et la mère de Willem, âgé de seize ans, trouvent qu'il a besoin de s'endurcir et l'envoient au camp « Aube Nouvelle » où des méthodes effroyables sont censées en faire un dur, un homme, un vrai.
Deux camps, deux enfermements à cent dix ans d'écart, deux drames…

On sent l'auteur écossais Damian Barr, dont c'est ici le premier roman après deux essais, passionné par les sujets qu'il traite, l'un historique et l'autre plus contemporain. le traitement de ces thèmes est un peu inégal et c'est dommage, car leur intérêt est incontestable. Ce n'est pas l'alternance des époques qui nuit à ce roman, c'est un de ses points forts, au contraire. Ce sont peut-être les liens entre les deux époques, qui, un peu ténus, en paraissent artificiels. Bien écrit et intelligemment construit, avec des personnages attachants, ce roman se lit facilement. Il ne faut donc pas s'arrêter à mon léger bémol si l'histoire du camp de Bloemfontein vous intéresse, ou encore celle de ces jeunes garçons brisés par un système paramilitaire avec la presque complicité de leur famille. La violence engendre toujours la violence…


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♠ « Tout ira bien » - Damian Barr

J'ai découvert cet auteur britannique grâce à une lecture commune organisée par une lectrice passionnée sur Instagram. Je la remercie d'ailleurs chaleureusement pour cette super idée et je remercie également les autres participantes pour ces échanges si intéressants.
En 1901, la deuxième guerre des Boers éclate. Privés de leur maison et dépossédés de tous leurs biens, Sarah van der Watt et son fils se retrouvent au camp de réfugiés de Bloemfontein. Affamés et maltraités, il y attendront de longues semaines la fin du conflit.
Une centaine d'années plus tard, Willem est envoyé à "Aube Nouvelle" par ses parents. Il s'agit d'un camp censé faire de lui un vrai homme. Mais dès son premier jour, il se rend compte que cela ne sera pas une partie de plaisir...
ATTENTION SPOILER :
Il va sans dire que j'ai énormément apprécié ce roman. J'ai ressenti beaucoup d'émotions, à la fois face aux horreurs subies par Sarah mais aussi face à la détresse de Willem, ce garçon un peu différent des autres. Par contre, les histoires de Rayna et Irma m'ont laissée de marbre. J'ai aussi adoré découvrir l'Afrique du Sud et un pan de son histoire et de sa culture.
En revanche, j'ai trouvé les liens entre les deux époques trop ténus et peu flatteurs pour le combat de Sarah.
En conclusion, j'ai passé un moment bouleversant : lisez-le !

Pour plus d'informations et de chroniques :
Lien : https://www.shanaslibrary.co..
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Coup de coeur pour ce premier roman incisif qui se déroule en 1901, en Afrique du Sud, pour lequel il a fallu cinq années d'écriture à Damian Barr. Il nous livre un travail excellemment bien documenté sur La guerre des Boers prononcer « bour », le terme de Boer se traduit en néerlandais par fermier. Il met en lumière le rôle du gouvernement britannique dans la création de camps de concentration pour blancs mais pas seulement et du racisme ainsi exacerbé qui marque encore de nos jours l'Afrique du Sud. On va suivre la terrible histoire de Sarah van der Watt et de son fils contrainte de quitter sa ferme, les soldats anglais pratiquant la politique de la terre brûlée, il ne restait que des cendres après leur passage.
Cent ans plus tard nous suivrons l'histoire de Willem, 16 ans qui ne correspond pas à l'image que sa mère et son beau-père attendent de lui. Il sera envoyé dans le camp « Aube Nouvelle » afin de faire de lui un homme, un vrai !
L'auteur a choisi une approche en plusieurs parties et non de passer d'un personnage à l'autre, d'un chapitre à l'autre. Il, nous a ainsi épargné une gymnastique bien souvent fastidieuse. J'ai été captivée par la première partie qui nous présente les débuts de Sarah et de son fils dans le camp. Les suivantes l'étaient toutes autant. Une belle écriture tout en sincérité vient nous cueillir par les sentiments. le choix des personnages et leurs caractères bien trempés est émouvant, ils font preuve d'une sagesse et d'une clairvoyance face aux épreuves qui les attendent qui m'a bien souvent bouleversée. Relier les deux récits alors qu'ils ne semblent pas y avoir de dénominateur commun est exécuté brillamment. Je me suis sentie très proche de Willem, sont parcours était déchirant et sa personnalité attachante et sensible m'a retourné. Je pense que les personnages vont m'accompagner encore longtemps. Bonne lecture.

