la suite de la guerre des fées.
un roman de fantasy pour la jeunesse.
Peut être un peu trop jeunesse justement pour moi. Je n'ai pas trop apprécié la psychologie des personnages et leur naiveté.
Néanmoins cela reste un bon roman pour nos petits jeunes en quete d'aventures
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Il se passe plein de choses dans ce tome: des retournements de situations, des surprises, des complots, des gros méchants...
Pyrgus est sensé devenir empereur mais c'est sans compter les manigances de Lord Noctifer. Henry est appelé à la rescousse. le gardien tombe amoureux de la dame peinte. On découvre de nouveaux elfes, les elfes de la forêt, très avancés technologiquement. C'est l'équivalent des suisses version elfe. Ils ne prennent partie ni pour les elfes la lumière ni pour les elfes de la nuit tant qu'on les laisse tranquilles. L'histoire est intéressante avec des situations drôles (les vers par exemple). Ce qui me gêne c'est l'écriture en elle même. Les chapitres sont très courts mais un coup on parle d'henry, un autre coup de blafardos, un autre coup de ça. Je trouve que ça casse le rythme de lecture. Je suis bien prise par l'action et paf il faut aller voir ailleurs. Mais bon je vais lire la suite car l'histoire est bien.
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Hmm... Un livre adoré ? le dire, je ne saurais... Car aussi partagée que pour le tome 1, j'ai été.
Bon, pardonnez mes quelques rimes, une soudaine et irrésistible envie de rimer m'a saisi (vous aussi, ça vous arrive ?) ;-)!
Eh bien, disons que je suis infiniment reconnaissante à Henry d'avoir réussi à convaincre Pyrgus d' abdiquer de son trône d'empereur pourpre pour que Holly Bleu prenne sa place. Non mais désolée mais franchement quoi : pourquoi as-tu ressuscité ton père, Pyrgus ?!!! Non mais qu'est-ce qui t'es passé par la tête ?! Bon, OK, je veux bien comprendre que tu n'avais strictement aucune envie de devenir empereur mais tout de même !! Et puis, tu savais bien comment ça allait se finir, non ? Oh, Pyrgus... Mais bon, Pyrgus reste quand même sympa, surtout avec la belle soldate et elfe de le forêt Nymphe ;-) Mais, comme dit Henry, pas aussi belle que Holly Bleu... Il se pourrait d'ailleurs bien que les choses aient avancées pour eux deux mais chut, je n'en dis pas plus... Quant à Coma, qu'est-ce que je l'ai détesté jusqu'à la dernière partie du livre celui-là, ce traître ! Comment a-t-il pu leur faire ça ? Sommes-nous d'ailleurs bien certain qu'il n'en soit pas un ? Et jouait-il un double jeu en trahissant ou non ? Bref, encore bien des questions qui restent en suspend et pousse à continuer la saga, d'autant plus avec un épilogue des plus intrigants : un philtre d'amour sur sa table de nuit ?! Voilà une fin, ou plutôt un début, prometteur... Quoi donc ? Eh bien, commençons le tome 3, pardi ! À bientôt pour la critique sur la tome 3 !!
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Après avoir sauvé le monde des Elfes, Henry est confronté à la banalité de la vie réelle. Mais ce court répit ne durera pas longtemps : en effet, ses amis lui demandent une nouvelle de l'aide. Lord Noctifer complote encore contre eux et un événement déstabilise Pyrgus et Bleu : leur père défunt...est revenu à la vie !!!
L'empereur pourpre est une suite meilleure que le premier tome : non pas parce qu'elle est plus grosse mais que l'action file à la vitesse lumière, que la psychologie des personnages est plus construit, que ceux-ci accomplissent des faits savoureux pour nous tenir en haleine, que l'intrigue est plus mure et plus améliorée (notamment sur le père de Pyrgus et Bleu qui nous inquiété), qu'on nous expose pas trop longuement le quotidien changé de Henry, que cette fois ci, Henry est vraiment un héros à part entière.
