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Fables tome 22 sur 25
EAN : 9782365774093
176 pages
Urban Comics Editions (28/08/2014)
4.18/5   25 notes
Résumé :
Après la chute de Mister Dark, les Fables prirent possession du château de ce dernier, laissant présager le retour au calme tant espéré. Mais ce qui aurait pu être le début d'un agréable conte de fée pour Blanche Neige et sa famille se transforme rapidement en cauchemar lorsque deux de ses louveteaux sont kidnappés. Pour ajouter à cette pénible épreuve, un secret longtemps dissimulé refait surface et pourrait bien sonner le glas de son mariage avec Bigby.
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Critiques, Analyses et Avis (4) Ajouter une critique
Ce tome fait suite à Cubs in Toyland (épisodes 114 à 123). Il comprend 2 parties distinctes. La première est consacrée à Bufkin, et est composée de courts chapitres de 3 pages parus dans les numéros 114 à 123 (parus en 2012/2013), ainsi que l'épisode complet 124. La deuxième donne son nom au recueil "Snow White" et correspond aux numéros 125 à 129, parus en 2013.

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- A revolution in Oz (50 pages, dessins, encrage et couleurs de Shawn McManus) - Il s'agit de la suite des aventures de Bufkin et Lily Martagnion dans le pays d'Oz. Dans Inherit the wind, Bufkin avait été capturé par l'armée du roi Nome et il devait être pendu. Ses compagnons essayent de s'organiser pour concevoir une évasion. Mais sans leur chef Bufkin, ils sont incapables de faire aboutir leurs idées.

Depuis 2 tomes, Bill Willingham avait fait prendre la tangente à son récit, s'écartant de la reconstruction de Fabletown, privilégiant d'autres intrigues. Si dès le début de la série, il avait bien montré au lecteur qu'il mène sa barque comme il l'entend, son choix de délaisser le sort de la communauté au profit de la famille de Bigby était inattendu. Avec la première partie de ce tome, le lecteur éprouve au moins la satisfaction de découvrir la fin d'une autre intrigue secondaire laissée en jachère : le sort de Bufkin. Willingham a concocté un conte dont il a le secret, avec des individus aux motivations crédibles, une dictature ridicule en apparence, mais aux effets réellement néfastes. Les héros de l'histoire sont pour l'essentiel des personnages un peu simples, souhaitant bien faire, mais ne sachant pas comment s'y prendre. Bufkin et Lily Martagnion sortent du lot, avec une volonté et une capacité de réflexion plus élaborée. le ton du récit est très décontracté, pas d'angoisse, pas de mélodrame, le lecteur sait que tout finira bien. Comme à son habitude, Willingham mélange des éléments de conte, un peu de magie (bienvenue pour résoudre quelques conflits de manière arbitraire, mais toujours inventive), beaucoup d'humour gentil (pas de sarcasmes, pas de ridicule méchant), et des personnages souriants pleins d'entrain.

Si le lecteur adulte peut trouver l'histoire un peu gentillette, il se laisse rapidement prendre au jeu du fait d'éléments plus sophistiqués. Bien sûr, l'accroche constituée par la relation "interraciale" entre Bufkin (un singe ailé, ayant perdu ses ailes) et Lily Martagnion (une lilliputienne issue du peuple des grains de maïs) dégage un parfum subtilement salace, mais aussi plein d'espoir sur la possibilité d'aimer malgré les différences. Il y a aussi la volonté des compagnons de Bufkin (Jack Pumpkinhead, Bungle le chat de verre, Sawhorse, Yoop) d'apporter leur contribution à la société (aux efforts du groupe) malgré leurs capacités limitées. En y regardant de plus près, Willingham inclut également quelques horreurs bien senties telles que des géants de pierre cloués au sol, ou des pions (d'échec) se déplaçant grâce à leur partie inférieure en forme de boule de billard dont cette sphère est arrachée par un géant. Impossible également de résister à l'humour inventif de Willingham, que ce soit ledit géant qui collectionne les boules (en estimant que celle avec un petit chiffre sont plus précieuses), ou l'arme imparable qui provoque la chute du tyran (une sucette).

Ces pages sont illustrées par Shawn McManus. Sa mise en couleurs utilise une palette originale, avec des teintes orange (mandarine, safran ou citrouille, mordoré), très chaudes, figurant un pays ensoleillé où il fait bon vivre, avec des dégradés délicats, sans être systématiques. Ce choix esthétique renforce la sensation de conte pour enfant, et la bonhommie générale du récit. Les personnages sont hauts en couleur, et originaux, avec un petit grain de fantaisie. La force de McManus est de réussir à faire exister tous ces éléments disparates dans une unité visuelle. La sucette déstabilisatrice présente toutes les caractéristiques d'une sucette sublimée, avec une belle rondeur, et des couleurs appétissantes. Lily Martagnion est très mignonne en jeune femme d'une vingtaine de centimètres (comme une jolie poupée, mais sans ressembler à Barbie), tout en affichant une grande volonté. Il est ainsi possible d'examiner chaque personnage et de voir avec quelle habilité McManus les fait exister. Il n'y a que les expressions des visages qui manquent un peu de nuances, avec une forte proportion de personnages avec la bouche grande ouverte.

