« Dans les États de l’antiquité, il n’y avait qu’une cause de révolutions, l’ambition du pouvoir politique. Dans les États modernes, et depuis le règne public de la vérité par l’établissement du christianisme, il y en a une autre, l’ambition du pouvoir religieux ; je veux dire l’orgueil des doctrines et la domination sur les esprits : cause nouvelle et bien plus active de révolutions, qui ne demande ni armées ni argent, et pour laquelle un homme n’a besoin que de lu...
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