Au-delà de l'histoire en elle-même,
Gianrico Carofiglio nous fait découvrir des éléments de la loi italienne, des procédures, des méthodes d'avocats, nous parle de ce qui peut agacer ou satisfaire ceux qui constituent la cour, nous fait réfléchir aussi, sans jamais nous lasser. En tous cas, j'ai appris, un peu bien sûr par rapport à tout ce qu'il y aurait à savoir, mais c'est une très bonne entrée en matière. Ce qui est étonnant, c'est que, si je ne me trompe pas,
Gianrico Carofiglio était magistrat et qu'il a décidé d'adopter dans ses romans, dont le narrateur est Guido Guerrieri, le point de vue d'un avocat. En tous cas, on est sûr qu'il sait de quoi il parle !