Dehors, c'est la guerre. Alors notre narrateur nous raconte cette guerre, ces horreur et l'indifférence qui règne. Il raconte la ville de Parthénia en 2050, où le chômage est devenu la norme, où le gouvernement se cache dans les égouts, ce nuage qui recouvre le ciel depuis l'explosion. Et surtout, il raconte son envie de sortir de chez lui, de descendre dans la rue malgré les combats et le carnage.
Roman à la première personne,
Parthénia 2050 perturbe. Il dresse le portrait d'une société, pas si lointaine que ça quand on y pense, et qui conduit vers la fin du monde, "la fin de l"Histoire".
Les chapitres sont courts, le rythme est bon, et même si on ne voit pas toujours où l'auteur veut en venir, on apprécie de suivre le cheminement de l'esprit du narrateur.
A lire.
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