AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Mémoires de Lady Trent tome 3 sur 6
EAN : 9782367934693
L’Atalante (23/06/2017)
4.04/5   51 notes
Résumé :
Isabelle Trent, devenue célèbre, n'en a pas fini de déplaire à la bonne société du Scirland (qui doit beaucoup à l'Angleterre victorienne). Notre impétueuse naturaliste, après avoir transformé sa demeure en une sorte d'université pour jeunes femmes désireuses de s'instruire, entreprend de monter une expédition afin d'étudier les dragons du monde entier et, l'espère-t-elle, révolutionner leur taxonomie. Comble d'inconvenance, cette fois, Jake, le fils d'Isabelle et d... >Voir plus
Que lire après Mémoires de Lady Trent, tome 3 : Le voyage du BasilicVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (11) Voir plus Ajouter une critique
4,04

sur 51 notes
5
1 avis
4
5 avis
3
5 avis
2
0 avis
1
0 avis
Après un premier tome plein de promesses et un second plus décevant, on retrouve notre naturaliste experte en dragons pour une troisième aventure qui l'entraîne une fois encore bien loin de son pays natal. Voici donc Isabelle Trent à nouveau en vadrouille autour du monde, la « sulfureuse » lady ayant réussi à financer le départ d'une expédition de plusieurs années à bord d'un navire afin d'étudier les différentes races de dragons. le titre de l'ouvrage ainsi que son intrigue font évidemment directement référence au célèbre « voyage du Beagle » réalisé dans sa jeunesse par un certain Charles Darwin auquel notre héroïne se rattache par bien des aspects. Contrairement à ce que la lecture du deuxième tome m'avait fait craindre, c'est donc fort heureusement l'aspect scientifique qui prime à nouveau ici au dépend de l'aspect politique. Si la jeune femme a toujours la fâcheuse manie de se retrouver mêlée à divers complots (et parfois de façon franchement tirée par les cheveux), on ne peut pas nier que l'étude des dragons occupe une place centrale, et ce assez tôt dans le récit (contrairement au second tome où il avait fallu attendre presque la moitié du roman). Les nombreuses escales du Basilic dans différents ports de part le monde fournissent ainsi à l'auteur le prétexte idéal pour introduire une multitude de nouvelles espèces avec lesquelles la rencontre sera plus ou moins instructive. Serpents de mer, quetzalcoatls, lézards de feu, tortues dragons... : ce ne sont pas les objets d'étude qui manquent pour notre naturaliste qui se met peu à peu à échafauder des théories remettant en cause ou affinant les caractéristiques de classification des dragons (là encore le lien avec Darwin est assez évident). Les illustrations de Todd Lockwood immortalisant ici ou là une rencontre avec un animal ou dévoilant le Basilic à différents moments de l'expédition sont un plus non négligeable pour le lecteur qui appréciera la plupart de temps de pouvoir se faire une idée plus précise de l'apparence de tel ou tel personnage/créature.

Comme ses prédécesseurs, ce troisième opus comporte son lot de nouvelles têtes, à commencer par le fils de notre héroïne, Jake, qui fait lui aussi parti de l'expédition. Éloignée des standards de l'époque comme des nôtres, la relation entre la mère et le fils est certainement l'une des plus intéressantes du roman et permet à la jeune femme d'apparaître sous un jour plus vulnérable et donc plus sympathique. L'irritation ressentit lors du précédent tome devant le comportement ou certaines réflexions émises par l'héroïne se fait ainsi moins sentir, même si une petite pointe d'agacement ou deux n'ont pas manqué de refaire surface à la vue de la scientifique piquer un fard devant un simple torse nu ou s'emballer au moindre contact physique entre elle-même et un membre de la gente masculine. Tout cela est bien sûr compréhensible étant donné que Lady Trent est censée avoir baigné durant toute sa jeunesse dans une société rappelant fortement notre Angleterre victorienne, mais il n'empêche que ce genre de comportement a le don de m'agacer. Autre source d'irritation : la manie qu'a la jeune femme de passer sous silence ou de mentionner de manière presque anecdotique des aspects de sa vie qui pourraient au contraire s'avérer passionnants. Un exemple : autant je me fiche éperdument de connaître le détail des rumeurs véhiculées par la presse à scandale concernant ses éventuelles liaisons avec toute une cohorte d'hommes, autant j'aurais été très intéressée d'en apprendre davantage sur les difficultés rencontrées par l'héroïne en tant que femme dans le milieu scientifique (la mention d'une sorte d'université féminine gravitant autour de Lady Trent est notamment intrigante mais on ne nous en apprend que très peu à son sujet). Les personnages secondaires sont quant à eux, justement, très secondaires, même si certains ne manquent pas de susciter la curiosité ou la sympathie comme le capitaine Aékinitos ou encore l'archéologue Suhail.