Venu pour une intrigue secondaire dispensable, le lecteur découvre le devenir d'un personnage secondaire perdu de vue depuis plusieurs épisodes. À condition d'accepter de lire ce récit, il plonge dans un conte bien troussé, placé sous le signe de la bonne humeur avec une belle inventivité, et des dessins en parfaite harmonie, étoffant le récit en lui donnant plus d'ampleur. 5 étoiles.

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- Snow White (dessins de Mark Buckingham, encrage de Steve Leialoha et Andrew Pepoy) - Afin de retrouver Darien et Thérèse (2 de ses enfants), Bigby part en voyage dans les royaumes, en compagnie de Stinky (Brock Blueheart). Pour pouvoir passer d'un royaume à l'autre, ils se déplacent à bord de d'une voiture très spéciale (Haedon, voir Fairest in all the land). L'objectif est que Bigby puisse repérer la trace olfactive de Thérèse ou Darien. Dans le royaume de Flycatcher, Beast s'apprête à recevoir la Fée Bleue qui veut la mort de l'Adversaire, pour réparations contre crimes de guerre. À Fabletown, Leigh Duglas continue d'intriguer sournoisement. Alors que Bigby est parti, Prince Brandish (Werian Holt) fait son apparition et se rappelle au bon souvenir de Snow White comme étant son premier mari.

Enfin ! Bill Willingham revient à son intrigue principale, dans Fabletown nouvelle version. le lecteur revoit le maire King Cole (et apprend même son prénom). Il retrouve les personnages principaux, à commencer par Bigby et Snow White, en passant par Briar Rose (la belle au bois dormant), Ozma. Il retrouve des personnages plus secondaires, ou laissés de côté tels que Reynard T. Fox (toujours aussi suave et distingué), Flycatcher, Grimby, ou Stinky. Mais bien vite, la reconstruction de la communauté à New York est laissée de côté, au profit de la situation de Snow White face à cet ancien mari très encombrant, très exigeant (Bigby et les 7 enfants doivent être exterminés), et très dangereux. Il s'en suit un affrontement plein de suspense, avec hauts faits d'arme et sorts magiques. Décidemment très en verve, Willingham manie avec la même dextérité la tension née de l'affrontement, l'attente liée à la mission de Bigby, un humour intelligent (né de la personnalité des protagonistes, par exemple Bigby en train d'apprendre à conduire cette étrange voiture), des relations empreintes d'une saine chaleur humaine réconfortante entre individus, et des références aux contes traditionnels. À nouveau, le récit prend une orientation inattendue et pleinement satisfaisante, et Willingham invite des personnages doté d'une aura mythique (la Dame du Lac en particulier).

Willingham narre un drame très humain, aux proportions mythologiques, avec des intrigues secondaires très savoureuses (les incroyables négociations entre la Bête et l'envoyé plénipotentiaire de la Fée Bleue). le lecteur retrouve le style caractéristique de Mark Buckingham, toujours aussi agréable. En surface, il est toujours possible de déceler l'influence de Jack Kirby, en particulier dans la manière d'utiliser de délimiter les contours par des traits pouvant devenir très épais, figurant ainsi des ombres portées plus conceptuelles que réalistes. Malgré la présence de 2 encreurs (Leialoha et Pepoy) dans les mêmes épisodes, il n'y a pas de solution de continuité d'une page à l'autre. Il est tentant de se dire "encore du Buckingham", comme si sa présence était un dû, sans finalement grande importance.

En regardant un peu plus attentivement les pages, le lecteur se rend compte de l'apport de Buckingham dans la narration, au-delà du simple plaisir de retrouver le dessinateur attitré de la série. Cela commence avec la mise en scène des discussions. Finalement les personnages ont beaucoup de choses à se dire, comme dans des relations normales entre êtres humains. Pourtant le lecteur n'a jamais l'impression de regarder une suite de têtes en train de parler. Buckingham utilise le subterfuge de changer régulièrement l'angle de prise de vue, mais il met également en évidence le langage corporel et les mouvements de chaque intervenant, ajoutant ainsi des informations complémentaires aux dialogues.

