Un récit très authentique. Une enfance et toute une vie de violence, viol, vol, drogues, cambriolage, bagarre, gang... le voyou tel qu'on se l'imagine. L'histoire évolue avec le personnage, mais en dehors de la galerie de portraits j'ai eu l'impression de tourner en rond dans l'univers de la prison. Prison qui est dénoncée de façon très crue, comme tout le livre d'ailleurs. En prison, les gardien sont des salauds, racistes, pervers et parfois homosexuels.
Les détenus sont eux plutôt souvent homosexuel, on patauge au milieu des combines, de la contrebande et toujours de la guerre des gangs même au sein de la prison. Ca donne très nettement envie de mettre le feu aux établissement pénitentiaire et de redressement qui ne sont qu'un vaste vivier de salaud de la pire espèces "surveillés" par des incapables ou des tortionnaires. Tout cela m'a laissé un mauvais goût... Il est a espérer que cette aventure s'étant déroulé il y a 50 ans, les choses aient changées. J'ose espérer...
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Un récit très authentique. Une enfance et toute une vie de violence, viol, vol, drogues, cambriolage, bagarre, gang... le voyou tel qu'on se l'imagine. L'histoire évolue avec le personnage, mais en dehors de la galerie de portraits j'ai eu l'impression de tourner en rond dans l'univers de la prison. Prison qui est dénoncée de façon très crue, comme tout le livre d'ailleurs. En prison, les gardien sont des salauds, racistes, pervers et parfois homosexuels.
Les détenus sont eux plutôt souvent homosexuel, on patauge au milieu des combines, de la contrebande et toujours de la guerre des gangs même au sein de la prison. Ca donne très nettement envie de mettre le feu aux établissement pénitentiaire et de redressement qui ne sont qu'un vaste vivier de salaud de la pire espèces "surveillés" par des incapables ou des tortionnaires. Tout cela m'a laissé un mauvais goût... Il est a espérer que cette aventure s'étant déroulé il y a 50 ans, les choses aient changées. J'ose espérer...
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On ne méprise pas le salaud, mais le faux jeton, qu'il s'agisse d'un flic ou d'un taulard. Le prisonnier a plus de considération pour un ennemi déclaré que pour un allié douteux, il peut haïr la brute, mais il n'a pour le fourbe que du mépris. C'est à leur puissance de caractère qu'on juge les hommes. (préface, 20)