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3,92

sur 3571 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Un livre qui n'a pas de nom écrit sur le Net, par un auteur anonyme… tentant ! Même si l'univers à la Quentin Tarantino (véridique, j'avais des images de ses films lors certaines scènes du livre) ne m'attire pas plus que cela dans mes lectures, j'ai pris plaisir à lire ce bouquin complètement décalé !

L'auteur se fait plaisir, il dénonce, il fait un mix de tout ce qui marche, vous en aurez pour votre argent ! C'est d'autant plus clair qu'il se moque de nombreux films d'actions, tout au long du livre il critique par clins d'oeil aux personnages ou aux titres des films, c'est cocasse.

Le style n'est pas transcendant mais l'intrigue reste bien ficelée, tout y est: un monde sombre, des personnages insolites, vulgaires à souhait, du bourbon à vous alcooliser votre lecture, de la violence gratuite où tout le monde trucide tout le monde et du mystique !

Un thriller déjanté sympa pour les vacances…
Lien : http://metaphorebookaddict.w..
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Ce roman fait partie des livres que j'ai trouvé surestimé.
Je m'explique, non pas que le livre soit mauvais hein, c'est un bon roman, on se marre bien et ça donne un bon coup de pep's.
Après, j'ai trouvé le rythme plutôt lent et putain mais voila quoi.
Après bien sûr, je reconnais qu'on m'a conseillé ce livre, et que j'ai beaucoup lu dessus avant. Et malheureusement, j'en construis une attente. Et la lecture alors souvent me déçoit. C'est comme ça. A moi de faire attention et à parfois ne pas attendre trop d'un livre.
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Je n'ai pas vraiment partagé l'enthousiasme quasi général pour ce livre. J'ai trouvé l'écriture assez lourde, l'histoire pas forcément très intéressante et les personnages pas vraiment attachants. J'ai réussi à le terminer mais il ne m'a pas laissé une envie irrépressible de lire la suite...
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Le livre sans nom ou le livre inclassable... Comme j'ai pu le lire dans d'autres critiques, c'est du pur Tarentino dont je ne suis d'ailleurs pas réellement fan dans le monde cinématographique donc... j'ai autant dire que j'ai apprécié certains passages de ce livres mais pas tout...

A Santa Monega, la ville du tout et n'importe quoi devient le terrain de jeux de moines déjantés, de chasseur de prime, de malfrats à tous les coins de rues où de deux flics qui font finalement très bien la paire vont essayer élucider les crimes et l'histoire de cette pierre fantastique mais chacun à leur manière tout en restant solidaire.

Et a tout cela, il est évident qu'on ajoute la mystérieuse femme qui sort du coma du jour au lendemain en suivant les événements naturels mystérieux... deux éclipse en cinq ans, avouez qu'il y a quelque chose à creuser dans cette ville où le saloon du coin joue un grand rôle sous cet air de western.

Ne pas avoir peur des discutions de saloon avec le vocabulaire qui va avec évidement !