Reste à aborder un peu plus en détail la question de l'univers qui continue ici de s'étoffer. le voyage du Basilic donne évidemment lieu à plusieurs escales dans différents endroits du monde sur lesquels nous est chaque fois fournit un bref topo résumant l'histoire de la région et des peuples qui y vivent. Ces escales ne sont évidemment pas le fruit du hasard et donnent chacune à voir un aspect différent du monde de Marie Brennan. On passe ainsi des zones polaires à ce qui pourrait ressembler à la Chine en passant par la côte sud-américaine et enfin les îles d'Océanie. L'occasion pour l'auteur de mettre en scène différents systèmes politiques, coutumes et surtout paysages, l'ambiance régnant au Yélang n'ayant de toute évidence rien à voir avec celle du Coyahuac, et encore moins avec celle des petites îles de la Mer Brisée. On peut également saluer dans ce troisième tome l'apparition de nouvelles sciences à commencer par l'archéologie qui nous permet ici d'en apprendre un peu plus sur cette mystérieuse civilisation draconienne dont on a déjà eu l'occasion de découvrir quelques vestiges. de même, on peut noter l'apparition d'un certain nombre de machines plus ou moins sophistiquées mais capables, chacune à leur façon, de révolutionner la manière de mener des études scientifiques, ou tout simplement de se déplacer. C'est le cas notamment de la cloche de plongée (dont la mise à l'eau donne lieu à une scène très réussie), ou encore du caeliger, sorte d'aéronef construit notamment à l'aide d'os de dragon. L'aspect maritime de l'aventure est en revanche très réduis, les passages à bord du navire se concentrant essentiellement sur les échanges entre l'héroïne et ses compagnons plutôt que sur tout ce qui a trait à la navigation, ce qui est à mon sens dommage. La mer est en tout cas bien présente sur la forme à défaut d'occuper le fond du récit puisque toutes les illustrations de Lockwood baignent dans une lumière bleutée du plus bel effet, tandis que le texte n'a pour une fois pas été imprimé en noir mais en bleu (un détail, bien sûr, mais plutôt amusant et dont je n'ai pas d'autres exemples).

Avec « Le voyage du Basilic » Marie Brennan renoue avec ce qui faisait dès le départ la véritable force de son univers et de ses romans : l'observation des dragons selon un angle scientifique. L'ouvrage comporte malgré tout un certain nombre de défauts plus ou moins gênants, à commencer par les choix parfois discutables de la part de l'héroïne de passer sous silence certains aspects pourtant très intrigants de son parcours. Attendons maintenant de voir ce que la suite nous réserve...
Commenter  J’apprécie          120
Après un premier volume enthousiasmant et un second plus lent, j'ai dévoré ce troisième tome. Bien entendu, arrivés au troisième volume d'une saga, vous ne pourrez pas me tenir rigueur de vous spoiler quelques éléments des deux premiers tomes, toutefois, si vous ne souhaitez pas avancer plus loin, vous pouvez toujours jeter un oeil aux chroniques des premier et deuxième tomes ! 🙂 C'est aussi ma première lecture dans le cadre du Mois de la Fantasy 2020 avec la catégorie « la fureur de Smog : créatures fantastiques ».

