Bienheureux Gustave Courbet qui, lorsqu'il peignit Un enterrement à Ornans (1849-1850) [ill. p. 46], n'eut pas à affronter, et pour cause, la lancinante citation du chacun aura son quart d'heure de gloire, prononcée par Warhol plus d'un siècle plus tard - et pourtant !
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