Afin d'être sûre de ne pas trop vous en dire, je vais m'arrêter là sur une critique un peu septique pour ma part... A lire oui mais indispensable.
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Alors d'une voix « rocailleuse » je dirais : que le début m'a pas passionné et j'ai Mème failli stopper ma lecture, mais au fil du livre ça devient plus prenant, je suis pas du tout fan de vampires en général, mais avec ce livre j'ai quand même aimé. ce livre est sanglant, drôle, ça part dans tous les sens, c'est surréaliste avec des personnages venus de nulle part et déjantés. À lire. J'hésite quand Mème à me procurer la suite...
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Voilà un livre qu'il ne faudra pas trop serrer dans vos rayonnages, de peur qu'il ne dégouline. le qualifier de sanglant me semble un euphémisme.
Au départ, la même scène répétée trois fois à quelques détails près m'a donné l'impression d'être dans un film, j'ai d'ailleurs adoré les nombreuses références au films et à la musique qui émaillent le récit. l'histoire est menée à un rythme époustouflant qui ne laisse aucun répits. Au départ on accumule les personnages, je commençais à penser que çà allait être dur de si retrouver mais ils sont tellement, j'allais dire caricaturaux, qu'il est impossible de les oublier. Bon très vite on se rends compte que ce ne sera pas un problème, l'auteur produit les personnages à la même vitesse qu'il les élimine et toujours avec une débauche de sadisme.
Par contre je ne m'attendait pas à passer d'un film de Tarantino à un épisode de Buffy contre les vampires. Apprendre que Santa Mondega est la capitale des créatures du mal m'a laissé un arrière gout décevant. Il aurait peut etre mieux valu nous asséner cela d'un coup en pleine scène du bar à la façon de "Une nuit en enfer" ce qui aurait mieux collé à mon avis avec le style du livre. IL faut dire que je me représente assez le Tapioca comme le tity twister et le rôle de Sanchez pourrait être tenu par Machete, sachant que c'est un des personnages les plus sympathiques de l'histoire, les autres n'étant que de la surenchère de gangster ultra-musclés, totalement impitoyables.
On croise donc dans ce livre des tueurs très prolifiques: le Boubon Kids, plus de 500 morts en une semaine, Elvis dit le King tueur à gage de son état, Jefe, chasseur de prime impitoyable, El Santino un croisement entre Don Corleone et Dracula, Rodeo Rex l'homme le plus fort de la région, Jessica une frêle jeune femme qui sort amnésique d'un coma de 5 ans après avoir reçu une centaine de balles (comment ça, ça vous rappelle quelqu'un?), Sanchez barman et survivor, des amoureux un peu dingue, des moines quasi Shaolin, des petites frappe s, une diseuse de bonne aventure et un duo d'inspecteurs de police improbable.
Autant dire qu'il ne restera pas grand monde à la fin. Je n'ai qu'un seul regret dans cette histoire, c'est la fin du seul personnage réellement innocent. 7
Bref à lire si vous avez le coeur bien accroché mais finalement c'est comme tout, on se fait à l'accumulation de cadavre.
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Je sais que je vais me faire quelques ennemis, mais, à part une extraordinaire fulgurance du style, la jubilation macabre qu'il provoque sur le thème du cadavre exquis (à la manière d'un film de Quentin Tarantino - qui pourrait bien être l'auteur qui avance masqué) et une imagination débridée séduisante (qui malheureusement flirte avec l'indigence et le ridicule vers la fin du roman en manque de vertu), on peut très bien s'en passer.
Vous me direz que les qualités reconnues suffisent à le porter aux nues, aussi, je lirai quand même sa suite programmée.
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Le livre sans nom fait partie de ses livres entourés d'une solide réputation, ne serait ce que par le mystère autour de l'écrivain, volontairement anonyme, qui avant de bénéficier d'une édition papier, s'est forgé une bonne aura de mystère et de culte sur le web.
En France, les éditions Sonatine publient pour la première fois ce titre en 2010 avec une édition papier qui est depuis aisément reconnaissable avec sa couverture d'un noir d'encre, ses très gros plans sur des visages burinés...
En somme, rien qu'au niveau de l'esthétisme éditorial et de cette aura de mystère qui entoure cette saga à travers l'anonymat de l'auteur, le Livre sans nom est un titre remarquable mais qu'en est t-il du contenu ? Que nous raconte ce Livre dont le titre va de pair avec l'anonymat de l'auteur ?

Force est de reconnaitre que mon avis est plutôt mitigé devant ce titre qui m'a laissé presque de marbre et ce malgré un rythme infernal, de l'action jubilatoire et des personnages allumés et féroces à souhaits... C'est pourtant des thèmes que j'apprécient mais dans le Livre sans Nom, j'ai eu l'impression d'assister à une intrigue concoctée par un adox boutonneux biberonné aux films de Tarantino et Rodriguez (surtout Rodriguez car Tarantino possède un style beaucoup plus subtil tout de même ! ) , une intrigue fourre-tout, si bordélique que nous trouvons des moines, des vampires, une petite intrigue policière, du roman noir remplie de bons gros tueurs à la gachette facile.... Bref, un fourre-tout tout droit sortie de la tête d'un, peut-être, être prébupère qui a voulu jouer avec des oeuvres pop sans en tirer la moindre substance...

Mon avis est très cassant mais pour l'instant, il ne se limite qu'à ce premier tome... car, malgré tout, je suis aussi tombé dans le bain de cette lecture qui m'a donnée envie de lire la suite. C'est paradoxale mais c'est comme ça car même si le Livre sans Nom en lui-même m'a laissé froid, l'univers et le cadre concoctée par Anonyme est plutôt attrayant et donne envie d'en savoir plus. le Livre sans Nom nous plonge à Santa Mondega, une ville oubliée du monde qui accuse un attirant mélange de polar hard-boiled avec son lot de criminels, de barons du crimes , de psychopates ou de flics tenaces avec une fibre fantastique ténébreuse à souhait où vient se cumuler malédiction, vampire et immortalités....
Ce curieux mic-mac centrée autour d'une ville maudite donne un petit gout de reviens-y à la lecture, il faut bien l'avouer. Et je suis le premier à espérer que le second tome me ravira beaucoup plus que ce Livre sans Nom qui m'a abreuvé d' une simple et réconfortante gorgée de bourbon plutôt que de m'enivrer jusqu'au trou noir...

En terme de rythme, il n'y a pas grand chose à repprocher à ce titre. Les pages puent la poudre et on bascule du thriller à l'horreur en un rien de temps , tout cela sous le point de vue panachée de nombreux personnages haut en couleurs ... On peut retenir l'ombre ultra-menaçante du Bourbon Kid, un tueur à gages fan du King, deux moines qui découvrent la vraie vie, un barman obstiné, un colossal chasseur de vampire... On ne s'ennuit pas à la lecture et cette générosité diégétique associée à un style cru et péchu (mais jamais transcendant ni original) ont de quoi rassassier.
En toute honnetête, j'ai dévoré ce livre comme beaucoup mais sans mettre de côté quelques défauts qui ont assombri cette lecture déjà bien noire...