Dans la mesure où c'est Buckingham qui a conçu l'apparence de ces personnages, le lecteur attend qu'ils soient dessinés par son créateur pour qu'ils soient authentiques. Mais au-delà de cette familiarité ou "authenticité" visuelle, Buckingham donne une apparence spécifique à chaque personnage, amalgamant avec aisance leur composante humaine et un élément de fantaisie (la grâce de Prince Brandish dans ses évolutions). Snow White est magnifique de bout en bout, malgré l'affliction dont elle souffre (très bien rendue grâce à la complémentarité entre les dessins et les couleurs choisies par Lee Loughridge), sans une once de vulgarité, avec une mise en avant de sa force de caractère, de son courage.

Buckingham n'a également rien perdu de sa capacité à dessiner des lieux enchanteurs. À ce titre, la pleine page consacrée à une vue aérienne du palais de la Fée Bleue (épisode 126) transporte le lecteur dans un décor enchanteur, débarrassé de tout stéréotype, un vrai plaisir pour les grands enfants. le passage de la voiture sous l'eau est tout aussi exotique, avec à nouveau une complémentarité exemplaire entre dessins et mise en couleurs élaborée.

Enfin Buckingham apporte un grand soin au découpage de chaque scène adaptant sa mise en page en fonction de la nature de la séquence. Il y a cette étonnante scène de séduction entre Leigh Duglas et King Cole, toute en nuance, une très belle direction d'acteurs. Il y a l'arrivée tonitruante de Bigby qui mérite pleinement son dessin pleine page. Il y a un duel magnifique à l'épée, fluide et tranchant.

Avec ce tome, Bill Willignham propose 2 histoires s'inscrivant dans 2 registres un peu différents. La première s'apparente à un conte pour enfants, avec hauts faits et prouesses magiques, dans lequel le lecteur adulte pourra trouver son content grâce à des personnages pas si lisses que ça, et des thèmes sous-jacents intelligents, le tout rehaussé par des dessins à la fois bon enfant et plein d'entrain. La deuxième histoire permet de revenir au coeur de la série, aux côtés des personnages principaux, pour un nouveau drame inattendu, une intrigue pleine de rebondissements, et des personnages toujours aussi attachants, avec des dessins à la fois habituels, mais aussi plus sophistiqués qu'il n'y paraît de prime abord.
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Nous avions laissé notre ami Bufkin en très mauvaise posture et il me tardait de savoir ce que l'auteur avait fait de mon petit singe bleu.

Là, on s'éloigne complétement de Fableville puisque nous aurons droit à un résumé de toutes les aventures de Bufkin, au pays d'Oz et ailleurs.

Si le dictateur qui tenait le pays d'Oz sous sa coupe était d'un ridicule, ses effets sur le peuple étaient plus que néfastes et le taux de mortalité avait fait un grand bon sous son règne.

C'est léger sans l'être, amusant tout en étant sérieux si on analyse le fond et la seule chose qui m'ait dérangée, ce sont les illustrations de Shawn McManus. Je n'ai pas aimé son interprétation de Bufkin qui perdait, sous sa plume, ses traits les plus importants de sa silhouette.

Maintenant que nous sommes rassurés et fixés sur la vie de notre Bufkin, passons aux choses sérieuses et revenons à Fableville où Blanche et Bigby sont toujours à la recherche de leurs deux enfants disparus…

Pendant que Bigby sillonne les différents monde dans une voiture magique avec Fétide, tentant de repérer l'odeur de ses enfants, notre Blanche Neige est reste à Fableville… La Belle et la Bête sont toujours à Haeven en train de régler le problème entre la Fée Bleue et l'Adversaire, dont elle veut la mort (et on ne peut que l'approuver).

Tout aurait pu aller comme sur des roulettes mais non…

Le putain d'ex promis de Blanche Neige est de retour, celui que nous avions découvert dans l'album « Rose Rouge », celui qui voulait épouser Blanche mais dont son père, roi, ne voulait pas. Tu penses bien, un Prince qui voulait épouser une souillon qui vivait au fond des bois !

Prince Brandish !! le genre de mec qu'on aurait envie de tuer sois-même s'il n'était pas protégé par des sorts puissants. Dans le genre gentleman, on a déjà vu mieux. Mais dans le genre macho phallocrate « je garde ma femme enfermée, elle me fera des enfants », j'ai rarement vu pire.

Prince Charmant et Jack étaient déjà de sacrés numéros qu'on avait envie de passer à la moulinette… Charmant m'a prouvé qu'il était un homme plus que brave sur le champ de bataille, Jack m'a juste prouvé qu'il était un enfant gâté à baffer, mais Brandish, lui, il dépasse tout ! Sa mauvaise foi, son manque de discernement, de mea culpa, d'ouverture d'esprit peuvent aller rivaliser avec ceux de l'ancien Adversaire.

Allez Bigby, vient lui raboter le nez à ce phallocrate qui veut tuer vos louveteaux et purifier Blanche de s'être faite couvrir par un Loup… Vas-y, BOUFFE-LE !!

