C'est un trés bon livre, un peu de difficile à comprendre à certains moments. Ce livre est boulversant et touchant le fait que cela soit tiré d'une histoire vrais. Cela nous montre se qu'on vecue nos anciens que sa ne devait pas etre facile. Madisson.n
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Ce livre nous parle de la vie de Fatima Besnaci Landou qui est née et a été élévé pendant la Guerre d'Algérie en 1954.
Je trouve ce livre sincére et touchant. Et le fait de savoir que cette histoire est vrai et à été vécue, nous fait ressentir les émotions que veux faire passer cette et nous montrer cette enfance difficile donc elle à vecue.
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Mes souvenirs de cette guerre sans nom, si longtemps refoulés, je les ai écrits presque d'un seul jet pour mes enfants. Je voulais pour eux, effacer la honte et faire barrage à la haine. Je pensais aussi que cette partie de ma vie ne m'appartenait pas à moi seule mais qu'elle faisait partie de l'histoire de ma communauté. Je me devais de la raconter.
Avant cette histoire, j'avais seulement peur des animaux sauvages lorsque nous étions à la campagne. À partir de ce moment-là, j'avais perdu confiance dans les êtres humains. Ils me terrorisaient
Mes souvenirs de cette guerre sans nom, si lomgtemps refailes, je les ai presque d'un seul jet pour mes enfants je voulais pour eux, effacer la honte et faire barrage à la haine. Je pensait aussi que cette partie de ma vie ne m'appartenait pas à moi seul mais qu'elle faisait partie de l'histoire de ma communauté. je me devais de la raconter . Madisson N
Mes souvenirs de cette guerre sans nom, si longtemps refoulés, je les ai écrits presque d'un seul jet pour mes enfants. Je voulais pour eux, effacer la honte et faire barrage à la haine. Je pensais aussi que cette partie de ma vie ne m'appartenait pas à moi seule mais qu'elle faisait partie de l'histoire de ma communauté. Je me devais de la raconter.
« Les enfants allaient chercher de la neige à l'extérieur. La mère la faisait fondre dans sa bouche. Elle attendait que cette neige réchauffe pour nettoyer le bébé ».
Dans les années 60, après avoir réussi à rejoindre la France, des dizaines de milliers de Harkis furent parqués et oubliés dans des camps misérables pendant des décennies.
Récit de l'historienne Fatima Besnaci-Lancou
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