Mon résumé

Après son voyage en Erégie et celui, non moins tumultueux, au Bayembé, Isabelle Trent a entrepris de monter une expédition à travers le monde afin d'étudier les dragons. C'est à bord du Basilic qu'elle fera escale dans différents coins du globe y rencontrant tantôt de dangereux serpents des mers ou les majestueux quetzalcoatls, tantôt les ennuis – souvent mortels – qu'elle semble collectionner.

Cette fois-ci, son fils, Jake, sera de la partie alors que Mademoiselle Oscott restera à terre pour s'occuper de sa maison et de cette sorte d'université pour jeunes femmes qui a commencé à se construire autour de la personnalité sulfureuse de la Lady – c'est pourtant pas faute de rougir à chaque fois qu'un torse nu se présente -.

Entre l'étude des dragons, les découvertes majeures qu'elle fera, l'enthousiasme débordant de Suhaï un archéologue Akhien et la fréquentation peu recommandable mais répétée de la mort, ce voyage ne sera pas de tout repos !

Mon avis

Comme je vous le disais le second tome m'avait paru assez long. D'une part parce que l'on suivait essentiellement Isabelle dans ses déboires et non plus dans l'étude des dragons mais aussi parce que le récit s'était teinté de politique de manière trop prononcé à mon goût. Ne vous méprenez pas, j'adore les intrigues politiques, mais j'avoue que ce que je préfère dans ce récit là ce sont les dragons et la façon absolument fascinante dont les découvertes d'Isabelle font progresser la science.

Dans ce tome ci nous partons d'emblée à la conquête des serpents des mers. le but de l'expédition ? Déterminer si les dragons ont évolué séparément, conjointement et découvrir pourquoi certains ressemblent davantage à des reptiles et d'autres à des oiseaux. Je lui ai trouvé un je ne sais quoi qui m'a beaucoup plu, peut-être parce que je pouvais sentir tout un enthousiasme scientifique dans les mots d'Isabelle, peut-être parce que sa relation avec son fils amenait de tendres disputes qui me rendait son personnage plus sympathique ou bien tout simplement parce qu'on en apprenait décidément beaucoup sur le monde que Marie Brennan avait créé à travers ce troisième volume ? Un peu de tout cela à la fois.

Je crois que le terme que je cherche est « richesse ». le second volume s'était tellement attardé en une seule région, avec très peu de dragon, qu'il avait été beaucoup plus plat et monotone que le premier alors qu'il s'y passait beaucoup de choses politiques et métaphysiques. Mais là c'est une véritable expédition ! Isabelle se déplace de port en port, de village en village, elle explore les coutumes locales, trouve des guides pour la mener sur des territoires reculés chargés d'histoires, quand elle ne se fait tout simplement pas rejetée par les autorités par peur de ce qu'elle pourrait découvrir. Tout cela rendit le récit palpitant et gorgé de légendes et de créatures célestes ou aquatiques.

Nous retrouvons bien entendu avec grand plaisir le ton très cynique d'Isabelle alors plus âgée et reposant un regard plus critique sur son comportement d'alors, annotant le récit de précisions entre parenthèses, distillant ce que sera plus tard son fils décidément pas très féru de dragons, faisant référence à tout ce qui agita le monde pendant son incroyable expédition sans qu'elle n'en sache rien… Cette espèce de lecture à deux vitesses, d'une part le récit très vivant et dynamique d'Isabelle comme le serait n'importe quel roman, et d'autre part l'aspect « mémoire » donnent un rythme que j'apprécie tout particulièrement et qui est très bien maîtrisé par l'autrice. J'aime l'idée que je ne sache pas tout, et que tout ce que je lis s'est déjà produit et a eu des conséquences. C'est idiot puisque tout est fiction mais c'est la grande réussite de ce récit faisant d'Isabelle un genre de Darwin de la fantasy.