Et là, là, je hurle à la lune toute ma hargne envers l'auteur !! Non, il n'a quand même pas osé faire ÇA ??? C'est une blague ?? Un poisson d'Avril ?? Mais je vais aller le tuer, moi, ce scénariste qui a osé faire ne chose pareille ! Lui faire écouter du Fabian/Dion plein pot, moi ! Et lui enfoncer des tas de trucs dans tous ses orifices pour le punir d'avoir osé…

Un album qui laisse présager que le final ne se fera pas tranquillement dans des charentaises, tout en sirotant des mojitos… Mais avec une boite de kleenex !

Vite le suivant pour voir si le scénariste a eu peur de mes menaces !

Mon coeur survivra-t-il à la fin de cette série ???

Lien : https://thecanniballecteur.w..
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On approche de plus en plus de la fin de Fables. Et les événements se multiplient, le rythme augmente... et les pertes commencent à compter...

Ce 20éme tome commence sur une histoire de revolution au pays d'Oz. Une revolution menée par Bufkin et par... une corde de pendue à qui on a donné la vie ! Aussi improbable que ça puisse paraitre, l'association fonctionne et le style graphique particulier de cet épisode est trés agréable ! La suite revient sur l'intrigue principal. Alors que Bigby est parti rechercher ses enfants, Blanche Neige reste à Fableville... où elle retrouve Brandish, son premier, et officiellement le seul, mari ! Et celui-ci compte bien la garder pour lui. Pas vraiment un gentleman, le bonhomme va s'attirer les foudre de Banche... et de Bigby.

Une histoire globalement assez courte mais qui fait évoluer l'histoire, laissant craindre des derniers tome aussi violent qu'apocalyptique. L'histoire prend en effet une tournure de plus en plus tragique et on peut craindre pour le destin de chaque personnage que l'on a aimé et suivi tout au long de cette saga. Il reste 3 tomes aprés celui-ci et personne ne parait à l'abri. Si la vraie menace reste encore cachée, force est de reconnaitre que je n'ai qu'une envie : vite découvrir la suite !
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Après deux tomes qui s'intéressaient principalement aux louveteaux de Bigby et de Blanche Neige, cette histoire se concentre surtout sur les déboires de leur maman.

Le début de cet album qui reprend les épisodes US de Fables #124 à #129, propose tout d'abord la suite des évènements qui se déroulent au Pays d'Oz. le tome 20 abandonnait en effet le lecteur sur un cliffhanger de format concernant le sort de Bufkin. Celui-ci avait été capturé par l'armée du roi Nome et devait être pendu, mais cette intrigue secondaire avait été laissée en suspend depuis. le trait plus cartoonesque de Shawn McManus et les teintes orangées plus chaudes renforcent encore l'aspect plus gentillet de cette révolution entamée par notre ami et qui se termine d'ailleurs de manière plutôt amusante par un lancé de sucette. Malgré quelques passages plus cruels, ce récit offre donc une petite bouffée d'humour entre deux passages plus sombres.

Après un détour par un « Pays des jouets » pas vraiment enchanteur, le récit revient en effet à Fableville et à l'intrigue principale, pour une suite riche en rebondissements, mais toujours aussi cruelle et sombre. Une fois Bigby parti à la recherche de ses deux enfants disparus, Bill Willingham fait en effet ressurgir le premier amour de Blanche Neige, qui n'hésite pas à terroriser son ancienne promise. le beau Prince rescapé du château de Mister Dark va modifier à jamais l'avenir de Blanche Neige et de sa famille. le lecteur à donc droit à un excellent récit, qui renoue avec l'intrigue principale et les personnages clés de la série, et qui se termine par les mêmes retrouvailles que lors du tome précédent.

Une saga incontournable et un tome que vous pouvez retrouver dans mon Top de l'année !
Lien : https://brusselsboy.wordpres..
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critiques presse (2)
ActuaBD
28 octobre 2014
Difficile de ne pas ressentir dans le travail d’écriture du scénariste cette triste fin annoncée de ce qui représentera à terme une formidable épopée alors que l’auteur persiste à jouer avec les nerfs de ses plus fidèles lecteurs, toujours aussi prompt qu’il est à malmener cette galerie de personnages de la manière la plus dramatique qui soit.
Lire la critique sur le site : ActuaBD
Sceneario
08 septembre 2014
Ce nouveau scénario de Willingham tient toutes ses promesses et nous réserve de bonnes surprises. Il s’intéresse surtout à Blanche Neige et sa famille. Mark Buckingham, le dessinateur attitré de cette saga, ne faiblit pas. Son trait reste toujours aussi sobre et excellent ! Ses mises en pages sont efficaces.
Lire la critique sur le site : Sceneario
Citations et extraits (1) Ajouter une citation
"Tu parles ces des conneries. J'ai juré d'être celle qui mettrait fin à sa misérable existence et je tiendrai parole!" p.129
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