Nous avions laissé Guilhem, son frère Arnaut, Nita et le cavalier noir fuyant les conciliateurs chargés de traquer les hérétiques.
Ces derniers sont toujours donc à leur trousse, mais le thème qui m'a séduit au départ, l'inquisition, les cathares est quelque peu en retrait dans cet album.
Ce second tome traite d'avantage des relations amoureuses de ce trio que forme Guilhem, Arnaut et Nita, qui est ou fût mariée avec Bertrand D'Olac. Ce jeu du je t'aime moi non plus paraît réellement futile et déplacé vu le contexte trouble.
Quelques révélations vont nous garder en éveil, ainsi que l'histoire de ce cavalier noir et de ses compatriotes les "sans nom", mais l'intérêt dominant est noyé par tous ces chassés croisés.
L'expression des personnages est toujours aussi terne, comme la couleur.
En résumé, une déception pour moi, je persiste avec les prochains tomes (déjà réservés à la médiathèque !), j'espère un peu plus de contenance.
Suite au prochain tome...
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Guilhem a retrouvé la mémoire et avec elle un frère et une femme aimée. Les retrouvailles sont plutot houleuses car Arnaut (le frère) aime aussi Nita (la femme aimée). Dans tout ça ils trouvent refuge au chateau de Nelli ou leur compagnon qui traque les délateurs des cathares doit retrouver ses amis.
Ce second tome va être très centré sur le trio amoureux Guilhem-Nita-Arnaut ainsi que sur le seigneur du chateau de Nelli qui par jalousie a commis le crime de bruler un parfait. Les thèmes de l'amour et du pardon sont très présent tout au long de la bande dessinée.
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Arnaut a retrouvé son frère Guilhem, la fratrie Roché est réunie.
Maintenant que Nita est guérie, grâce aux pouvoirs de Guilhem, une franche explication doit avoir lieu entre les trois amis.
Arnaut a toujours eu des sentiments pour Nita, qui n'avait d'yeux que pour Guilhem.
Mais ce dernier étant au fait des sentiments de son ami, Messire Bertrand d'Images pour son amie, s'était interdit le moindre sentiment, la moindre pensée pour Nita, par simple respect.
Mais nos trois amis sont sur les routes, poursuivis par les inquisiteurs, et rejoints par un étrange cavalier, bien armé, et visiblement très habile et précis avec son arc.
Nita reconnaît cet homme... c'est le seigneur Rosal de Lurac en personne, celui-là même qui a miraculeusement survécu au bûcher dressé par les moines inquisiteurs. Depuis, il a juré leur perte à tous, ainsi qu'à ceux qui dénoncent les cathares aux autorités.
Ensemble, ils se rendent au château de Sicard de Nelli, un ami de Rosal, acquit à la cause des cathares.
Mais il le retrouve de bien étrange humeur.... et les compagnons qu'il devait retrouver au château ne sont pas encore arrivés... étrange.
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Suite immédiate du tome 1, on se trouve en l'an 1311 en pays cathare.
Le mystère de la vie de Guilhem se lève un peu plus.
Les Cathares règlent des comptes entre eux, les personnages sont un peu plus variés et caractérisés, montrant les paradoxes auxquels ils peuvent faire face, pris par des passions humaines (la jalousie, la vengeance etc.). C'était plutôt intéressant. Mais j'ai trouvé peu d'intérêt à l'approfondissement de la relation amoureuse.
Je ne suis décidément pas embarquée par cette série, même si elle est de bonne facture.
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Le climat de délation et de perfidie entretenu par l'église produit des fruits étrangement pervers.
Notre monde c’est l’invisible. Nous usons notre corps au plus étroit entre la prière et le mal, et nous portons sur le visage un masque auquel nous tenons plus qu’à nos pauvres vies.
Le climat de délation et de perfidie entretenu par l’église produit des fruits étrangement pervers.
Voyez-vous, dans le cours de mon étude, j'ai recensé plus de ... 229 définitions du bonheur.
Mais aucune n'égale en force et en justesse cette divine faculté de se laisser porter par les airs.
A chaque jour suffit son mal.