La vengeance de la pelouse

J’étais enfant alors, bien que maintenant j’aie l’air de quelqu’un d’autre.

J'ai essayé de te décrire à quelqu'un, il y a quelques jours.
Tu ne ressembles à aucune autre fille.

Je fus content de voir le bus venir. On entrevoit une sorte de bonheur quand le bus qu'attend approche.

Je fais comme tout le monde : j'habite à San Francisco.

Il y a des milliers de nouvelles qui commencent de façon originale. Ce n'est pas le cas de celle-ci.

Un jour, il décida que son amour de la poésie ne pouvait se satisfaire de simplement lire des poèmes ou écouter des disques de poètes lisant leurs œuvres.Il décida d'enlever la plomberie de la maison, et de la remplacer par de la poésie.

Tout ce que je sais, je l'ai appris des scouts d'Amérique, et j'avais fait ma B.A de la journée.Il ne me manquait plus maintenant pour demeurer en sainteté que de trouver une voiture de pompiers décrépite que j'aiderais à traverser la route.
- Merci, mon fils, dirait-elle, avec sa peinture rouge pleine d'arthrite sentant le grand âge, son échelle couverte de cheveux blancs et une légère cataracte sur sa sirène.

Elle était très jolie avant ses quarante ans.

Et maintenant, me voici en train d'écouter une causerie, parce qu'il pleut des cordes dehors et que je n'ai rien d'autre de mieux à faire de mes oreilles.

Gnôle et nana, gnôle sans nana, re-gnôle et re-nana, c'est toujours le même refrain.