Agatha Raisin enquête, tome 1 : La quiche fatale

Et voilà, j'ai fini par céder ! Me voici devenu lecteur de cosy mystéries… pour mon plus grand bonheur.

Il faut dire qu'Agatha Raison vaut le détour, elle qui incarne à elle seule tout ce que l'empire britannique a de parfaitement agaçant et d'irrésistible. Bienvenue donc à Carsely, petit village riant de la campagne anglaise où notre héroïne décide de prendre une retraite bien méritée. Mais bien sûr, tout ne se passe pas comme convenu… et tout le monde ou presque en prend pour son grade dans un doux parfum de Cluedo.

La plume est enlevée, la satyre légère, l'humour grinçant et les pages se tournent sans même qu'on n'y prenne garde. J'ai passé un très bon moment de lecture-détente avec ce polar soft dont le titre est en lui-même une promesse réjouissante. Bien sûr, je n'en sors pas plus intelligent ou instruit mais largement détendu et à la vieille d'un long week-end familial, ça n'a pas de prix…

pour commencer, l'histoire se passe en Angleterre et j'adore ça.
Sans trop savoir pourquoi, je m'y sens bien.

Le personnage principal est égoïste et quelque peu méchante ce qui la rend d'autant plus authentique.

Cependant il est à déplorer pour un livre de 320 pages, qu'il faille attendre la 209 pour avoir un petit peu d'action.

L'histoire est gentillette et comme Agatha, il m'est souvent arrivé de m'ennuyer.

Bonjour à tous, oui, je sais, il faut lire les sagas dans l'ordre. Mais je lis Agatha Raisin comme des bonbons, vous n'avez pas toujours envi de manger les bonbons verts et moi c'est pareil pour cette saga. Pardon, si je choque quelques personnes. Et là, une amie très cher, m'a choisi le tome 1 « la quiche fatale ». J'ai aimé ma lecture, notre Agatha ne fait pas son coeur d'artichaut. L'enquête est bien construite et son humour était là. Je vous conseille de lire « Agatha Raisin enquête, hors série : La Première Enquête d'Agatha » qui vous explique pourquoi, elle veut sa maison à la campagne. Je vous souhaite bonne lecture et gros bisous de la Meuse.

A mon tour de découvrir le personnage d'Agatha Raisin qui fait tant parler de lui en librairie ces dernières années. Lisant régulièrement les romans d'Agatha Christie, je m'attendais un peu à trouver quelques codes communs aux deux oeuvres et je n'étais pas loin du compte : campagne anglaise bucolique mais truffée de concitoyens aux regards en-dessous, aux airs chafouins et aux propos sibyllins, "gastronomie" anglaise répugnante et répulsive, enquêtrice indépendante au tempérament bien trempé... in a cup of tea, of course !

Roman très british à catégoriser, semble-t-il, dans les cosy mysteries, "La quiche fatale" ne vous fera pas perdre une amygdale à forcer de rire mais vous donnera sans doute le sourire, ce qui est toujours bon à prendre.

Genre oblige (?), les personnages sont assez caricaturaux mais le tout emballé dans la fraîcheur d'un langage plutôt vert, ils passent pas mal.

J'ai seulement regretté que l'action soit prévisible ; suis-la seule à avoir découvert l'identité du meurtrier avant la moitié du livre ? Pas de vrai mystère donc en ce qui me concerne, mais le plaisir d'une lecture légère sans prise de tête, aux côtés d'une héroïne tour à tour antipathique et sympathique.


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IL faut effectivement lire le tome 1 pour apprécier (ou pas c'est selon le lecteur).
Agatha fraichement en retraite anticipée, elle a vendu sa boite de com', part s'installer dans un cottage des Costwolds. Mais elle n'arrive pas à s'intégrer, elle s'inscrit à un concours culinaire, qu'elle ne gagne pas, bien évidemment, car elle ne cuisine pas et ne sait pas cuisiner.
Dès le lendemain, le juge du concours meurt intoxiqué par la quiche qu'Agatha est allée acheter à Londres la veille du concours, décès conclut par le coroner comme accidentel.
Agatha n'arrive pas à croire à la thèse accidentelle et décide de poser quelques questions, ce qui va lui valoir 2 ou 3 mésaventures.
Elle va tout faire pour faire la lumière sur ce décès, même si elle se met le village à dos et décide de vendre son cottage.
L'histoire est mieux montée, l'intrigue prend son temps et c'est beaucoup plus facile à lire.