Ce qui me plaît particulièrement et qu'on sentait également se construire dans les deux premiers volumes ce sont les réflexions autour de l'aspect scientifique de la chose, de l'étude. Isabelle a un avis très tranché sur la question. Pour elle traquer et tuer un specimen pour l'étudier afin de comprendre une race entière est tout à fait différent du massacre auquel s'adonne les chasseurs que ce soit par plaisir ou opportunisme. Aussi, même si la recherche la passionne, elle est toujours à cheval entre deux chaises : ce qu'elle doit dire pour faire avancer la science, ce qu'elle devrait taire pour empêcher la science de devenir industrie. Ce jeu sur le fil du rasoir est présent dans tout le récit, du moment où elle se rend compte qu'une île a été entièrement dépeuplée pour récupérer des os de dragon, à celui où elle découvre d'où proviennent les pierres de feu. Marie Brennan retranscrit cette réflexion scientifique avec brio ainsi que l'enthousiasme par lequel se laissent porter les scientifiques de son roman. C'est à la fois touchant et effrayant.

En résumé

Le Voyage du Basilic constitue un troisième volume riche d'aventures et de découvertes. On y apprend comment Isabelle Trent a chevauché un serpent de mer, épousé une femme, est morte trois fois et s'est une nouvelle fois fourrée dans des complots politiques et industriels. Mais on en retiendra surtout les disputes tendres avec son fils, les découvertes scientifiques et archéologiques et l'enthousiasme débordant et effrayant qui découle de la soif de connaissances.
Lien : https://lesdreamdreamdunebou..
Commenter  J’apprécie          20
Ça tourne en rond...

En un mot : mouais. J'étais enthousiaste à l'idée de lire un équivalent Fantasy du voyage de Charles Darwin, mais je ressors de ce tome 3 globalement déçu. Il y a trop de similitudes de structure entre les romans du cycle, les personnages secondaires sont trop évanescents, et globalement ça tourne trop en rond à mon goût (y compris sur l'aspect Fantasy of manners). de plus, le roman est mal équilibré, une des parties du voyage (dans un équivalent de la Polynésie) phagocytant beaucoup trop les autres et même la fin, pour le coup franchement tronquée. Cela ne m'empêchera pourtant pas de lire la fin du cycle, d'autant plus qu'apparemment, Isabelle va travailler avec l'armée du Scirland dans le tome 4. Mais disons que j'aborderai ce dernier avec une certaine méfiance, qui n'existait pas lorsque j'ai lu le tome 2 (que j'ai trouvé meilleur que le 1) ou ce tome 3.

L'argumentaire complet est à lire sur mon blog.
Lien : https://lecultedapophis.word..
Commenter  J’apprécie          163
Ayant beaucoup aimé les deux premiers tomes de cette série, j'attendais impatiemment la suite. Les dragons sont au centre de ces romans avec une héroïne intéressante et féministe avant l'heure, et l'évasion est au rendez-vous. Cependant, j'ai été un peu déçue par ce tome 3 qui reprend un peu trop la trame des deux précédents.

Plusieurs années ont passé depuis la fin du tome 2 et quelques changements ont eu lieu dans la vie d'Isabelle. Elle a déménagé et a transformé sa maison en une sorte d'université pour jeunes femmes désireuses de s'instruire. Son fils a aussi grandi, leurs relations ont évolué et Isabel a plus la fibre maternelle. Elle entreprend alors un très long voyage autour du monde dans le but d'étudier les dragons du monde entier. Pour cela, elle embarque avec son collègue Tom Wilker, déjà présent dans les tomes précédents, Abby, la gouvernante de Jake et Jake. le basilic est le nom du bateau sur lequel les personnages vont embarquer et passer une grande partie de leur temps.
Le point de départ du roman est ainsi intéressant car il donne l'occasion de connaitre des endroits du monde que l'on n'avait pas encore vu. Qui dit nouveaux pays dit aussi nouveaux dragons et de ce côté, nous sommes servis. On rencontre les fameux serpents de mer mais aussi un quetzalcoatl. La variété des dragons est très impressionnante et les illustrations du livre les mettent toujours autant en valeur. Les dragons ont plus d'importance dans ce tome, où Isabelle a acquis une certaine réputation en tant que naturaliste et le côté scientifique est ainsi plus mis en avant. L'auteure reprend ainsi des éléments du premier tome sur la conservation des os de dragons, ce qui permet de relier les tomes entre eux autrement que par les seuls personnages.
L'écriture de Marie Brennan est toujours agréable, fluide et très imagée. le roman se lit très bien et ne souffre pas de baisse de rythme, même si la fin est assez abrupte. On voyage beaucoup et on apprend pas mal de choses sur les coutumes des autres pays, ce qui donne lieu à quelques passages assez cocasses par moments. Certains moments auraient pu être un peu plus développés comme l'université de femmes qui est assez survolée dans le roman. On imagine que l'influence d'Isabelle sur le monde scientifique allant en s'améliorant, cette université devrait avoir de l'importance et cela aurait pu être intéressant d'en savoir plus.