En tout cas, j'ai passé un très bon moment avec ce livre.
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Un deuxième tome bien sombre mais où le deuil est joliment évoqué. Chacun des personnages doit faire des choix pour son avenir et celui des elfes.
L'empereur meurt et Pyrgus devient le futur empereur. Pourtant, il ne semble pas prêt à porter cette charge malgré le soutien de sa soeur Bleu. Comme d'habitude, Noctifer complote pour que Pyrgus ne soit pas nommé. Pour cela, il fait revenir des morts l'empereur et nomme son demi frère Comma comme futur dirigeant. Pyrrhus et Bleu deviennent des exilés mais il trouveront des alliés inattendus auprès des elfes des forets, très en avance technologiquement.
Un excellent tome où la psychologie de chacun des personnages est bien plus précise. Beaucoup de rythme.
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Henry se retourna vers son accompagnatrice. Elle le mettait mal à l'aise et, pourtant, elle lui souriait gentiment.
-Il va bientôt rentrer ? demanda-t-il.
-Qui ça?
-Pyrgus.
-Pyrgus ne vit plus ici.
-Pardon?
-Pyrgus ne vit plus ici.
Henry fronça les sourcils :
-Alors pourquoi m'avez-vous emmené dans cette pièce ?
-Tu voulais voir sa chambre, non ?
-Je... je me suis mal exprimé, excusez-moi, bredouilla le garçon. En réalité, je voulais voir Pyrgus.
-Ce n'est pas possible.
-P... pourquoi ?
-Il est en exil. A présent, c'est mon fils qui est empereur.
Elle papillota, comme si elle venait de s'éveiller d'un long sommeil. Puis elle fixa Henry et déclara d'un ton calme :
-Je vais te faire mettre en cachot. Tu es si laid...
Henry frissonna. Cette femme était dangereuse. Et pas normale. Elle ne tira aucune sonnette. Ne fit aucun geste. Ne poussa aucun cri. Pourtant, en un instant, la pièce se remplit d'hommes musculeux et Quercusia ordonna :
-Jetez cet énergumène dans la pire cellule du donjon !
Ses yeux lançaient des étincelles. De l'écume couvrait ses lèvres. Son corps frémissait de colère.
-Oui, jetez-le dans le donjon, répéta-elle. Et après, détruisez la clef de sa geôle !
Blafardos but une gorgée de son alcool avant d'oser effleurer du regard le monstre absolu. Lord Noctifer lui sourit. Ses dents étaient sanguines - il venait de porter son verre de piment à la bouche. Au lieu de le reposer, il le leva et, portant un toast, s'écria :
- Buvons à la Révolution des wangarami !
Et Jasper eut la certitude qu'il ne sortirait pas de là vivant.
-Mes amis, annonça le prêtre en jetant un oeil aux spectateurs professionnels qui ne semblaient guère amicaux, nous sommes réunis ici pour célébrer le blablabla de patati patata et ainsi de suite avec de la rhubarbe, etc., ah-hum.
Sulfurique ouvrit de grands yeux.
-Votre dulcinée a estimé que l'intégrale de la cérémonie coûtait trop cher, lui souffla l'officiant. Si vous voulez payer...
-Non, continuez, répondit le vieillard.
"Je vole ! Pensa Henry. Je voooole !"
C'était fantastique. Le vide était sous lui. Lui restait au-dessus, comme si une main géante l'avait retenu et suspendu dans les airs. Il n'avait jamais rien connu de tel. Un mélange de liberté et d'étourdissement.
Ils progressèrent dans le labyrinthe, les sens aux aguets. Une minute ne s'était pas écoulée quand Palaemon marcha sur une brindille.
Une lame jaillit de la paroi. Le soldat bondit. L'acier tranchant lui arracha un bout du lobe de l'oreille gauche. Le sang se mit à couler en abondance. Mais c'était un détail : sans ses réflexes innés propres aux Fées de la Forêt, Palaemon aurait été décapité.