J'ai écouté ce premier tome des aventures d'Agatha Raisin en livre audio. Fan d'Agatha Christie depuis mon adolescence, j'attendais beaucoup de cette lecture. Si j'ai aimé l'intrigue, la fluidité de la lecture et le dénouement, je n'ai vraiment accroché avec aucun des personnages malheureusement. Je ne pense pas lire une autre aventure d'Agatha, même si j'ai aimé l'ambiance cosy mystery et les descriptions campagnardes.

Un bon polar pour la plage, lecture très rapide. Les personnages sont intéressants, l'héroïne est une Miss Marple du XXIème siècle, on se demande si le plagiat est évident. Cela dit, je le conseille pour le rythme des épisodes même si ce n'est pas d'une grande oeuvre littéraire.

Agatha, cinquantenaire, vient de décider de vendre sa firme de relations publiques. Elle rêve d'une retraite tranquille loin du brouhaha londonien. Elle part dans une petite ville, pleine d'espoir, mais très vite la solitude la pèse et le peu d'intérêt qu'on porte à sa personne ne lui convient pas... elle décide donc de s'inscrire à un concours culinaire pour gagner en popularité... Seul problème : les talents culinaires de Raisin sont au plus bas... Pour palier elle décide de tricher et d'acheter une quiche à Londres. Mais voilà... une mort survient ; le goûteur meurt après avoir avalé une bouchée de la quiche d'Agatha !

La prémisse est plutôt bonne... et le charme de la campagne anglaise m'a séduite... Mais que c'est lent et sans grands rebondissements. J'ai trouvé ce livre plutôt plat au final... Les pages tournent facilement, mais cette envie pressante de connaître la fin ne m'a pas prise, comme avec certains autres romans policiers. Alors, je suis contente d'avoir lu ce livre, mais pas assez captivée pour continuer cette série. Moment de lecture sympathique, donc, mais pas l'envie de poursuivre ma découverte de cette saga qui fait beaucoup d'adeptes.

Il y a longtemps que j'avais envie de découvrir les "cosy mystery", ce genre si en vogue actuellement...
C'est mon gout de la campagne anglaise, du thé et d'Agatha Christie, mon envie aussi de découvrir un jour les Cotswolds qui, je crois, m'y ont poussée et qui m'ont surtout donnée envie d'aimer ces ouvrages ci...
Il y avait bien eu une tentative de découvrir le susdit genre, l'année dernière me semble t-il. J'avais en effet lu le premier volume des aventures de "Son Espionne Royale" mais cela avait été un échec des plus cuisants, un ennui mortel auquel j'étais étonnée d'avoir survécu... tout comme je me suis surprise moi-même à vouloir retenter l'aventure tout récemment. Cette fois, cependant, pas d'espionne royale mais la célèbre Agatha Raisin, celle par qui le genre nouveau est arrivé. Comment expliquer cette nouvelle tentative de ma part? J'avoue que je m'y perds moi-même... La curiosité? L'envie de légèreté? de comprendre l'engouement attendrissant et enthousiaste des copines? C'est d'autant plus troublant que j'ai abordé l'affaire de la Quiche Empoisonnée avec toute la méfiance et le snobisme qui me caractérisent, convaincue avant même d'avoir commencé que l'ouvrage serait mauvais et ennuyeux, que j'allais y perdre mon précieux temps et que franchement, j'aurais mieux fait de relire "Anna Karénine" qui me fait de l'oeil depuis ma première lecture en forme de coup de foudre et depuis -c'est moins noble!- mon re-visionnage de "Anastasia"...
Non, vraiment, parfois, je ne me comprends pas moi-même...
Toujours est-il que, toute pétrie de paradoxes, je me suis plongée dans "La Quiche Fatale" et je dois avouer l'avoir dévoré avec un entrain surprenant.

