journal en prenant mon petit déjeuner, je commençais par la fin pour découvrir le gag du jour d'Hägar Dünor avant d'aller ensuite regarder le classement du tour de France, et puis c'est à peu près tout. Alors en ouvrant ce gros tome de 250 pages, il prend ce bon goût de Madeleine de
Proust. Maintenant, 500 gags à la suite, ce n'est pas tout à fait pareil, on se rend compte qu'il y a quelques répétitions, cette série est vraiment adaptée au principe du strip quotidien, c'est ce qui a fait son succès, entre autres. Parce qu'il y a aussi cet éventail de personnages burlesques, caricaturaux, ce trait efficace et simple, et la vivacité du gag en une à trois images.