Lien : http://latelierdelitote.cana..
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J'aime quand les auteurs m'emportent vers des destinations que je connais peu, j'aime quand leur fiction se rapproche ou s'inspire de faits réels pour mieux comprendre le monde et L Histoire. Dans Tout ira bien, l'auteur nous fait voyager en Afrique du Sud à travers deux époques et deux destins ;
1901, en pleine guerre des Boers, Sarah van der Watt et son fils sont emmenés de force dans un camp, qui sera le premier camp de concentration de l'histoire. Les conditions de détentions sont épouvantables: pas d'hygiène, peu de nourriture, des épidémies de rougeole et de typhoïde qui entraînent une forme mortalité, surtout infantile. Avec son amie Helen, Sarah tente de survivre et surtout de sauver son enfant, prête à tout sacrifier pour cela.
2010, Willem, 16 ans est un garçon qui se sent mal dans sa peau, sans pouvoir se l'expliquer. Il est victime de harcèlement au lycée: moqueries et insultent fusent régulièrement. Un jour, il tente de se défendre contre son bourreau et cela tourne mal, il est exclu. Sa mère et son beau-père l'inscrive au camp "Aube nouvelle", géré par le Général et son adjoint Volker. Ce camp fait des garçons que les parents inscrivent, de "véritables homme".
Willem se lie d'amitié avec Victor et ensemble ils essaient de tenir bon face aux brimades et aux corvées absurdes. Un jour ils décident de s'enfuir mais le Général tient trop à ses ouailles pour les laisser partir. La répression est sans appel. Mais le drame arrive...
C'est un livre magnifique qui permet de mieux comprendre l'histoire de ce pays, tristement connu pour sa violence et sa ségrégation.
Le lien entre les deux histoires se fait en filigrane, à travers les objets : service à thé caché sous un arbre par Sarah, fusil en bois de son fils volé dans le camp.... le lien entre ces deux histoires est le passé du pays qui a forgé la mentalité des habitants actuels et origine des problèmes toujours présents.L'auteur dénoncent également ces camps, qui existent toujours,
ainsi que dans d'autres pays, où les homosexuels sont brimés, torturés pour qu'ils retrouvent "Le Droit Chemin" Une pensée pour Raymond Buys (1996-2011) mort dans un de ces camps et point de départ à cette histoire.
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« Tout ira bien », c'est cette phrase qu'on prononce pour encourager quelqu'un et dont on ne pense pas un mot, au mieux, on essaie d'y croire. Cette phrase, deux protagonistes sud-africains de deux époques différentes vont l'entendre. D'abord, il y a Sarah van der Watt qui, en 1901, se voit contrainte de quitter sa ferme avec son fils Fred, âgé de 6 ans. Son mari est parti se battre. La mère et le fils ainsi que des milliers de personnes sont parqués dans le tout premier camp de concentration de l'Histoire. En 2010, Willem, 16 ans est « différent ». Pour faire de lui un homme, sa mère et son beau-père l'inscrivent à Aube Nouvelle, un camp qui endurcit les garçons. A lui aussi, on dit que « tout ira bien ». Bien évidement, il y a un lien entre ces deux personnages qu'on découvre au fil des chapitres. Je méconnais l'histoire de l'Afrique du Sud et je me suis sentie un peu perdue parmi les histoires de guerre des Boers, les afrikaners et même la situation actuelle de ce pays. J'avoue avoir dû me documenter un peu en parallèle pour pleinement apprécier ma lecture qui, bien que fictive, s'appuie sur de nombreux faits historiques réels. J'ai beaucoup apprécié ce roman qui certes, n'est pas facile à lire. Il y a tant de cruauté et de barbarie dans ces deux histoires. le temps passe et on commet encore et toujours les mêmes erreurs. Un roman important qui nous permet de faire notre devoir de mémoire.
Lien : http://romansurcanape.fr/les..
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