Agatha Raisin est une fière quinquagénaire qui à force d'audace et de travail a réussi brillamment dans le domaine aussi pailleté que select et cruel des relations publiques. Sous ses airs un peu durs, cette femme de tête n'a pourtant pas oublié la petite fille qu'elle était et son rêve d'antan né de vacances familiales: s'acheter un jour un paisible cottage dans les Costwolds pour y couler des jours sereins... C'est ainsi que sur un coup de tête, Agatha vend son affaire et son appartement pour réaliser son rêve...
Oui mais voilà, pour la londonienne survoltée qu'elle était, la vie à la campagne est un tantinet trop calme, les nuits sont d'un silence assourdissant et les habitants de son nouveau logis ne semblent pas s'intéresser à elle... Or, une Agatha Raisin ne s'avoue jamais vaincue. Aussi tente t-elle le tout pour le tout pour s'intégrer en s'inscrivant vaillamment au concours de cuisine organisée par la Paroisse, alors qu'elle n'a jamais cuisiné de sa vie... le plan était parfait jusqu'à la mort de l'un des paroissiens, empoisonné par la quiche aux épinards de l'ex londonienne. La voilà bien obligée d'avouer la vérité pour se défendre de l'accusation de meurtre qui plane au dessus d'elle: la quiche ne venait pas de sa cuisine mais du meilleur traiteur de Londres... Quelle humiliation pour Agatha qui refuse pourtant la thèse de l'accident à laquelle conclut la police, convaincue pour sa part qu'il s'agit d'une histoire de meurtre. Elle décide donc de mener l'enquête et tant pis si cela doit nuire à une popularité que de toute façon elle n'obtiendra jamais...

J'ai passé un bon moment en compagnie d'Agatha Raisin et de ses comparses dont j'ai apprécié l'humour et le second degré. le texte de M.C. Beaton, bien que plat et sans beaucoup de style ou d'aspérité ne manque pas d'ironie et cela m'a plu. En outre, j'ai aimé les descriptions certes un peu clichés des Cotswolds et le personnel romanesque tout aussi cliché, qu'on pourrait croire tout droit sorti d'un roman d'Agatha Christie: le colonel en retraite, l'agréable fonctionnaire de police, le pasteur et son épouse...
Ce sont des clichés qui ressemblent à un hommage à la reine du crime sans en avoir cependant l'acidité ou le piquant, tout comme Agatha Raisin ressemblerait à une petite nièce de ma vénérée Miss Marple...
Pour autant, tout ne m'a pas convaincue non plus dans "La Quiche Fatale", à commencer par l'enquête policière qui semble être davantage un élément du décorum dans un roman "d'atmosphère" qu'une part essentielle de l'intrigue et de fait elle est traitée comme telle: d'une manière bien superficielle que j'ai trouvé frustrante d'autant que l'affaire aurait pu être passionnante. D'ailleurs, la résolution de l'intrigue l'est mais l'auteure n'y passe pas assez de temps selon moi.
Ensuite, tout y est trop "gentillet". Ce que j'aime chez Agatha Christie justement c'est cette noirceur qui se cache dans les lieux les plus sereins, cosy, or ici... Ben c'est gentillet... Je m'y attendais certes mais je dois reconnaître que cet aspect est assez rédhibitoire me concernant même si un peu de mignonnerie ne peut nuire.
Pour finir, j'évoquerai l'écriture du roman qui n'a rien de remarquable si ce n'est son ironie et qui me ferait craindre un sentiment de répétition, de "remplissage de cahier des charges" au fil des autres volumes des aventures de la détective londonienne...

Pas un chef d'oeuvre.
Pas un coup de coeur non plus.
Une agréable lecture tout de même qui ne me laissera rien d'impérissable si ce n'est le souvenir d'un vrai moment de bonne humeur. Pour un livre que j'avais prévu de détester, ce n'est déjà pas si mal.

Agatha Raisin qui a bien réussi sa carrière professionnelle de prendre sa retraite dans un petit village retiré dans la campagne anglaise et quitte donc sa vie de Londonienne. Mais pour cette femme pleine d'énergie, la vie calme dans son cottage ne se passe vraiment comme prévu. Elle s'ennuie énormément. Alors pour s'occuper et se faire connaître auprès des villageois, elle décide de s'inscrire au concours de quiches organisé par son nouveau village. Ce qu'elle ne sait pas c'est que ce concours va lui attirer de terribles ennuis.

Un moment que je voyais passer les livres de M.C Beaton sur Bookstagram, j'ai eu envie de les tester. J'ai donc commencé par ce premier tome d'Agatha Raisin.

Ce n'est pas une lecture qui restera dans ma mémoire mais l'écriture est simple, rapide et facile. J'ai bien aimé aussi le côté têtu d'Agatha, qui ne lâche jamais rien. Son côté loufoque aussi.

Mais trouvé que l'histoire traînait un peu en longueur, un peu trop de descriptions (sûrement pour planter le décor de ce premier tome).

Par contre, maintenant que le décor est planté, je vais quand même laisser la chance à Agatha en lisant le deuxième tome pour voir si elle arrive à me convaincre davantage.