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EAN : 9782245009666
375 pages
Club pour vous Hachette (30/11/-1)
3.94/5   9 notes
Résumé :
james Carr est Noir Americain. Il est issu d'un milieu "défavorisé", selon l'expression pudique. Ses parents habitent un ghetto de Los Angeles. Et Jimmy de ne pas être une victime: plutôt que de vivre à genou, il choisit de se battre, contre la famille, contre son école, qu'il brulera à l'age de 9 ans, et contre "l'establishment". Crève c'est son autobiographie, écrit entre deux séjours en prison, car c'est dans ce ghetto de la "civilisation" qu'il passera la majeu... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (3) Ajouter une critique
Un récit très authentique. Une enfance et toute une vie de violence, viol, vol, drogues, cambriolage, bagarre, gang... le voyou tel qu'on se l'imagine. L'histoire évolue avec le personnage, mais en dehors de la galerie de portraits j'ai eu l'impression de tourner en rond dans l'univers de la prison. Prison qui est dénoncée de façon très crue, comme tout le livre d'ailleurs. En prison, les gardien sont des salauds, racistes, pervers et parfois homosexuels.
Les détenus sont eux plutôt souvent homosexuel, on patauge au milieu des combines, de la contrebande et toujours de la guerre des gangs même au sein de la prison. Ca donne très nettement envie de mettre le feu aux établissement pénitentiaire et de redressement qui ne sont qu'un vaste vivier de salaud de la pire espèces "surveillés" par des incapables ou des tortionnaires. Tout cela m'a laissé un mauvais goût... Il est a espérer que cette aventure s'étant déroulé il y a 50 ans, les choses aient changées. J'ose espérer...
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Un récit très authentique. Une enfance et toute une vie de violence, viol, vol, drogues, cambriolage, bagarre, gang... le voyou tel qu'on se l'imagine. L'histoire évolue avec le personnage, mais en dehors de la galerie de portraits j'ai eu l'impression de tourner en rond dans l'univers de la prison. Prison qui est dénoncée de façon très crue, comme tout le livre d'ailleurs. En prison, les gardien sont des salauds, racistes, pervers et parfois homosexuels.
Les détenus sont eux plutôt souvent homosexuel, on patauge au milieu des combines, de la contrebande et toujours de la guerre des gangs même au sein de la prison. Ca donne très nettement envie de mettre le feu aux établissement pénitentiaire et de redressement qui ne sont qu'un vaste vivier de salaud de la pire espèces "surveillés" par des incapables ou des tortionnaires. Tout cela m'a laissé un mauvais goût... Il est a espérer que cette aventure s'étant déroulé il y a 50 ans, les choses aient changées. J'ose espérer...
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Par principe, je ne publie des commentaires que sur les livres qui m'ont emballés.
En l'espèce, je fais une exception. C'est un livre décrit la vie réelle de James Carr, brut, dérangeant, agaçant, répétitif. de prisons en prisons dès l'âge de 12 ans, de vols en agressions, en viols, en meurtres pendant ses rares périodes de liberté. A un moment ce livre me lassait et m'ennuyait car il n'apportait rien. juste une description plate sans affects. Il ne s'agit pas de savoir si on a de l'empathie pour ce "narrateur" (le livre est écrit par la femme du personnage), il ne s'agit pas de savoir si on remet en cause le système carcéral ou judiciaire américain, il ne s'agit pas du racisme anti noir américain. Une personne nihiliste qui ne respecte rien ni personne et pour qui la lutte depuis l'enfance est de survivre en étant le plus violent.
Cependant malgré cet avis très mitigé, je dirais qu'il faut l'avoir lu.
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Citations et extraits (1) Ajouter une citation
On ne méprise pas le salaud, mais le faux jeton, qu'il s'agisse d'un flic ou d'un taulard. Le prisonnier a plus de considération pour un ennemi déclaré que pour un allié douteux, il peut haïr la brute, mais il n'a pour le fourbe que du mépris. C'est à leur puissance de caractère qu'on juge les hommes. (préface, 20)
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