Tout d'abord, le style d'anonyme n'a rien d'extraordinaire et son imagination non plus. Si vous adorez le cinéma d'horreur, d'exploitation, les bons polar qui tapent, le Livre sans nom est tout simplement une fan fiction avec des personnages qui semblent tout droit sorti d'un film d'exploitation. Il y a un côté un peu trop superficielle qui fait que les personnages perdent en crédibilité dès qu'ils apparaissent. de plus, ils sont pratiquement tous calqués, surtout les bad-guy, suir le même modèle du loubard amateur de cuir noir , de rock ou je ne sais quoi... Les descriptions sont superficielles , répétitives (des fusillades et des éclats de cervelles , en veux-tu , en voilà...) mais le problème vient que globalement, nous avons beaucoup trop l'impression d'assister à un film, d'être ancré dans un décor de cinéma plutôt que d'être immerger dans une lecture qui voue happe.

Anonyme est généreux mais sa générosité possède aussi un caractère puéril d'un gros fana de ciné qui au fond prive ses personnages d'une certaine substance. le couple de tourtereaux fait penser au couple phare de True Romance. le bourbon-kid possède la même aura de fantome menant qu'un Eastwood dans un western spaghetti. Les tueurs à gages se fondent dans la même imagerie de cuir noir et de vieux loubard fumants.
Certes, des personnages détonnent un peu par leur côté décalé comme les moines ou le Elvis-tueur à gages mais voilà, il n'en reste pas moins que des personnages cartoonesques privés de personnalité.

De plus, le Livre sans Nom est noyé sous une ribambelle de personnages dont on perd la trace de certains sur différents chapitres. C'est le piège du trop plein qui prive le livre d'une intrigue solide que je ne vais pas détailler plus ici mais qui coche beaucoup trop de cases avec une enquête criminelle un peu vaine et des révélations fantastiques qui n'ont plus rien de surprenante dans ce livre où tout est permis...

En conclusion, le Livre sans nom est un titre dans lequel Anonyme tire dans tous les sens sans jamais toucher sa cible. L'auteur s'est fait plaisir et à commencer à tisser son petit univers beaucoup trop blindé et chargé de références pop pour nous susprendre dans ce délicat moment d'incrédulité.
Le résultat est cartoonesque, bordélique, malgré un rythme bien ficelé, un peu d'humour parfois juste et une envie de rédecouvrir Santa Mondega ...car, même si on n'est pas happé par le Livre sans Nom, Anonyme nous donne quand même sacrément envie de retouner dans cette ville fumante pour s'y prendre une cuite qui nous laissera cette fois une vraie gueule de bois.








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Le Bourbon Kid est un tueur légendaire, introuvable, qui avait semé la mort à Santa Mondega il y a cinq ans.
Avec une éclipse de soleil imminente et l'arrivée de tout ce la région compte comme chasseurs de trésors à la recherche d'un bijou volé aux pouvoirs réputés immenses, il y a fort à parier que les emmerdes vont rapidement revenir...

On ne sait pas qui est la plume derrière les aventures du Bourbon Kid, mais on cite Quentin Tarantino comme influence majeure. Et c'est vrai que devant le scénario énervé et l'amoncellement foutraque de tous les clichés du thriller et du film à créatures maléfiques (vampires, démons, loups-garous), on ne peut que penser à Une Nuit en Enfer, dont Tarantino avait écrit le scénario pour Robert Rodriguez.

Malheureusement, le nombre d'invraisemblances et de moments WTF m'ont rapidement fait décrocher, malgré une écriture soignée et rythmée. Pas le bon public ici, mais si vous aimez les thrillers mystico-sanguinolents sans trop de prise de tête, ça peut le faire.
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Un scénario type western ou BD violente auquel j'ai eu du mal à accrocher. Pas de manichéisme, pour changer de nombreux romans (ou films) américains: ils sont tous méchants ..... ou presque.
Les seuls personnages qui m'ont intéressée, ce sont le duo de policiers: l'un, local, Somers, accroché à sa conviction que c'est le Bourbon Kid qui est le responsable de ces avalanches de meurtres; l'autre, envoyé par le gouvernement à Santa Mandega, au titre étonnant d' "inspecteur en chef des enquêtes surnaturelles". Ni l'un ni l'autre ne sont appréciés de leurs collègues.
Il m'a fallu lire environ la moitié du livre avant d'accrocher à l'histoire; je n'en garderai pas un souvenir indélébile. Ce n'est pas le style de roman ( ni de film, d'ailleurs, type Pulp Fiction) que j'apprécie. J'ai cru comprendre qu'un (ou plusieurs?) film allait en être tiré, cela ne l'a pas surprise. Je n'irai pas le voir et ne lirai pas non plus les tomes suivants.
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