Alors qu'il souhaite faire voter une loi très répressive sur la drogue, le président découvre que sa fille est toxico. Elle fait une overdose, mais qui lui a donc fourni la dope?
Comble de malchance, c'est Sisco qui est chargé de la protection de la fille du "pacha" lorsqu'elle overdose. Suite à ses frasques des deux premiers tomes, Sisco est en effet placé dans une voie de garage temporaire... Suivre et protéger Julie, la fille du président, n'est pas de tout repos. Nom de l'opération: Gin-Fizz... qui est aussi le surnom de la belle... et ce qu'elle ingurgite et régurgite allègrement à longueur de soirées débridées. Ajoutons qu'elle est supposée aller en fac...
Evidemment, personne ne se dénonce pour avouer lui avoir fourni la drogue. Et quand les journaux apprennent la nouvelle, puis quand on s'introduit nuitamment dans la villa d'Antibes où Julie et ses gardes du corps sont en villégiature... cela sent la taupe à plein nez...
Ne vous tracassez pas, Sisco est là...
Un tome bien foutu, rythmé, vif et drôle, qui se lit avec plaisir.
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Cet album de Sisco nous plonge dans le vaste sujet de la protection de proches du Président, ici, sa fille, pour le moins capricieuse. Notre agent de l'Elysée a hérité de cette mission, suite à ses péripéties du tome précédent. Avec pour trait de caractère principal d'être "borderline", autant vous dire que sa garde rapprochée va décoiffer !
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A la suite des péripéties des tomes précédents, Sisco se retrouve aux service de protection de la fille du président.
Il n'est évidemment pas enchanté de la nouvelle, mais il ne va pas manquer d'action dans ce rôle.
Toujours rythmé, ce tome suit toujours le héros mais ne s'interèsse pour moi pas assez à approfondir le personnage, beaucoup d'action et d'intrigue mais un peu fade par manque de psychologie.
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Franchement, je suis pas fait pour être une nounou !
... Non, il s'agit d'une maladie contagieuse. Cela obligerait à mettre en place une cellule de quarantaine pour traiter ses amis...
Il n'est jamais bon d'atteindre le point Godwin le premier...
Forcément, à cette heure là, ça ne pouvait être que Jack Bauer.