Ce tome est dans la lignée des précédents, parfois un peu trop : il reprend la même trame que les deux tomes précédents, dans lesquels Isabelle se trouve sans le vouloir mêlée à des événements politiques qui changent son voyage et ont des conséquences sur ses découvertes. Ce n'est pas dérangeant outre mesure, et n'enlève rien à la qualité de la série, mais il faudrait que les tomes suivant se renouvellent un peu plus sous peine de lasser. L'objet livre est de très belle qualité avec une encre bleue du plus bel effet et de très belles illustrations. Malgré, ces quelques bémols, j'attends la suite des aventures d'Isabelle avec impatience afin d'en apprendre plus sur les mystères de cet univers très riche.
Lien : https://aupaysdescavetrolls...
Commenter  J’apprécie          51
Nous avons laissé notre chère lady Trent avec un lourd sentiment de faim. Ici, attendez-vous à toute autre chose ! Nous retrouvons notre lady en pleine création d'une école pour femmes au sein de sa propre maison. Un seul projet ne suffisant pas à notre Isabelle, elle se prépare déjà pour sa prochaine expédition et elle ne sera pas seule. En effet, son fils désire plus que jamais se rapprocher de sa génitrice et mériter l'amour qu'elle lui doit.

Les voilà alors partis pour un périple à bord du Basilic afin de découvrir des dragons ! Étonnant non ? Ils rencontreront des serpents de mer, braverons la mort à plusieurs reprises, apprendrons même le surf ! Ils larguerons les amarres pour prendre un peu l'air... Isabelle fera une découverte majeure déterminante pour son études des dragons et pourquoi pas... publier un article même ?

Un troisième tome qui n'a rien à envier au précédent. Marie Brennan a sur récupérer ses lecteurs au travers de ces îles paradisiaques, ses amours, ses mythes et croyances exotiques absolument géniales ! J'ai tout bonnement adoré le travail de l'auteur sur les autochtones des îles et leur traditions maritales. Un vrai régime progressiste en quelque sorte, que nous ferions peut-être bien d'adopté ? Ou pas ;)

J'espère que la suite sera de cette trempe car là, j'ai vraiment adoré.

Petit bémol... il faut attendre la 150e voire 200e pages pour que le récit démarre vraiment. A vous de voir si vous êtes patients, moi je ne regrette rien !
Commenter  J’apprécie          40


critiques presse (1)
Elbakin.net
15 juillet 2015
Au niveau de la forme, le style de l’auteur est toujours aussi maîtrisé et agréable. Sans ces noms de pays improbables (...), on ne peut s’empêcher de penser à Jane Austen et aux récits de voyages de ces aristocrates anglais.
Lire la critique sur le site : Elbakin.net
Citations et extraits (1) Ajouter une citation
Après tout, cela fait vraiment une éternité qu'aucun scandale satisfaisant n'a été attaché à mon nom. Je trouve cette respectabilité lassante à la longue, après tant d'années passées à être un objet de honte.
Commenter  J’apprécie          00

Videos de Marie Brennan (5) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Marie Brennan
Marie Brennan - Mémoires, par lady Trent. Volume 4, Le labyrinthe des gardiens
autres livres classés : fantasyVoir plus
Les plus populaires : Imaginaire Voir plus


Lecteurs (118) Voir plus



Quiz Voir plus

La fantasy pour les nuls

Tolkien, le seigneur des ....

anneaux
agneaux
mouches

9 questions
2498 lecteurs ont répondu
Thèmes : fantasy , sfff , heroic fantasyCréer un quiz sur ce livre

{* *} .._..